Le cygne, le butor, le porphyrion |
SACY
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Bible, Lévit. XI, 18 |
porphyrion |
.... dans les eaux où le cygne se mire |
MUSSET
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Nuit de mai. |
mirer |
Quoi ! je mettrais, dit-il, un tel chanteur [le cygne] en soupe ! |
LA FONTAINE
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Fabl. III, 12 |
chanteur, euse |
Quoi ! je mettrais, dit-il, un tel chanteur [un cygne] en soupe ! |
LA FONTAINE
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Fabl. III, 12 |
soupe |
[La royauté] Soumettant l'aigle au cygne, et l'autour aux colombes |
HUGO
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Odes, II, 7 |
autour [2] |
Je suis un cygne aussi ; je meurs, je puis chanter |
LAMARTINE
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Socr. 342 |
cygne |
Mais il ne faut pas qu'on ignore Qu'en chantant le cygne a fini |
BÉRANGER
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Ma dern. chans. |
cygne |
Le cygne décore, embellit tous les lieux qu'il fréquente |
BUFFON
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Cygne. |
décorer |
Mais il ne faut pas qu'on ignore Qu'en chantant le cygne a fini |
BÉRANGER
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Ma dern. chans. |
finir |
Il allait l'égorger [le cygne], puis le mettre en potage |
LA FONTAINE
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Fabl. III, 12 |
potage |
L'oiseau [le cygne], prêt à mourir, se plaint en son ramage |
LA FONTAINE
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ib. III, 12 |
ramage [1] |
Coupe de corps [du cygne] élégante, formes arrondies, gracieux contours |
BUFFON
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Cygne. |
coupe [1] |
J'ai pris femme noble aux doux yeux, Aux mains blanches, au cou de cygne |
BÉRANGER
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Contr. de m. |
cygne |
Comme un cygne argenté qui s'élève et déploie Ses blanches ailes sur les eaux |
LAMARTINE
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Harm. I, 10 |
déployer |
Le cygne sur les eaux navigue avec noblesse, Courbe de son grand cou l'onduleuse souplesse |
PARCEVAL
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dans GIRAULT-DUVIVIER |
onduleux, euse |
Les poëtes ont dit qu'avant sa dernière heure En sons harmonieux le doux cygne se pleure |
LAMARTINE
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Socrate. |
pleurer |
Un jour le cuisinier, ayant trop bu d'un coup, Prit pour oison le cygne |
LA FONTAINE
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Fabl. III, 12 |
prendre |
Venge cette querelle, et justement sépare Du cygne d'Apollon la corneille barbare |
RÉGNIER
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Sat. II |
venger |
Il [le Dauphin, constellation] a autour de lui l'Aigle, Pégase, la Flèche, le Verseur d'eau et le Cygne |
VOLTAIRE
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Philos. Traduct. d'une lettre. |
verseur |
À leur tête s'avance et nage avec fierté Le cygne au cou superbe, au plumage argenté |
DELILLE
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Jardins, III |
cygne |
Une tête de barbe, avec l'étoile nette, L'encolure d'un cygne, effilée et bien droite |
MOLIÈRE
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Fâch. II, 6 |
encolure |
Sur ce site enchanté, mon âme qu'il attire S'abat comme le cygne, et s'apaise et soupire à cette image du repos |
LAMARTINE
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Harm. I, 10 |
attirer |
Ce sera là que ma lyre, Faisant son dernier effort, Entreprendra de mieux dire Qu'un cygne près de sa mort |
MALHERBE
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II, 2 |
cygne |
Ce sera là que ma lyre, Faisant un dernier effort, Entreprendra de mieux dire Qu'un cygne près de sa mort |
MALHERBE
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II, 2 |
dire |
Ce pauvre cygne achève son destin ; Ne lui donnez plus rien qu'un petit de panade, Car il est mort, autant vaut |
LA FONTAINE
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Fragm. du Songe de Vaux. |
panade |
Quoique le cygne soit assez silencieux, il a néanmoins les organes de la voix conformés comme ceux des oiseaux d'eau les plus loquaces |
BUFFON
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Ois. t. XVII, p. 34 |
loquace |
L'autruche, le casoar, le condor, le cygne, tous les oiseaux majeurs n'ont que peu ou point de variétés dans leurs espèces |
BUFFON
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Ois. t. XVI, p. 36 |
majeur, eure |
Tel ce terrible oiseau qui porte le tonnerre, Par ses ongles tranchants enlève de la terre Le cygne au blanc plumage ou le lièvre peureux |
DELILLE
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Én. IX |
ongle |
Un jour le cuisinier, ayant trop bu d'un coup, Prit pour oison le cygne, et, le tenant au cou, Il allait l'égorger, puis le mettre en potage |
LA FONTAINE
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Fabl. III, 12 |
cuisinier, ière |
[Chez le cygne] coupe de corps élégante, formes arrondies, gracieux contours, blancheur éclatante et pure, mouvements flexibles et ressentis |
BUFFON
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Ois. t. XVII, p. 6 |
ressenti, ie |
La voix habituelle du cygne privé est plutôt sourde qu'éclatante ; c'est une sorte de strideur, parfaitement semblable à ce que le peuple appelle le jurement du chat |
BUFFON
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Ois. t. XVII, p. 35 |
strideur |
Le cygne plaît à tous les yeux ; il décore, embellit tous les lieux qu'il fréquente |
BUFFON
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Cygne. |
embellir |
Un jour le cuisinier, ayant trop bu d'un coup, Prit pour oison le cygne ; et, le tenant au cou, Il allait l'égorger, puis le mettre en potage ; L'autre, prêt à mourir, se plaint en son ramage |
LA FONTAINE
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Fabl. III, 12 |
cygne |
Cette intéressante mythologie [le chant du cygne] dont les fictions, trop blâmées par les esprits froids, répandaient au gré des âmes sensibles tant de grâce, de vie et de charme dans la nature |
BUFFON
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Ois. XVII, p. 466 |
mythologie |
Une tête de barbe avec l'étoile nette [chez un cheval], L'encolure d'un cygne.... Point d'épaules non plus qu'un lièvre, court-jointé.... Des pieds, morbleu ! des pieds ! le rein double.... |
MOLIÈRE
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Fâch. II, 7 |
rein [1] |
[Le cygne et l'oison] Des fossés du jardin faisant leurs galeries, Tantôt on les eût vus côte à côte nager, Tantôt courir sur l'onde.... |
LA FONTAINE
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Fabl. III, 12 |
galerie |
Il [le cygne] veut à son gré parcourir les eaux, débarquer au rivage, s'éloigner au large, ou venir longeant la rive s'abriter sous les bords, se cacher dans les joncs, s'enfoncer dans les anses les plus écartées |
BUFFON
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Ois. t. XVII, p. 9 |
longer |
Vivaient le cygne et l'oison : Celui-là destiné pour les regards du maître ; Celui-ci pour son goût |
LA FONTAINE
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ib. III, 8 |
celui-ci |
Les anciens ne s'étaient pas contentés de faire du cygne un chantre merveilleux ; seul entre tous les êtres qui frémissent à l'aspect de leur destruction, il chantait encore au moment de son agonie, et préludait par des sons harmonieux à son dernier soupir |
BUFFON
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Ois. t. XVII, p. 39, dans POUGENS |
frémir |
... Vivaient le cygne et l'oison : Celui-là destiné pour les regards du maître ; Celui-ci pour son goût |
LA FONTAINE
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Fabl. III, 12 |
pour [1] |