| Pour vous de mes travaux compagnons héroïques... |
Macbeth, II, 4 |
héroïque |
| Et qu'est-ce qu'un héros ? - Mon enfant, c'est le brave |
Oscar, IV, 1 |
héros |
| J'aurai dénaturé cet heureux naturel |
Lear, II, 4 |
heureux, euse |
| Non je ne croirai pas que mon fils inflexible, Sous des dehors heureux cache un coeur insensible |
Abufar, Il, 7 |
heureux, euse |
| Vents homicides |
Abufar, II, 7 |
homicide [1] |
| Allons, reprends tes sens, sois homme |
Abuf. IV, 5 |
homme |
| Souffrez que dans cet heureux jour Je m'honore à vos yeux du prix de mon courage |
Roméo, I, 3 |
honorer |
| Au bout de l'horizon, mes désirs et mes yeux Reculaient pour te suivre et la terre et les cieux |
Abufar, III, 2 |
horizon |
| Vous ne reverrez plus la tribu de mon père, Les fils de Samuel, la tente hospitalière |
Abufar, I, 5 |
hospitalier, ière |
| Quelques pleurs s'échappaient de sa paupière humide |
Oscar, I, 2 |
humide |
| Les dogues gémissants, en hurlements funèbres, Appellent-ils leur maître errant dans les ténèbres ? |
Oscar, I, 2 |
hurlement |
| Ces trois soeurs qui, d'Odin ranimant les soldats, Couraient, volaient, frappaient, hurlaient dans les combats |
Macbeth, I, 1 |
hurler |
| L'éclair croise l'éclair, l'air mugit, le ciel gronde, La tempête en hurlant creuse et soulève l'onde |
Oscar, III, 1 |
hurler |
| Voilà donc ce bonheur dont j'embrassais l'image |
Roméo, III, 4 |
image |
| Mes pas pressaient vos pas sur le sable imprimés |
Abufar, I, 5 |
imprimé, ée |
| Dans un songe pénible, abusés par leurs voeux, Ils traînent l'impuissance et l'espoir d'être heureux |
Abuf. III, 2 |
impuissance |
| Vois comme ils ont d'abord détruit l'égalité, Au peuple inattentif ravi la liberté |
Othello, III, 7 |
inattentif, ive |
| Me voici sous vos coups humblement inclinée |
Lear, III, 5 |
incliné, ée |
| Mon frère, étais-tu fait pour incliner la tête Sous le poids des torrents vomis par la tempête ? |
Lear, IV, 5 |
incliner |
| Sujet et courtisan, Cours au pied d'un despote incliner ton turban |
Abufar, III, 4 |
incliner |
| Dans un vaste désert je me crois transportée, Sur une terre aride, inculte, inhabitée |
Abuf. II, 2 |
inculte |
| De ses feux tôt ou tard j'acquerrai quelque indice |
Othello, IV, 1 |
indice |
| C'est là, cachant son sort, que sa vertu tranquille D'un vieillard indigent a partagé l'asile |
Lear, I, 4 |
indigent, ente |
| Ce Montaigu, ce père infortuné, Qu'un sort inexplicable eût ici ramené |
Roméo, I, 1 |
inexplicable |
| J'allais, je regardais, mon oeil ne voyait pas ; Un charme inexprimable entraînait tous mes pas |
Abuf. II, 2 |
inexprimable |
| Crois-tu que cette fièvre inextinguible, ardente, Qui jusque dans tes bras me sèche et m'épouvante, Soit l'effet passager d'un caprice ou d'un jour ? |
Oscar, IV, 2 |
inextinguible |
| Tu n'as point, ô Macbeth, épargnant tes victimes, L'inflexibilité qui convient aux grands crimes |
Macbeth, III, 1 |
inflexibilité |
| J'exclus un faible roi qui ne peut gouverner, Une ombre, un vain fantôme, inhabile à l'empire |
Haml. I, 1 |
inhabile |
| Dans un vaste désert je me crois transportée, Sur une terre aride, inculte, inhabitée |
Abufar, II, 2 |
inhabité, ée |
| L'amour innocemment est entré dans mon coeur |
Abufar, III, 6 |
innocemment |
| Ta tendresse inquiète accroît ta vigilance |
Othel. II, 2 |
inquiet, ète |
| Zèle insidieux |
Lear, V, 2 |
insidieux, euse |
| L'infâme Claudius, du crime instigateur, Fut de ma mort surtout le complice et l'auteur |
Hamlet, II, 5 |
instigateur. trice |
| Pourquoi fatiguez-vous d'une plainte imprudente Ma constance ébranlée et presque insuffisante ? |
Oscar, II, 2 |
insuffisant, ante |
| J'interroge mon coeur, j'interroge ma vie |
Osc. IV, 2 |
interroger |
| Avec un coeur barbare on peut être intrépide |
Othello, I, 5 |
intrépide |
| Ce feu, longtemps caché, qui vient de nous surprendre, Dans Vérone allumé, s'irritait sous la cendre |
Othello, I, 1 |
irriter |
| De cette noble ardeur que j'aime à voir l'ivresse ! |
Roméo, I, 3 |
ivresse |
| Égaré, subjugué, jeté hors de moi-même, Je ne suis plus à moi, ....j'aime |
Oscar, II, 2 |
jeté, ée [1] |
| La jeunesse est souvent la saison des douleurs |
Othello, II, 5 |
jeunesse |