Je voudrais que vous fussiez moins affligée d'une dépense que d'une irrégularité |
Lett. à Mme de la Viefville, 20 juin 1708 |
irrégularité |
Il est très difficile de guérir la jalousie d'une communauté |
Lett. à Mme de la Viefville, 23 fév. 1709 |
jalousie |
Pourquoi ne vous laverez-vous pas aussi bien du soupçon de jansénisme ? |
Lett. au card. de Noailles, 19 févr. 1701 |
jansénisme |
Le roi d'Espagne a quelque goût pour les jeux d'esprit |
Lett. au duc de Noailles, 19 déc. 1700 |
jeu |
Quand on n'est plus jeune, la vie n'est bonne à rien |
Lett. à Mme de Caylus, 8 janv. 1717 |
jeune |
Vous savez mieux que moi qu'il y a de la différence des jeûnes de règle à ceux de l'Église |
Lett. à Mme de la Viefville, 2 nov. 1705 |
jeûne |
Le marquis de Mortemar, qui est sage comme on l'est à trente ans, quand on n'a pas une aussi longue jeunesse que vous |
Lett. à d'Aubigné, 5 fév. 1682 |
jeunesse |
Je suis bien difficile à joindre ; j'ai plus d'affaires que jamais |
Lett. à Mme de Brinon, t. II, p. 225, dans POUGENS |
joindre |
Il [M. Bonnet] lui avait dit [à l'archevêque de Bourges] que j'étais droite comme un jonc |
Lett. à Mme de Caylus, 29 nov. 1717 |
jonc [1] |
Vous êtes sur le théâtre, vous jouez un grand personnage |
Lett. au maréchal de Tessé, 10 févr. 1706 |
jouer |
Point de joug plus doux que celui du Seigneur ; ceux qui sont à lui sont toujours contents |
Lett. à Mme de Vantadour, 18 mars 1700 |
joug |
Pourquoi penser aux plaisirs, quand on n'a que deux jours à vivre ? |
Lett. à Mme de Caylus, 9 nov. 1717 |
jour |
Votre mandement pour le jubilé sera certainement lu ; mettez-y des vérités fortes et touchantes |
Lett. au card. de Noailles, 13 janv. 1700 |
jubilé |
Fi ! le laid ! Mlle de Noailles, sans exception, la plus aimable laide du monde |
Lett. au duc de Noailles, 22 fév. 1706 |
laid, aide |
Elle [Mme de Montespan] avait des cochons et des chèvres dans des lambris peints et dorés |
Lett. à Mme de Caylus, 24 janv. 1718 |
lambris |
Je languis de tout ce que je vois, mais je ne meurs pas encore ; Dieu me laisse dans ce monde pour souffrir |
Lett. au duc de Noailles, 15 août 1711 |
languir |
Je languis bien que cette retraite à Saint-Cyr soit finie |
Lett. à Mme de St-Géran, 12 mars 1696 |
languir |
Ma santé est toujours languissante ; mon tempérament a toujours été assez délicat ; l'âge et les chagrins ne le fortifient pas |
Lett. au duc de Noailles, 9 juin 1703 |
languissant, ante |
Je serais bien contente s'il n'y avait point de lansquenet |
Lett. au duc de Noailles, 22 fév. 1706 |
lansquenet |
Je vous promets un laquais fort grand ; les petits ne sont bons à rien |
Lett. à M. d'Aubigné, t. I, p. 172, dans POUGENS |
laquais |
Il faut l'habiller large pour qu'un enfant soit à son aise |
Lett. à d'Aubigné, 7 sept. 1683 |
large |
Votre style n'est pas larmoyant ; et nous jugeons que votre état est encore plus triste que vous ne nous le dépeignez |
Lett. au duc de Noailles, 25 nov. 1710 |
larmoyant, ante |
Peut-être ferez-vous un jour quelque action d'éclat qui vous lavera de tout soupçon |
Lett. au card. de Noailles, 13 oct. 1698 |
laver |
La layette doit être arrivée, elle est magnifique |
Lett. à d'Aubigné, 1er mars 1684 |
layette |
Je crois notre cousine fort sage ; mais je vous le crois très peu |
Lett. à d'Aubigné, 28 fév. 1678 |
le, la, les [2] |
On pourrait être plus content de sa femme que je ne le suis |
Lett. au card. de Noailles, 11 sept. 1698 |
le, la, les [2] |
On ne peut être plus contente que je ne la suis |
Lett. sur l'éduc. aux dem. de la classe bleue, 1700 |
le, la, les [2] |
Tout ignorante que je suis, je sais que la lecture donne une assez grande expérience pour n'être surpris de rien |
Lett. au duc de Noailles, 1er mars 1711 |
lecture |
Tout ce que vous insinuerez au roi contre les lettres de cachet n'en diminuera pas le nombre ; on est persuadé qu'elles sont fort nécessaires |
Lett. au card. de Noailles, 11 janv. 1706 |
lettre |
Ne faites pas de nouvelles liaisons ; connaissez avant d'aimer |
Lett. à M. d'Aubigné, 3 janv. 1681 |
liaison |
Soyez circonspecte dans vos liaisons avec les femmes ; il vaut mieux être vue à l'opéra avec tel homme qu'avec telle femme au sermon |
Lett. à Mme d'Havrincourt, 24 juin 1705 |
liaison |
Sainte Geneviève a toujours protégé, dit-on, le royaume ; et, quoi que les libertins puissent penser, on en a vu autrefois des miracles, et le peuple a une grande confiance en elle |
Lett. au card. de Noailles, 14 juillet 1707 |
libertin, ine |
Soyez persuadés que c'est à cause que vous êtes si exactes à les veiller [les pensionnaires de Saint-Cyr] qu'elles sont si aisées à conduire, et qu'aussitôt que vous cesserez de les observer, elles deviendront libertines |
Entret. sur l'éduc. juin 1704 |
libertin, ine |
Mon mari avait le fonds excellent ; je l'avais corrigé de ses licences |
Lett. à Mlle de l'Enclos, 8 mars 1666 |
licence |
Cet homme est lié avec Mme de Nogaret, qui est fort zélée contre le quiétisme |
Lett. au card. de Noailles, 7 sept. 1697 |
lié, ée |
Je ne suis guère entrée dans la raison de commencer votre noviciat promptement, de peur que nos filles se liassent avec les anciennes |
Lett. à Mme de la Viefville, 24 oct. 1705 |
lier |
On mettra toujours une femme en lieu de sûreté |
Lett. au card. de Noailles, 5 janv. 1696 |
lieu [1] |
Mon secrétaire a grand peur du tonnerre ; malgré tout son mérite, je lui vois le tempérament d'un lièvre |
Lett. à Mme de la Viefville, 18 juin 1707 |
lièvre |
Je ne démêle point ce que vous me dites de M. d'Argenson, ni pourquoi vous ne pouvez parler de lui gravement ; ce n'est point une linotte |
Lett. à Mme de Dangeau, t. VII, p. 117, dans POUGENS. |
linot |
Il y a cent louis à chacun des principaux, et vingt à chaque homme de livrée |
Lett. au duc de Noailles, 11 juin 1703 |
livrée [1] |