Oeuvres et citations de Stéphanie Félicité Ducrest de St-Albin, comtesse de GENLIS

1364 citations de l'auteur Stéphanie Félicité Ducrest de St-Albin, comtesse de GENLIS (Page 10 sur 35)

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Citation Œuvre Entrée
Là-dessus M. d'Aimeri, auquel nous avions fait sa leçon, prit la parole Ad. et Théod. t. I, p. 143, dans POUGENS leçon
Dorine : Oui, il y a une lecture. - Lucie : Oh ! quand je serai mariée, j'aurai des lectures aussi Théât. d'éduc. Enfant gâté, I, 3 lecture
Mme de Montespan était si légère que la gaieté de toutes ces religieuses effaça presque entièrement de son esprit les impressions qu'elle avait reçues dans la cellule de Mme de la Vallière Mme de Maintenon, t. I, p. 260, dans POUGENS léger, ère
La comtesse de la Suze, légère dans sa conduite et plaintive dans ses poésies Mme de Maintenon, t. I, p. 104, dans POUGENS léger, ère
Plusieurs circonstances peuvent faire pardonner une légèreté Théât. d'éduc. les Dangers du monde, III, 9 légèreté
Elle n'a rien de la vivacité italienne ; tous ses mouvements sont lents Ad. et Théod. t. II, p. 32 lent, ente
Je devine que M. de Valmont ou M. Dorsain ont joué et fait sans doute quelque lessive Théât. d'éduc. les Faux amis, II, 9 lessive
Il me fit lire les Lettres de Voiture, qu'il regardait comme des chefs-d'oeuvre, et qui me parurent spirituelles et ridicules Mme de Maintenon, t. I, p. 100, dans POUGENS lettre
Et ce billet, ce cruel billet, n'est-il pas cent fois plus accablant qu'une lettre d'exil ? Mlle de la Fayette, p. 223, dans POUGENS lettre
Mandez-moi de grâce si les lévites sont toujours à la mode Adèle et Th. t. II, p. 258, dans POUGENS lévite [2]
Ayez beaucoup de chevaux, des loges à tous les spectacles, jouez gros jeu, et je vous promets les liaisons les plus brillantes Théât. d'éduc. le Vrai sage, I, 3 liaison
Il n'a jamais vécu dans le grand monde, où l'on perd souvent beaucoup de vertus, mais où l'on acquiert presque toujours du liant dans le caractère Veillées du château t. II, p. 149, dans POUGENS liant, ante
Il lui fut impossible de retrouver la moindre liberté d'esprit dans tout le reste de la soirée Mme de Maintenon, t. II, p. 156, dans POUGENS liberté
Je n'avais plus cette franchise que donne un coeur libre et qui n'a rien à dissimuler Mlle de la Fayette, p. 44, dans POUGENS libre
Ces comédies sont assez libres, mais j'ai cru qu'il n'y avait pas plus de mal à les lire qu'à les voir jouer Adèle et Th. t. II, p. 262, dans POUGENS libre
Je n'avais jamais aimé cette société spirituelle, mais licencieuse, dont, depuis quelques années, Lafare et Chaulieu faisaient les délices Mme de Maintenon, t. II, p. 183, dans POUGENS licencieux, euse
Elle ne disait jamais rien de neuf ou de saillant ; mais elle avait perfectionné tous les lieux communs de la conversation Mme de Maintenon, t. I, p. 182, dans POUGENS lieu [1]
Quel est votre état ? - Je file et je travaille en linge Théât. d'éduc. Aveugle de Spa, 7 linge
La lisière du bois était bordée d'une infinité de noisetiers, de mûriers et de framboisiers Veillées du chât. t. II, p. 456, dans POUGENS lisière [1]
On voit encore, parmi les meubles de la couronne, un superbe lit travaillé en soie, en or, en petites perles fines et petites pierreries, fait par Mme de Maintenon pour Louis XIV Mme de Maintenon, t. II, p. 266, dans POUGENS lit
