Oeuvres et citations de Jean Le Rond D'ALEMBERT

1544 citations de l'auteur Jean Le Rond D'ALEMBERT (Page 11 sur 39)

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Citation Œuvre Entrée
Je ne connais que légèrement Helvétius ; mais je ne puis m'empêcher d'être indigné de la barbarie avec laquelle on le traite Lett. à Voltaire, 6 mai 1760 légèrement
Il me semble que l'empereur d'aujourd'hui traite un peu lestement les prêtres, les moines et les papes Lett. au roi de Prusse, 11 mai 1781 lestement
Oh ! la belle lettre, mon cher maître, que vous venez d'écrire à frère Damilaville sur l'affaire du malheureux Sirven ! Lett. à Voltaire, 26 mars 1765 lettre
Il est bien juste que la philosophie et les lettres aient quelques consolations au milieu des persécutions qu'elles souffrent Lett. à Voltaire, 9 août 1777 lettre
Je ne sais si cette liberté [de la presse] doit être accordée ; mais je pense que, si on l'accorde, elle doit être sans limites et indéfinie Lett. au roi de Prusse, 2 mars 1772 liberté
Quand elle [Votre Majesté] sera un peu plus libre, j'aurai l'honneur de lui écrire plus au long, et de donner un libre cours aux témoignages d'admiration Lett au roi de Prusse, 29 juin 1778 libre
Des ministres dont vous avez tout lieu de vous louer Lett. à Voltaire, 26 oct. 1762 lieu [1]
Je connais l'ouvrage sur les lettres de cachet ; il serait meilleur si l'auteur, qui n'est pas Linguet, y avait moins prodigué les lieux communs et les déclamations Lett. au roi de Prusse, 28 avr. 1782 lieu [1]
Enfin, dans l'idée de surface, je fais encore abstraction d'une des deux dimensions qui la composent, et il me reste l'idée de ligne Mélanges de littér. d'hist. et de philos. t. V, § II. ligne
Nous recevons aujourd'hui [à l'Académie française] l'évêque de Limoges qui ne sait pas lire, et Batteux qui ne sait pas écrire, mais en revanche nous avons un directeur qui sait lire et écrire, qui s'en pique du moins Lett. à Volt. 9 avr. 1761 lire
Je n'entretiendrai pas Votre Majesté de toutes les sottises qui se font, et qui se disent, et qui se lisent ou ne se lisent pas, dans le séjour que j'habite Lett. au roi de Prusse, 9 oct. 1778 lire
Je ne suis, sire, qu'un pauvre géomètre littérateur, tant bon que mauvais, qui souffre à la fois et de ses reins et de son estomac Lett. au roi de Prusse, 15 sept. 1780 littérateur
La littérature est dans la plus déplorable situation où elle ait jamais été Lett. à Voltaire, 6 avr. 1773 littérature
Je ne reçois plus de vos nouvelles que de loin en loin, et je trouve cela très mauvais Lett. à Voltaire, 18 sept. 1762 loin
J'aime mieux être ignorant avec elle [Votre Majesté], que d'en savoir si long avec l'auteur du Système de la nature sur des choses où l'on ne sait rien Lett. au roi de Prusse, 3 janv. 1771 long, ongue
Quoique ces loups [les fanatiques] soient à craindre, la philosophie, avec un peu d'adresse, viendra à bout de leur arracher les dents Lett. à Voltaire, 14 août 1767 loup
Pour éviter toute équivoque, et ôter aux journalistes allemands tout prétexte de dire là-dessus, à leur ordinaire, quelques lourdes sottises Lett. au roi de Prusse, 9 févr. 1780 lourd, ourde
Si, dans l'état de faiblesse où je suis, je trouvais quelque moment lucide, j'en profiterais à l'instant pour satisfaire mon coeur Lett. au roi de Prusse, 19 sept. 1779 lucide
L'homme est libre, en ce sens, que, dans les actions non machinales, il se détermine de lui-même et sans contrainte Lett. au roi de Pr. 2 août 1770 machinal, ale
Madame de Montespan, disait-il [l'abbé Testu], parle comme une personne qui lit, madame de Thianges comme une personne d'esprit qui rêve, et madame l'abbesse de Fontevrault comme une personne qui parle Élog. Testu. madame
J'aimerais mieux être magister de Chaillot ou de Vaugirard, que président de la plus brillante académie étrangère Lett. à Volt. 13 août 1765 magister
