Mme de Ludre lui fit une mine glacée |
SÉVIGNÉ
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370 |
glacé, ée |
Ainsi je brûle en vain pour une âme glacée |
RACINE
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Alex. IV, 3 |
glacé, ée |
Mais sa langue en sa bouche à l'instant s'est glacée |
RACINE
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Athal. II, 2 |
glacer |
Mais sa langue en sa bouche à l'instant s'est glacée |
RACINE
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Athal. II, 2 |
instant [2] |
On pourra voir la Seine à la Saint-Jean glacée |
BOILEAU
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Sat. I |
glacé, ée |
En vain une neige glacée D'Homère ombrageait le menton |
LAMARTINE
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Médit. II, 26 |
neige |
La Mollesse oppressée Dans sa bouche à ce mot sent sa langue glacée |
BOILEAU
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Lutr. II |
sentir |
Son corps était couvert d'une sueur glacée ; mais son courage se soutint |
FÉNELON
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Tél. XVIII |
sueur |
Et dès le premier mot ma langue embarrassée Dans ma bouche vingt fois a demeuré glacée |
RACINE
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Bérén. II, 2 |
demeurer |
Et dès le premier mot, ma langue embarrassée Dans ma bouche vingt fois a demeuré glacée |
RACINE
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Bérén. II, 2 |
embarrassé, ée |
Et, dès le premier mot, ma langue embarrassée Dans ma bouche vingt fois a demeuré glacée |
RACINE
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Bérén. II, 2 |
langue |
Dès le premier mot ma langue embarrassée Dans ma bouche vingt fois a demeuré glacée |
RACINE
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Bérén. II, 2 |
mot |
Et dès les premiers mots ma langue embarrassée Dans ma bouche vingt fois a demeuré glacée |
RACINE
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Bérén. II, 2 |
glacé, ée |
Toujours lui ! lui partout ! ou brûlante ou glacée, Son image [de Napoléon] sans cesse ébranle ma pensée |
HUGO
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Orient. 40 |
lui [1] |
On sait que l'eau salée peut, sans se geler, devenir beaucoup plus froide que l'eau douce glacée |
BUFFON
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Hist. nat. Preuv. théor. terre, Oeuvr. t. I, p. 315 |
salé, ée |
Maintenant tout dormait sur sa bouche glacée ; Le souffle se taisait dans son sein endormi |
LAMARTINE
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Sec. Méditations, 22 |
taire |
Je hais ces vains auteurs dont la muse forcée M'entretient de ses feux, toujours froide et glacée |
BOILEAU
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Art p. II |
glacé, ée |
Je hais ces vains auteurs dont la muse forcée M'entretient de ses feux, toujours froide et glacée |
BOILEAU
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ib. II |
muse [1] |
D'autres soutenaient qu'il [Hercule] était allé jusque sous l'Ourse glacée dompter les Scythes |
FÉNELON
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Tél. X |
ourse [1] |
Je ne suis plus qu'une pensée, L'univers est mort dans mon coeur, Et sous cette cendre glacée Je n'ai trouvé que le Seigneur |
LAMARTINE
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Harm. I, 1 |
glacé, ée |
Un jour le temps jaloux, d'une haleine glacée, Fanera tes couleurs comme une fleur passée Sur ces lits de gazon |
LAMARTINE
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Méd. II, 24 |
passé, ée [1] |
J'eus honte de brûler pour une âme glacée, Et, sans me travailler à lui faire pitié, Restreignis mon amour aux termes d'amitié |
MALHERBE
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VI, 32 |
restreindre |
J'eus honte de brûler pour une âme glacée, Et, sans me travailler à lui faire pitié, Restreignis mon amour aux termes d'amitié |
MALHERBE
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VI, 32 |
travailler |
Les porcelaines qui ne sont pas de cette espèce et qu'on appelle chine moderne, ont la pâte plus longue, le grain plus fin, et la couverture plus glacée, plus blanche, plus belle |
RAYNAL
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Hist. phil. v, 27 |
glacé, ée |
Maintenant tout dormait sur sa bouche glacée ; Le souffle se taisait dans son sein endormi ; Et sur l'oeil sans regard la paupière affaissée Retombait à demi |
LAMARTINE
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Médit. II, 22 |
paupière |
Si l'on veut supputer la surface de cette zone glacée depuis le pôle jusqu'au 82e degré de latitude, on verra qu'elle est de plus de cent trente mille lieues carrées |
BUFFON
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6e époq. nat. Oeuv. t. XII, p. 314, dans POUGENS |
glacé, ée |
Enfin, après trois jours d'une course insensée, Après avoir franchi fleuves à l'eau glacée, Steppes, forêts, déserts.... |
HUGO
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Orient. XXXIV, Mazeppa. |
steppe |
Avant qu'un tel dessein m'entre dans la pensée, On pourra voir la Seine à la Saint-Jean glacée, Arnauld à Charenton devenir huguenot, Saint-Sorlin janséniste, et Saint-Pavin dévot |
BOILEAU
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Sat. I |
huguenot, ote |
Il faisait volte-face pour maintenir l'ennemi, quand tout à coup les hauteurs auxquelles il voulait appuyer sa gauche se couvrirent d'une foule de fuyards ; dans leur effarement, ces malheureux se précipitaient et roulaient jusqu'à lui sur la neige glacée qu'ils teignaient de leur sang |
SÉGUR
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Hist. de Nap. IX, 13 |
effarement |
Le loup, qui, dans cette zone tempérée, est peut-être de tous les animaux le plus féroce, n'est pas, à beaucoup près, aussi terrible, aussi cruel que le tigre, la panthère, le lion de la zone torride, ou l'ours blanc, le loup cervier, l'hyène de la zone glacée |
BUFFON
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Quadr. t. II, p. 4 |
zone |