Oeuvres et citations de Alexis PIRON

172 citations de l'auteur Alexis PIRON (Page 3 sur 5)

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Citation Œuvre Entrée
Le bon sens du maraud quelquefois m'épouvante. - Mondor : Molière avec raison consultait sa servante Métrom. II, 11 maraud, aude
Que la fortune donc me soit mère ou marâtre : C'en est fait, pour barreau je choisis le théâtre Métrom. III, 9 me
Comment diable, à merveille, à miracle ! courage ! Métrom. III, 8 miracle
Et vous avez grand monde ? - à ne pas nous connaître Métrom. I, 1 monde [1]
À monter aisément ma lyre sur ce ton Métrom. III, 9 monter
Voilà tout bien appareillé, Le mousquetaire agenouillé, Et le malin corps en posture le Nez et les pincettes, conte mousquetaire
Tel est le coeur humain, surtout celui des femmes : Un ascendant mutin fait naître dans nos âmes, Pour ce qu'on nous permet, un dégoût triomphant, Et le goût le plus vif pour ce qu'on nous défend Métrom. II, 4 mutin, ine
Il vendit en cour Par un bon tour De gibecière Deux fois en un an De l'opium pour du nanan Chanson. nanan
Connaissez-vous sur l'Hélicon L'une et l'autre Thalie [la comédie franchement gaie, et la comédie larmoyante, cultivée par la Chaussée] ? L'une est chaussée et l'autre non ; Mais c'est la plus jolie ; L'une a le rire de Vénus, L'autre est froide et pincée ; Honneur à la belle aux pieds nus ; Nargue de la chaussée Épigr. contre la Chaussée. nargue
....Et vous vous souvenez Que vous vous trouvez, vous et ce fils, nez à nez Métrom. III, 7 nez
Qui n'est bourgeois, abbé, robin ni militaire Métr. I, 1 ni
Je vous l'ai dit cent fois, c'est une nonchalante Qui s'abandonne au cours d'une vie indolente Métrom. I, 2 nonchalant, ante
Quoi ! mon oncle, c'est vous ? mon cher oncle est des nôtres ! Métrom. III, 9 nôtre
Le nourrisson du Pinde, ainsi que le guerrier, à tout l'or du Pérou préfère un beau laurier Métrom. III, 7 nourrisson
J'ai demain, pour ma part, cent places retenues, Et veux, après demain, vous faire aller aux nues Métrom. V, 13 nue
Elle a vu mon rival d'un oeil de complaisance Métrom. III, 2 oeil
....S'il est ici, je gage mes oreilles Qu'il est dans quelque allée à bayer aux corneilles Métrom. I, 1 oreille
Mais je m'oriente au portrait que vous faites Métrom. I, 1 orienter
Et la palme du Cid.... Croît et s'élève encore au sommet du Parnasse Métrom. III, 9 palme [1]
Ce procès me ruine en sotte paperasse Métrom. IV, 3 paperasse
Ou des auteurs sans nom grossir la foule obscure.... Le parodiste oisif et les forains t'attendent Métrom. III, 7 parodiste
Non, j'appelle, en auteur soumis mais peu craintif, Du parterre en tumulte au parterre attentif Métrom. v, 12 parterre
Vers l'immortalité je fais les premiers pas Métr. I, 8 pas [1]
D'ailleurs ne dit-on pas : telles gens, tel patron ; Et dès que je le sers, peut-il être un poltron ? Métrom. IV, 1 patron, onne [1]
Où la vas-tu chercher [la gloire] ? ce temple prétendu, Pour parler ton jargon, n'est qu'un pays perdu Métrom. III, 9 pays
Vous penchiez pour quelqu'un ; j'en suis fâché pour vous ; Pourquoi tardiez-vous tant à me le venir dire ? Métrom. V, 11 pencher
Tout le premier, lui-même, il en raille [de critiques], il en rit ; Grimace ! l'auteur perce, il les lit, les relit Métr. I, 3 percer
Pourriez-vous nous trouver de ces perturbateurs Du repos du parterre et des pauvres auteurs, Contre les nouveautés signalant leurs prouesses, Et se faisant un jeu de la chute des pièces ? Métrom. IV, 10 perturbateur, trice
Crébillon, qui a plus fumé de pipes en sa vie que Voltaire n'a pris de lavements dans GRIMM, Corresp. t. II, p. 395 pipe
Mais plaisir pour plaisir ; pour vous que puis-je faire ? Métrom. II, 1 plaisir
[La pièce est tombée] Tout à plat. - Damis : Tout à plat ? - Baliveau à Damis : Oh ! tout à plat Métrom. V, 2 plat, ate [1]
Aussi me traite-t-on de poëte à la douzaine Métrom. II, 1 poëte
Ah ! quelque humeur qu'il ait, il faudra bien qu'il rie, Et pour cela, d'abord je lis ma tragédie Métrom. III, 12 pour [1]
De l'humeur dont il est, j'admire seulement Qu'il daigne se prêter à nous pour un moment Métrom. IV, 4 prêter
Mais donne-lui cuir et poil de Judas, Deux yeux de chien, gueule à triple quenotte Épigr. quenotte
La quenouillée est d'un beau lin, Plus blanc que la neige et si fin Qu'à l'oeil il est imperceptible Contes en vers, la Quen. unique et merveilleuse quenouillée
Adieu, lui dit-il, quitte à quitte Le nez et les pincettes, conte en vers quitte
On m'ignore, et je rampe encore à l'âge heureux Où Corneille et Racine étaient déjà fameux Métrom. III, 9 ramper
Mondor : Une maîtresse en l'air et qui n'eut jamais vie ? - Damis : Oui, je l'aimais avec autant de volupté Que le vulgaire en trouve à la réalité Métrom. II, 8 réalité
Je vous remets la foi que vous m'avez donnée Métrom. V, 9 remettre
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