Oeuvres et citations de Jean-François DUCIS

363 citations de l'auteur Jean-François DUCIS (Page 8 sur 10)

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Citation Œuvre Entrée
Peut-être ces débris promenés par les flots Sont-ils ceux de la nef qui portait ce héros ! Oscar, I, 2 nef
Ce bras nerveux encore est propre à l'entr'ouvrir Lear, II, 4 nerveux, euse
Tous ces nobles sans gloire ou connus par leurs vices Othello, II, 1 noble
Il nous vient d'avouer ses noires impostures Oth. V, 6 noir, oire
Ma fierté naturelle est assez satisfaite de quelques non bien fermes que j'ai prononcés dans ma vie Correspondance, 7 novembre 1806 non
Si jamais d'un soupçon le plus léger nuage Affligeait sa vertu par quelque indigne outrage Othello, IV, 3 nuage
Ce nuage d'ennui, cette sombre langueur.... Abufar, I, 1 nuage
Il ne m'objecte plus dans un humble langage Ces timides raisons qui glacent le courage Macbeth, III, 3 objecter
Mais le jour baisse et l'air s'est épaissi ; J'entends crier l'oiseau de triste augure Oth. V, 2 oiseau [1]
Son coeur cacherait-il quelque orage terrible ? Othello, IV, 7 orage
Sachez cependant que, quand j'ouvre tout à fait la main libérale, je tiens un peu plus fermée la main qui est la gardienne de la maison et la soeur économe Correspondance, 11 oct. 1813 ouvrir
Mais toi qui voyais tout avec un oeil paisible Othello, IV, 1 paisible
Ah ! s'il me permettait ce funèbre entretien, La pâleur de mon front passerait sur le tien Hamlet, II, 5 pâleur
Quelle sombre fureur ou quel secret dessein De terreur ou d'espoir fait palpiter son sein ? Macbeth, III, 1 palpiter
Né sous un ciel sauvage et nourri loin des cours, On ne m'a point appris à parer mes discours Othello, I, 7 parer
Le peuple élève au ciel ta valeur, ta vertu ; Mais tu n'es pour ces grands qu'un soldat parvenu Othello, II, 7 parvenu, ue
Il faut pour tant d'horreur, Que tout l'art de Venise ait passé dans son coeur Othello, v, 4 passer
Ton front bientôt flétri penchera vers la terre Abuf. IV, 7 pencher
Perdant tout ensemble et la voix et les pleurs Oscar, II, 2 perdre
Vivant, du rang suprême on sent mal le fardeau ; Mais qu'un sceptre est pesant, quand on entre au tombeau ! Hamlet, II, 3 pesant, ante
La mort, c'est le sommeil ; c'est un réveil peut-être.... Peut-être ! ah ! c'est ce mot qui glace épouvanté L'homme au bord du cercueil par le doute arrêté Hamlet, IV, 2 peut-être
Chant plaintif Othello, V, 2 plaintif, ive
Hurlements plaintifs Oscar, II, 2 plaintif, ive
Mon père en ce palais est mort par le poison Hamlet, II, 5 poison
Ici [dans le tombeau] nos fiers aïeux, par la haine animés, S'embrassent dans la poudre unis et désarmés Roméo, v, 1 poudre
Ma pauvreté est fière ; je n'ai qu'un méchant pourpoint, mais je n'y veux point de taches Corresp. 11 oct. 1813 pourpoint
Ces signes précurseurs du trépas des héros Ont-ils, pendant la nuit, troublé votre repos ? Oscar, I, 2 précurseur
Nous tremblons.... Que, voyant Capulet, ces rivaux en présence Ne s'arrachent la vie Roméo, II, 5 présence
J'ai lu dans tous ses traits la preuve de son crime Abuf. III, 6 preuve
Je ne croyais pas qu'il put être au monde un poëte plus en sûreté que moi contre les prix décennaux.... faire appartenir mon Hamlet aux prix décennaux, ce serait vouloir que le passé devînt le présent, pour me ramener malgré moi sous les récompenses d'aujourd'hui Corresp. 27 nov. 1810 prix
Heureuse solitude, Seule béatitude, Que votre charme est doux ! De tous les biens du monde Dans ma grotte profonde Je ne veux plus que vous Poésies diverses profond, onde
Dans le vague avenir ma raison se promène Oscar, IV, 1 promener
D'où provient sur ton front cette pâleur mortelle ? Oscar, I, 3 provenir
Quelques sucs bienfaisants dont la puissance active Rappelle en notre esprit sa clarté fugitive [de la raison] Lear, IV, 5 puissance
Fantôme horrible, arrête ! Arrête ! Hé depuis quand, couverts de leurs lambeaux, Ces spectres déchaînés sortent-ils des tombeaux ? Macbeth, IV, 4 quand
Ô jour inespéré, Jour fait pour racheter un siècle de disgrâce ! Oscar, IV, 2 racheter
Ces verts rameaux penchent leur chevelure Othello, V, 2 rameau
Mais as-tu près de moi rangé ces vêtements Qui couvrirent ma mère à ses derniers moments ? Othello, V, 2 ranger [1]
.... Par nos regrets les ranimerons-nous ? Rom. IV, 1 ranimer
Son âme est libre encore, et Pharasmin peut plaire, Leur âge les rapproche.... Abufar, II, 7 rapprocher
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