Oeuvres et citations de Pierre Jean de BÉRANGER

Eléments de biographie : poète lyrique

1931 citations de l'auteur Pierre Jean de BÉRANGER (Page 3 sur 49)

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Mes bons amis, que je vous prêche à table, Moi, l'apôtre de la gaieté Mes cheveux. apôtre
Je fuis des cours le pompeux appareil Nouv. Diog. appareil
Jupin, de ton arrêt j'appelle ; Ta balance et tes poids sont faux Bluets. appeler
Mon appétit s'ouvre, Et mon oeil découvre Les portes d'un Louvre En tourte arrondi Cocag. appétit
La liberté m'enchante, Mais j'ai grand appétit Vocation. appétit
[Hiver !] Ton aquilon qui murmure Ne peut troubler nos chansons Hiver. aquilon
Rappelez-leur que l'aquilon terrible De nos lauriers a détruit vingt moissons B. vieille. aquilon
Mais ces hivers ont eu leurs jours de fête ; Tout ne fut pas aquilons et frimas Bonsoir. aquilon
Dons Quichottes de l'arbitraire, Allons, morbleu ! de la valeur Christophe. arbitraire
Je vois.... D'un arc-en-ciel resplendir les couleurs Treize à table arc-en-ciel
Une arche est encor le refuge Des mortels que l'onde poursuit Nature. arche [2]
Jamais sceptre n'a fait sur terre Autant de bien que mon archet Viol. brisé. archet
J'entends au loin l'archet de la folie, ô mes amis ! prolongez d'heureux jours Carnaval. archet
Je suis un sou de bon aloi, Mais en secret argentez-moi, Et me voilà fausse monnaie Refus. argenter
Du préfet je crains les argus Trembl. argus
Il sait qu'en peu de jours Ces flots que rien n'arrête.... Exilé. arrêter
Feu d'artifice éteint par une averse Fille du Peuple. artifice
Malgré le sort qui sous sa loi Tient la vertu même asservie Filleule. asservi, ie
De soupçons jaloux assiégé, Dorval n'a ni bu ni mangé Deo gratias. assiégé, ée
Un gourmand dans son assiette Fond le bien de ses aïeux H. rangé. assiette
Gardes, je défends qu'on l'assomme ; Vilain, dit-il, explique-toi Contr. de mariage. assommer
Rosette, sous de frais atours, Courait à pied, leste et riante Rosette. atour
Aux gens atrabilaires Pour exemple donné, En un temps de misères Roger Bontemps est né Rog. B. atrabilaire
Dans une conque de saphir De huit papillons attelée Pet. fée. attelé, ée
Ah ! dites bien qu'amoureux et sensible, D'un luth joyeux il attendrit les sons Bonne vieille. attendrir
Çà, mesdames, qu'en pensez-vous ? C'est à vous de juger les coups. Quoi ! ce spectacle vous atterre ! Box. atterrer
Fourier nous dit : .... Peuple.... Travaille, groupé par phalange, Dans un cercle d'attractions Fous. attraction
. Et tout renaît, et déjà l'aubépine A vu l'abeille accourir à ses fleurs Malade. aubépine
Quoi ! d'une charte on nous a fait l'aumône, Et sous le joug vous voulez nous courber ! Tomb. de juillet. aumône
Qui peut me dire où luit son auréole ? De son exil Dieu l'a-t-il rappelé ? Ange exilé. auréole
Mais jusqu'à sa dernière aurore, En buvant frais, s'épanouir, Mes amis, ce n'est pas vieillir Vieillesse. aurore
La preuve de l'autochthonie des habitants d'Ancon [ville du Pérou] se trouve dans leurs sépultures, qui contrastent avec les coutumes asiatiques des Incas Rev. d'anthrop. t. IV, p. 58 autochthonie
Soleil si doux au déclin de l'automne.... Adieux à la campagne. automne
Qu'il coule gaiement son automne, Que son hiver soit encor loin ! Doct. et mal. automne
J'ai vu cent fois l'avalanche et l'orage, L'ours et les loups fondre sur mes brebis Nostalgie. avalanche
Chamarré de vieux oripeaux, Ce roi grand avaleur d'impôts Marche entouré de ses fidèles Ch. le Simple. avaleur
Mais, sans esprit, faut-il mettre en avant De gais couplets qu'on répète en buvant ? Mort viv. avant
Aurions-nous mieux employé la jeunesse, Vécu moins vite avec un riche avoir ? Bonsoir. avoir [2]
Je ne tiens qu'au refrain bachique Par le tournebroche annoncé Tournebr. bachique
L'espoir qui le domine, C'est, chez son vieux portier, De parler de la Chine Aux badauds du quartier Jean de Paris. badaud, aude
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