Il est des végétaux d'où l'art sait exprimer Quelques sucs bienfaisants.... |
Lear, IV, 5 |
exprimer |
Hélas ! pour mon malheur le ciel me fit extrême |
Abufar, IV, 5 |
extrême |
Les extrêmes, ma soeur, sont bien près l'un de l'autre |
Abufar, III, 2 |
extrême |
J'admirais cette vie et si douce et si pure, Ce facile bonheur que donne la nature |
Othello, III, 4 |
facile |
....L'ambition, l'amour, Par de fatals excès ont troublé cette cour |
Hamlet, III, 2 |
fatal, ale |
Un besoin fatigant, un désir furieux De sortir de moi-même et de voir d'autres cieux |
Abufar, II, 7 |
fatigant, ante |
Ma faute maintenant se découvre à mes yeux |
Othello, II, 1 |
faute |
Soleil dont la lumière et la chaleur féconde Sont l'oeil, l'âme, la règle et la splendeur du monde |
Abuf. I, 3 |
fécond, onde |
Dans ces champs fécondés Par les trésors du Nil dont ils sont inondés |
Abufar, II, 7 |
fécondé, ée |
Tous les soins d'une femme ont un charme si doux |
Abufar, I, 3 |
femme |
Mais moi fils du désert, moi fils de la nature, Qui dois tout à moi-même et rien à l'imposture |
Othello, II, 7 |
fils |
Dans mon parti nombreux cette utile alliance Fixera la faveur, le crédit, la puissance |
Roméo, I, 3 |
fixer |
Les regards un moment se sont fixés sur moi |
Othello, V, 2 |
fixer |
Pour murmurer jamais ma tendresse est trop forte |
Abufar, III, 6 |
fort, orte |
Est-ce à vous libre, errant, fougueux dans vos désirs, à goûter comme moi ces funestes plaisirs ? |
Abufar, III, 2 |
fougueux, euse |
Son calme, sa fraîcheur [de l'air] se répand dans mes veines |
Othello, V, 3 |
fraîcheur |
Hélas ! déjà privé de sa fraîcheur première, Ton front, bientôt flétri, penchera vers la terre |
Abufar, IV, 7 |
fraîcheur |
Ton esprit, je le crois, du trône encor frappé Toujours du même objet est donc préoccupé ? |
Macbeth, III, 4 |
frappé, ée |
[à Venise] La mort frappe sans bruit, le sang coule en silence |
Othello, II, 7 |
frapper |
Mon coeur frémit de joie |
Macbeth, II, 3 |
frémir |
Froid cercueil |
Abufar, III, 2 |
froid, oide [1] |
De quel front oses-tu commander en ces lieux, Ou ton froid parricide a fait pâlir les dieux ? |
Lear, V, 2 |
froid, oide [1] |
Dis-moi donc.... Que voulais-je ? ah ! dans mon trouble extrême, Je veux.... je crains.... j'ai froid |
Abufar, IV, 5 |
froid [2] |
Son front était pensif, son âme était émue |
Abufar, II, 2 |
front |
Je te donne des fruits, une tente, un chameau ; Voilà tous mes trésors, c'est là notre richesse |
Abuf. I, 3 |
fruit [1] |
Crois-moi, dans leur furie, Les coeurs les plus ardents ont leur mélancolie |
Abufar, III, 2 |
furie |
Un besoin fatigant, un désir furieux De sortir de moi-même et de voir d'autres cieux |
Abufar, II, 7 |
furieux, euse |
Je suis d'un sexe faible, au fuseau destiné |
Macbeth, III, 4 |
fuseau |
Ils pensent voir errer sur des nuages sombres De Glamis, de Duncan les gémissantes ombres |
Macbeth, IV, 3 |
gémissant, ante |
Un mortel généreux connaît mal l'imposture |
Macbeth, I, 1 |
généreux, euse |
La terre sous leurs pas fait germer tous les maux |
Abufar, III, 2 |
germer |
Le cours silencieux De ces globes brillants dispersés dans les cieux |
Abufar, II, 7 |
globe |
La gloire aux criminels ne sert point de refuge |
Othello, I, 6 |
gloire |
Le coeur plein de sanglots, les yeux gonflés de pleurs |
Oscar, I, 2 |
gonflé, ée |
Tu péris, et si jeune ! ah ! nos sables peut-être, Ou les gouffres des mers t'auront vu disparaître |
Abufar, I, 6 |
gouffre |
De mépris, de dégoûts, d'outrages ténébreux Abreuve goutte à goutte un vieillard malheureux |
Lear, I, 4 |
goutte [1] |
Dans tous les lieux, sans cesse ouvrant l'oeil et l'oreille, En paraissant dormir le gouvernement veille [à Venise] |
Oth. II, 7 |
gouvernement |
Voilà ce qui m'irrite et grossit mon injure |
Othello, III, 5 |
grossir |
Le sort va de mes coups servir la hardiesse |
Lear, V, 1 |
hardiesse |
Parmi les forêts Qui des monts de l'Arven hérissent les sommets |
Oscar, II, 2 |
hérisser |