Citation de DELILLE extraite de l'article "vêtu, ue" du dictionnaire de français Littré
Sur des coursiers vêtus avec magnificence, Dans un ordre pompeux la jeunesse s'avance
(Jacques DELILLE, Én. v.)
| Citation |
Œuvre |
Entrée |
| Que n'ai-je pu, grands dieux ! dans un chaste veuvage, Conserver de mon coeur la rudesse sauvage ! |
Én. IV |
veuvage |
| Vide de vous et rempli de lui-même, Son amour-propre extrême, Au plus touchant récit, au trait le plus brillant, à l'éloquence la plus vive Refuse de prêter une oreille attentive |
Convers. II |
vide |
| Ébloui, mais lassé de l'éclat de nos villes, Souvent il s'écriait : rendez-moi mes forêts |
Jard. II |
ville |
| Et les derniers soleils sur les côtes vineuses Achèvent de mûrir les grappes paresseuses |
Géorg. II |
vineux, euse |
| Rien ne peut violer la porte inviolable |
Parad. perdu, II |
violer |
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Citations d'autres auteurs extraites de l'article "vêtu, ue" du dictionnaire de français Littré
| Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
| Légère et court vêtue, elle allait à grands pas |
LA FONTAINE
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Fabl. VII, 10 |
vêtu, ue |
| Ils [les Français] avouent de bon coeur que les autres peuples sont plus sages, pourvu qu'on convienne qu'ils sont mieux vêtus |
MONTESQUIEU
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Lett. pers. 100 |
vêtu, ue |
| Du temps que j'étais écolier, Je restais un soir à veiller Dans notre salle solitaire ; Devant ma table vint s'asseoir Un pauvre enfant vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère |
MUSSET
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Poés. nouv. Nuit de décembre. |
vêtu, ue |
| Le vêtu de noir, magister de village, était frère du curé ; et le vêtu de gris, sergent du même village, était frère de l'hôte |
SCARRON
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Rom. com. II, 6 |
vêtu, ue |
| C'est le chien le plus vêtu et le mieux fourré de tous les chiens |
BUFFON
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Quadrup. t. VIII, p. 169 |
vêtu, ue |