Rousseau, dans tous les soins qu'il prescrit à cet égard [au sujet de l'enfance] ne fait que suivre exactement le système de Locke ; il est vrai qu'il ne le cite pas, mais il le copie littéralement Adèle et Théod. t. I, p. 85, dans POUGENS littéralement
La littérature allemande n'est véritablement intéressante que depuis quarante ans Adèle et Théod. t. I, p. 122, dans POUGENS littérature
Le maître d'hôtel et le cuisinier lui apporteront, tous les matins, leurs livres de dépenses Adèle et Théod. t. II, p. 155, dans POUGENS livre [1]
Voyez un peu la malice ! oh ! elle en sait long Théât. d'éduc. la Lingère, II, 4 long, ongue
Ne souffre jamais une louange qui ne serait fondée que sur une erreur Veillées du château I, I, p. 448, dans POUGENS louange
L'une est la fille d'une laitière, et l'autre d'une loueuse de chaises Théât. d'éduc. Le vrai sage, II, 5 loueur, euse [1]
S'expliquer avec un détail aussi superflu, c'est être lourd et pesant ; voilà le contraire de la finesse Veillées du château t. I, p. 262, dans POUGENS lourd, ourde
Un jour qu'elle [Mme de Maintenon] rassemblait chez elle une nombreuse compagnie, une blanchisseuse lui prêta des chaises et quelques autres meubles, et ne voulut jamais en recevoir le loyer Mme de Maintenon, t. II, p. 207, dans POUGENS loyer
Elle ne répondit que machinalement et de manière à prouver qu'elle n'avait pas écouté Mme de Maintenon, t. II, p. 193, dans POUGENS machinalement
Il a vu qu'un homme, en parlant de sa femme, dit madame tout court, et que les autres en lui parlant d'elle disent : nous avons passé chez vous ; ni vous ni madame n'étiez visibles ; il a vu mille autres choses d'aussi mauvais ton Veillées du chât. t. I, p. 433, dans POUGENS madame
Quand elles [les pommes] sont bien écrasées, on se sert d'une grande pelle pour les placer sur une espèce de parquet en bois nommé la mage, qui est de forme carrée et entourée d'un rebord Maison rust. t. III, p. 334, dans POUGENS mage [3]
La pauvre fille était devenue maigre comme du bois Théât. d'éduc. la March. de modes, sc. 5 maigre [1]
Elle [Mme de Maintenon] pensait qu'elle n'y serait plus rien [à la cour], aussitôt que le duc du Maine passerait dans les mains des hommes Mme de Maintenon, t. I, p. 45, dans POUGENS main
Je pris la main, je jouai encore une demi-heure Théât. d'éduc. Faux amis, II, 11 main
On se promenait à Paris ; mais, aux Tuileries, au Palais-Royal, aux Champs-Élysées, il fallait avoir un maintien Veillées du château t. II, p. 258, dans POUGENS maintien
Il a vingt-huit ans, il est son maître, il vous aime avec passion ; qui peut l'empêcher de vous épouser ? Théât. d'éduc. I, 7 maître
Quand je serai ma maîtresse, Je ferai comme ma tante, je me lèverai tard aussi Théât. d'éduc. la Bonne mère, I, 1 maîtresse
Le roi sans doute aura des maîtresses ; mais il n'y en aura plus de déclarées Mme de Maintenon, t. I, p. 191, dans POUGENS maîtresse
Elle parla avec tant de force qu'une nouvelle servante, qui l'entendait, l'interrompit en s'écriant : Pardi, voilà encore une maîtresse femme Mme de Maintenon, t. II, p. 273, dans POUGENS maîtresse
Quand on le découvrirait, le grand mal ! est-il défendu d'aimer la campagne, la solitude ? Ad. et Théod. t. III, p. 186, dans POUGENS mal, ale
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