Oeuvres et citations de François de MALHERBE

1677 citations de l'auteur François de MALHERBE (Page 41 sur 42)

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Il y a ce qui n'est ni visible, ni touchable Lexique, éd. L. Lalanne. touchable
Quelle sorte d'ennuis fut jamais ressentie Égale au déplaisir dont j'ai l'esprit touché ! V, 16 touché, ée
Si j'y réussis, j'aurai touché le but que je me propose Lett. I, 7 toucher [1]
La poussière est chose importune en lieu découvert ; jugez ce que ce peut être sous cette caverne où la poudre se tourbillonne en soi-même, et, n'ayant pas où sortir, retourne contre ceux qui la font émouvoir Lexique, éd. L. Lalanne. tourbillonner
Il [Pierre] estime déjà ses oreilles coupables D'entendre ce qui sort de leurs bouches damnables, Et ses yeux d'assister aux tourments qu'on lui fait [à Jésus] I, 4 tourment
Soit que l'Euphrate à sa conquête Te fasse tourner ton désir.... VI, 2 tourner
Que si nos maux passés ont laissé quelques restes, Ils vont du tout finir VI, 6 tout, toute
Ô toi.... Dieu.... Verras-tu concerter à ces âmes tragiques Leurs funestes pratiques, Et tonneras-tu point sur leur impiété ? VI, 26 tragique
Tuer un homme de bien, et le tuer poltronement et traîtrement, c'est mettre le crime si haut qu'il ne puisse aller plus avant Lexique, éd. L. Lalanne. traîtrement
De combien de tragédies, Sans ton assuré secours, Étaient les trames ourdies Pour ensanglanter nos jours ? II, 2 trame
Vous n'écrivez rien qui ne soit bien joint..., j'y trouve des translations ni trop hardies, ni de mauvaise grâce Lexique, éd. L. Lalanne. translation
Comme si j'étais quelque archétype de poltronnerie, il croit que, par une transpiration imperceptible, je la vous aie communiquée Lexique, éd. L. Lalanne. transpiration
Comme en cueillant une guirlande, L'homme est d'autant plus travaillé, Que le parterre est émaillé D'une diversité plus grande IV, 5 travaillé, ée
Et les moins travaillés des injures du sort Peuvent-ils pas justement dire Qu'un homme dans la tombe est un navire au port ? VI, 16 travaillé, ée
Puisque par vos conseils la France est gouvernée, Tout ce qui la travaille aura sa guérison IV, 2 travailler
Et de tous les pensers qui travaillent son âme.... I, 4 travailler
J'eus honte de brûler pour une âme glacée, Et, sans me travailler à lui faire pitié, Restreignis mon amour aux termes d'amitié VI, 32 travailler
Puisses-tu voir sous le bras de ton fils Trébucher les murs de Memphis ! III, 4 trébucher
Nos épées Si fortes et si bien trempées Qu'il faut leur céder ou mourir VI, 8 trempé, ée
Envoyez vos yeux où vous voudrez, vous rencontrerez quelque trait qui vous semblera triable Épît. de Sénèque, XXXIII triable
Ta douleur, du Périer, sera donc éternelle, Et les tristes discours Que te met en l'esprit l'amitié paternelle L'augmenteront toujours VI, 18 triste
Ainsi, trompé de mon attente, Je me consume vainement, Et les remèdes que je tente Demeurent sans événement Chanson, v, 5 trompé, ée
À quelle main entière du plus vaillant homme du monde ne préférerais-je celle de Mucius, toute tronçonnée et rôtie comme elle fut ? Lexique, éd. L. Lalanne. tronçonné, ée
À peine en leur grand nombre une seule se treuve De qui la foi survive VI, 25 trouver
On doute pour quelle raison Les destins si hors de saison De ce monde l'ont appelée ; Mais leur prétexte le plus beau, C'est que la terre était brûlée, S'ils n'eussent tué ce flambeau VI, 14 tuer
L'homme n'est point une besogne tumultuaire et faite sans y penser le Traité des bienf. de Sénèque, VI, 23 tumultuaire
Oh ! combien lors aura de veuves La gent qui porte le turban ! III, 1 turban
Loin de mon front soient ces palmes communes, Où tout le monde peut aspirer ; Loin les vulgaires fortunes, Où ce n'est qu'un, jouir et désirer ! V, 27 un, une
Un qui doit présuppose un qui a prêté le Traité des bienf. de Sénèque, v, 8 un, une
Tel qu'à vagues épandues Marche un fleuve impérieux II, 2 vague [1]
Et que de mères à Memphis, En pleurant, diront la vaillance De son courage et de sa lance Aux funérailles de leurs fils ! Odes, I, 3 vaillance
Et dans ces grands tombeaux, où leurs âmes hautaines Font encore les vaines, Ils sont mangés des vers I, 3 vain, aine
Je suis vaincu du temps, je cède à ses outrages II, 12 vaincre
Ils ressemblent à ceux qui courent à la vallée : leur pesanteur les emporte, et les fait aller plus loin qu'ils n'ont résolu Épît. de Senèque, X vallée
Vous n'y trouveriez rien [dans des vers], à mon avis, qui vaille les désirer Lettres, II, 33 valoir
Que les combats qu'avait faits Minutius en Ligurie n'étaient que simples rencontres, et encore si légères qu'elles ne valaient pas en parler le XXXe livre de Tite Live, ch. 22 valoir
Mais il faut le vouloir, et vaut mieux se résoudre, En aspirant au ciel, être frappé de foudre.... V, 30 valoir
Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre ; C'est Dieu qui nous fait vivre, C'est Dieu qu'il faut aimer I, 3 vanité
Ceux que l'opinion fait plaire aux vanités Font dessus leurs tombeaux graver des qualités Dont à peine un dieu serait digne V, 8 vanité
Rien que ton intérêt n'occupe sa pensée ; Nuls divertissements ne l'appellent ailleurs, Et, de quelque bons yeux qu'on ait vanté Lyncée, Il en a de meilleurs II, 12 vanter
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