Citation de ROLLIN extraite de l'article "tendre [1]" du dictionnaire de français Littré
La passion dominante de Thémistocle était l'ambition et l'amour de la gloire, qui parut en lui dès ses plus tendres années
(Charles ROLLIN, Hist. anc. Oeuv. t. III, p. 134, dans POUGENS)
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À peu de distance suivaient ses enfants [de Persée mené en triomphe à Rome] avec leurs gouverneurs, leurs précepteurs et tous les officiers de leur maison, qui, fondant tous en larmes, tendaient leurs mains au peuple | Hist. anc Oeuv. t. IX, p. 163, dans POUGENS | tendre [2] |
Voilà, lui dit-il, la Sicile qui nous tend les bras, et vous savez de quelle importance est cette île | Hist. anc. Oeuv. t. VII, p. 365, dans POUGENS | tendre [2] |
Le métier et l'exercice des Lacédémoniens était la guerre ; tout tendait là chez eux | Hist. anc. Oeuv. t. II, p. 529, dans POUGENS | tendre [2] |
Peu occupé des grâces légères du discours, et quelquefois même négligeant les règles gênantes de la pureté du langage, il [Bossuet] tend au grand, au sublime, au pathétique | Traité des Ét. III, 2 | tendre [2] |
D'épaisses ténèbres lui couvrent les yeux ; les mains lâchent les rênes ; il tombe de son cheval | Hist. anc. Oeuv. t. VII, p. 424, dans POUGENS | ténèbres |
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