Les magistrats, dans quelque circonstance et pour quelque grand intérêt de corps que ce puisse être, ne doivent jamais être que magistrats, sans parti et sans passions comme les lois, qui absolvent et punissent sans aimer ni haïr Éloges, Montesquieu. magistrat
Les pensées sublimes sont rares, et ne peuvent être suppléées, ni par la magnificence des mots, cette magnificence si pauvre quand celle des choses n'y répond pas, ni par ce beau désordre qu'on n'a pu jusqu'ici bien définir Réfl. sur la poés. Oeuv. t. IV, p. 106, dans POUGENS. magnificence
Vous voulez, lui dirais-je, former un enfant qui doit vivre parmi des magots, et vous voulez en faire un géant : cela n'est pas praticable ; le géant choquera les magots, qui se réuniront tous contre lui, et le chasseront de chez eux à coups de pierres Jug. Émile, Oeuvres, t. V, p. 378, dans POUGENS magot [1]
L'étendue immense des contrées abruties par le mahométisme le lui faisait regarder [à l'abbé de St-Pierre] comme un des plus grands fléaux de l'espèce humaine Élog. de l'abbé de St-P. mahométisme
Quant à l'ouvrage, il est maigre, mais il est aisé de lui donner de l'embonpoint dans une seconde édition Lett. à Voltaire, 23 juin 1766 maigre [1]
Je me suis mis entre les mains du plus habile médecin de ce pays-ci, et, dans ce moment, la nature ou lui me soulage Lett. au roi de Prusse, 11 oct. 1782 main
J'ai su par M. le baron de Grimm que Votre Majesté, ne pouvant écrire de la main droite, avait pris le parti d'écrire de la main gauche, afin que ses affaires n'en souffrissent pas Lett. au roi de Prusse, 7 déc. 1779 main
Il [Boileau] eût fait main basse sur cette rhétorique triviale, qui consiste à noyer un tas de sophismes dans une mer de paroles oiseuses et de figures ridicules Éloges, Despréaux. main
Bertrand finit ici sa prose à Raton, et l'exhorte à faire main basse, en vers et en prose, sur les sots dont le meilleur des mondes fourmille Lett. à Volt. 5 nov. 1776 main
Il est évident, comme vous dites, que l'ouvrage est de différentes mains Lett. à Volt. 4 oct. 1764 main
L'événement fera connaître s'ils [les jésuites] sont assez forts pour se maintenir au Paraguai en dépit de l'Espagne Destr. des Jésuites, Oeuv. t. V, p. 242, dans POUGENS. maintenir
Voilà donc les jésuites chassés de Naples ; on dit qu'ils vont bientôt l'être de Parme, et qu'ainsi tous les États de la maison de Bourbon feraient maison nette Lett. au roi de Pr. 14 déc. 1767 maison
Combien d'hommes illustres en tous genres n'ont eu d'autre maître qu'eux-mêmes, et n'en ont été que plus grands ! Éloge de Perrault. maître
Ah ! celui qui a dit que le malheur était le grand maître de l'homme, a dit bien plus vrai qu'il n'a cru : il n'a vu dans le malheur qu'un maître de sagesse et de conduite ; il n'y a pas vu tout ce qu'il est, un plus grand maître de réflexions et de pensées Tomb. l'Espinasse. maître
Comment un écrivain supérieur sait à la fois enhardir et maîtriser une langue timide et minutieuse Élog. Boss. note 7 maîtriser
Il [Marivaux] avait le malheur de ne pas estimer beaucoup Molière, et le malheur plus grand de ne pas s'en cacher Élog. Mariv. malheur
L'Académie française est l'objet de l'ambition secrète ou avouée de presque tous les gens de lettres, de ceux même qui ont fait contre elle des épigrammes bonnes ou mauvaises, épigrammes dont elle serait privée pour son malheur, si elle était moins recherchée Préface des éloges. malheur
Ces malheureux écrivains, ridicules par la vanité au sein même de l'indigence, dont la prétention est d'avoir évité l'esprit dans leurs ouvrages Éloge Destouches. malheureux, euse
Il est tout à la fois absurde et malsonnant de vouloir rendre intelligible ce que la foi nous déclare ineffable Éloges, Bossuet malsonnant, ante
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