Oeuvres et citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON

833 citations de l'auteur Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON (Page 11 sur 21)

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Citation Œuvre Entrée
Vous voyez, vous peignez tout si noir, que, si j'aimais la solitude, vous me la feriez haïr Lett. à l'abbé, t. I, p. 67, dans POUGENS noir, oire
Ils avaient un dessein formé de se servir de mon amitié, de ma crédulité, de mon crédit pour établir cette nouveauté à la cour Lett. au card. de Noailles, 29 mai 1697 nouveauté
Dans les temps de sa vie où il était le plus dissipé et noyé dans le commerce des dames, je l'ai toujours vu droit, sincère et même sévère sur la religion Lett. au card. de Noailles, 18 oct. 1695 noyé, ée
Presque tous les hommes noient leurs parents et leurs amis, pour dire un mot de plus au roi et pour lui montrer qu'ils lui sacrifient tout Lett. au card. de Noailles, 15 nov. 1695 noyer [2]
Elle profitera peu de ma faveur ; une autre la porterait aux nues, mais vous connaissez mon humeur Lett. à M. d'Aubigné, 3 sept. 1684 nue
Il est dangereux de l'habituer [Louis XV enfant] à obéir aveuglément : car ou il serait gouverné, ou il voudrait être obéi de même Lett. à Mme la duch. de Ventadour, 14 juin 1715 obéir
Mme la duchesse d'Orléans est un objet de pitié Lett. à Mme de Caylus, 2 sept. 1717 objet
Je compte sur quelque part dans vos prières, à cette grande fête, et je n'oublierai pas mes obligations là-dessus Lett. au card. de Noailles, 23 déc. 1705 obligation
Je suis obsédée ou de femmes que je méprise, ou d'hommes qui ne m'aiment point Lett. à Mme de Glapion, 31 juillet 1712 obséder
Abandonnez-vous à Dieu, ma très chère, laissez-vous conduire les yeux bandés Lett. à Mme de la Maisonfort, 12 déc. 1690 oeil
Je fus tout yeux pendant dix ou douze heures de suite Lett. à Mme de Villarceaux, 27 août 1660 oeil
Qu'est-ce que toutes ces vanités, tous ces plaisirs pour qui est dégoûtée du monde et de ses oeuvres ? Lett. à Mme de St-Géran, t. II, p. 101, dans POUGENS oeuvre
J'envie bien l'état de cet homme qui passe sa vie en bonnes oeuvres Lett. à Mme de Caylus, t. VI, p. 210, dans POUGENS oeuvre
Je vous demande pardon, monseigneur, de vous en fatiguer ; mais ce serait une bonne oeuvre, et c'est une grande excuse Lett. au card. de Noailles, 1701 oeuvre
Je ne vous ai point rendu de mauvais offices auprès du roi Lett. à M. de Villette, 9 avril 1682 office [1]
Je dis l'office de la Vierge : quoique ce soit avec de grandes distractions, c'est toujours un temps destiné à Dieu et passé avec lui Lett. à l'abbé Gobelin, 11 déc. 1674 office [1]
Il convient que vous n'officiiez pas au service de feu M. l'archevêque Lett. au card. de Noailles, 15 nov. 1695 officier [1]
On aime les gens, on en est aimé, on en est sûr, on les néglige, on ne se contraint point avec eux Lett. à d'Aubigné, 2 mars 1681 on
J'ai eu un terrible orage à essuyer ; je ne me mêlerai plus d'aucune affaire Lett. à Mme de St Géran, 27 août 1704 orage
Qu'elle vienne samedi ou dimanche après dîner à Saint-Cyr ; ce sont les jours où j'y vais le plus ordinairement Lett. au card. de Noailles, 3 mai 1700 ordinairement
On vous souffrira avec tous vos défauts : robe d'ouate, écharpe, bonnets, serviettes sur la tête, ce sont tous ceux que je vous connais Lett. à Mme de Dangeau, 19 déc. 1687 ouate
J'ai toujours ouï dire que les femmes doivent désirer d'être oubliées Lett. à M. d'Aubigné, 18 juillet. 1684 oublié, ée
Les deux montagnes se joindront par quarante-sept arcades, solidement bâties : c'est, de l'aveu de tout le monde, un ouvrage digne des Romains et du roi Lett. à Mme de St Géran, 28 juill. t. II, p. 129, dans POUGENS. ouvrage
Il vient de m'arriver vingt-cinq Flamands pour le linge ouvré comme celui de Courtray Lett. à d'Aubigné, 6 oct. 1682 ouvré, ée
Il me sera difficile d'oublier tous ces lundis où j'avais le plaisir de vous ouvrir mon coeur sur toute sorte de sujets Lett. au card. de Noailles, 24 oct. 1700 ouvrir
La vie des saints est en mépris : Grenade, Rodriguès, Saint-François de Sales sont à peine ouverts Lett. au card. de Noailles, 19 fév. 1701 ouvrir
Si vous vous ouvriez à moi, vous y trouveriez des secours, des complaisances, des consolations Lett. à M. d'Aubigné, 12 juill. 1681 ouvrir
Ce que vous n'imaginerez seulement pas, c'est la beauté des chevaux que montaient les pages de la grande et de la petite écurie, qui les menaient très adroitement Lett. à Mme de Villarceaux, 27 août 1660 page [2]
Les pages de la chambre étaient vêtus de casaques de velours couleur de feu, chamarrées d'or ib. page [2]
Je crains que vous ne fassiez pas bien le pain d'orge ; personne ne s'en accommode en potage ; j'en ai mangé avec du froment, qui est très bon Lett. à Mme de la Viefville, 4 décembre 1709 pain
J'avais espéré dans ce voyage plus de repos pour mon corps et plus de paix pour mon esprit que je n'en trouve ici Lett. à l'abbé Gobelin, 9 février 1675 paix
Quand viendrez-vous, monseigneur, prendre le pallium ? Lett. au card. de Noailles, 6 nov. 1695 pallium
Je vais consulter M. Fagon, et je lui parlerai de l'humeur pancréatique, si je puis retenir ce mot Lett. à Mme de Brinon, t. II, p. 193, dans POUGENS pancréatique
Plus on approfondit tout ce qui a rapport à ce pantalon suisse, plus on trouve de preuves de son incroyable vanité Lett. au D. de Noailles, 19 juin 1710 pantalon
Paperassez à votre aise ; vous me rendrez ces papiers à votre grand loisir Lett. à Mme de Glapion, 21 nov. 1718 paperasser
Il est plus aisé d'arranger tout sur le papier que d'exécuter Lett. au Card. de Noailles, 6 oct. 1699 papier
Que direz-vous de moi ? c'est demain le jour de Pâques ; et j'ai passé la soirée à jouer au trictrac avec M. de Montchevreuil Lettr. à M. Dangeau, 5 sept. 1718 pâque
Je vous conjure de ne paraître dans cette affaire-là que le moins que vous pourrez Lett. au duc de Noail. t. v, p. 248, dans POUGENS paraître
Un paralytique auquel je ne fais aucun bien, et qui n'entend parler de moi que depuis hier, de moi dont la fortune a commencé par un paralytique Lett. au card. de Noailles, 12 déc. 1701 paralytique
J'avais lu la lettre de M. de Rheims, ou plutôt parcouru, car ces matières-là m'ennuient fort Lett. à Mme de Caylus, 8 janv. 1717 parcourir
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