Oeuvres et citations de Jean-François DUCIS

363 citations de l'auteur Jean-François DUCIS (Page 9 sur 10)

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Citation Œuvre Entrée
Quand Venise aspirait à régner sur les eaux Othello, I, 7 régner
Avec son femelle Aristarque, Qui rien ne passe et tout remarque, Avec madame Vaugelas, Notre pauvre Chrysale, hélas ! Put-il jamais dans son Plutarque Mettre en paix du moins ses rabats ? le Ménage des deux Corneille. remarquer
Tu me rends à l'espoir, tu me rends à la vie Othello, II, 1 rendre
C'est ainsi de tout temps qu'au gré de leurs caprices D'ingrats républicains ont payé les services Othello, I, 6 républicain, aine
Mourons ; que craindre encor quand on a cessé d'être ? La mort, c'est le sommeil.... c'est un réveil peut-être ! Hamlet, IV, 1 réveil
[Elles] S'approchaient, me montraient avec un ris farouche Macbeth, II, 6 ris [1]
Ces vers [ceux de Corneille].... Parés de leur rouille adorable le Ménage des deux Corneille. rouille
Massacrer de sang-froid un enfant au berceau Macbeth, II, 9 sang-froid
Des enfants scélérats qui trompent notre amour Lear, II, 7 scélérat, ate
Déjà l'ardente soif le sèche et le dévore Abuf. I, 3 sécher
Que du ciel sur les rois les arrêts sont terribles !.... Nos mains se sécheraient en touchant la couronne, Si nous savions, mon fils, à quel titre il la donne Hamlet, II, 5 sécher
Aidé, pour tout secours, des soins d'un misérable, Qui dans moi, par pitié, vit encor son semblable Roméo, IV, 5 semblable
[à Venise, sous l'inquisition d'État] La mort frappe sans bruit, le sang coule en silence Othello, II, 7 silence
La foudre à longs sillons éclatant dans les nues Hamlet, I, 1 sillon
Le temps sur son visage A tracé ses sillons, a gravé son outrage Roméo, II, 1 sillon
Déjà l'ardente soif le sèche, le dévore Abuf. I, 3 soif
Petit séjour commode et sain Où je vis, m'endors et m'éveille, Sans aucun soin du lendemain à son logis. soin
Vous ne reverrez plus la tombe de mon père.... Le sol où croît pour nous le doux fruit du dattier Abufar, I, 5 sol [2]
Hélas ! il m'a parlé de calme, de repos, D'un long sommeil de paix qui finit tous nos maux Othello, V, 2 sommeil
Nos songes sont souvent des délateurs secrets, De nos voeux les plus sourds confidents indiscrets Macbeth, III, 1 songe
Sa mort sonne ; une.... deux.... c'est l'instant de frapper Macbeth, V, 7 sonner
Quand le sort une fois a marqué sa victime, Rien ne change l'arrêt, injuste ou légitime Macbeth, I, 1 sort
J'aurais voulu, courant, m'élançant loin de toi, Sortir de cet amour qui fuyait avec moi Abuf. IV, 8 sortir [1]
Avec quel souffle pur je l'entends qui respire ! Othello, V, 4 souffle
De ses sourdes douleurs j'ai vu la violence Abufar, IV, 1 sourd, sourde
Dans le détroit du Sund nos vaisseaux submergés Hamlet, I, 1 submergé, ée
Il est des grands hommes à qui l'on succède, et que personne ne remplace Discours de réception (il succédait à Voltaire) succéder
De vous, sur ces dehors, que voulez-vous qu'on pense ? Hamlet, IV, 3 sur [1]
Mais surveillons Norceste, et sachons tout prévoir Hamlet, III, 1 surveiller
Ma pauvreté est fière ; je n'ai qu'un méchant pourpoint, mais je n'y veux point de taches Corresp. 11 octobre 1813 tache
En paraissant dormir le gouvernement veille ; Ténébreux dans sa marche, il poursuit son chemin Othello, II, 7 ténébreux, euse
Je suis homme et soldat ; ce sont là tous mes titres Othello, I, 7 titre [1]
Qu'un vaste empire tombe, Qu'est-ce, au loin, pour ma tombe, Qu'un vain bruit qui se perd ? Stances. tombe
Mais qu'un sceptre est pesant, quand on entre au tombeau ! Hamlet, II, 5 tombeau
Que me parles-tu, Vallier, de m'occuper à faire des tragédies ? la tragédie court les rues ; si je mets les pieds hors de chez moi, j'ai du sang jusqu'à la cheville Corresp. à M. Vallier (sans date, mais pendant la terreur). tragédie
Et, dans un chant plaintif conforme à ses douleurs, Elle unissait souvent et sa voix et ses pleurs Othello, v, 2 unir
Pourquoi ? dans quel dessein ? parlez : à quel usage ? Othello, v, 4 usage
Chantez le saule et sa douce verdure Othello, v, 2 verdure
Et moi j'aime à chanter les vers plaintifs d'Isaure Othello, v, 2 vers [1]
Ces verts rameaux penchent leur chevelure Othello, v, 2 vert, erte
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