Nous espérons de vous voir bientôt ; ne nous trompez pas, et ne faites point l'impertinente ; on dit que vous l'êtes beaucoup sur ce chapitre |
dans SÉV. 28 oct. 1676 |
impertinent, ente |
Adieu, ma belle petite soeur.... aimez-moi si cela ne vous tourne pas à importunité |
dans SÉV. 19 fév. 1690 |
importunité |
Il s'ensuit de là.... que l'on a voulu très méchamment m'imposer une extravagance pour me tourner en ridicule |
dans SÉV. 31 août 1697 |
imposer |
Quelque liaison qu'il y ait entre vous et M. de Morveaux, vous en avez encore davantage avec la justice et la raison |
à Lamoignon, dans SÉV. t. X, p. 292, édit. RÉGNIER |
liaison |
Cela lui était libre, et je ne songeais pas à l'empêcher |
dans SÉV. t. X, p. 433, éd. RÉGNIER |
libre |
Que dites-vous de la peinture que ma mère vous fait des femmes qu'il faudrait étouffer entre deux matelas ? |
dans SÉV. 28 août 1680 |
matelas |
Ce sont là les mêmes paroles dont vous vous servez dans votre lettre |
t. X, p. 409, éd. RÉGNIER. |
même |
Comme elle [Pauline, la nièce de M. de Sévigné] a, ainsi que son oncle, la grossièreté de ne pouvoir mordre aux subtilités de la métaphysique |
dans SÉV. 15 janv. 1690 |
mordre |
Si vous voulez avoir quelque repos avec moi, ne lisez point Virgile ; je ne vous pardonnerais jamais les injures que vous lui pourriez dire ; cependant si vous pouviez vous faire expliquer le sixième livre et le neuf où est l'aventure de Nisus et d'Euryale.... |
à Mme de Grignan, dans SÉV. 23 juill. 1677 |
neuf [1] |
Il ne sera pas dit que l'on cachète une lettre à mon nez, sans que je vous donne quelque légère signifiance |
dans SÉV. 1er sept. 1680 |
nez |
On m'a assuré, mon révérend père, que, dans les services que vous faites pour ceux de notre maison, on ne m'y donnait pas les prières nominales, ce qui m'est dû incontestablement par la fondation |
dans SÉV. t. VII, p. 383, éd. RÉGNIER |
nominal, ale |
Comme je suis encore fort nouveau dans mes affaires |
dans SÉV. t. VII, p. 382, édit. RÉGNIER |
nouveau |
Voulez-vous donc rompre tout commerce avec votre fils, après avoir tant fait pour lui ? voulez-vous vous ôter à lui ? |
à Mme de Sév. t. VII, p. 258, éd. RÉGNIER. |
ôter |
Par là je répondrai à beaucoup de choses du dernier écrit que je ne crois pas devoir traiter en particulier : ce serait voler le papillon |
Sur l'art poétiq. d'Hor. dans SÉVIGNÉ, t. XI, p. 328, édit. RÉGNIER. |
papillon |
Je ne suis point en bonne humeur ; je viens d'avoir une conversation sérieuse avec le bien bon sur les malheurs du temps [les difficultés d'argent], et vous savez comme ce chapitre met le poignard dans le coeur |
dans SÉV. 12 janv. 1676 |
poignard |
Quand j'y pourrais donner atteinte [à ce que Mme de Sévigné avait fait pour Mme de Grignan], ce qui me fait horreur à penser, et que j'en aurais des moyens aussi présents qu'ils seraient difficiles à trouver |
(dans SÉV. t. X, p. 410, édit. RÉGNIER) |
présent, ente [1] |
S'il arrivait des années malheureuses, je me fais bien fort que ma mère entrerait en raison pour prendre du temps et des commodités qui vous faciliteraient le payement de votre ferme |
à d'Herigoyen, dans SÉV. t. VIII, p. 70, édit. RÉGNIER |
raison |
Vous savez que Mme de Sévigné m'a apporté en mariage deux cent mille francs ; il serait difficile, ma chère soeur, que, sans être entièrement ruinée, vous rendissiez en espèces une si grosse somme ; mais la coutume de Bretagne y a pourvu ; elle ordonne que l'on fasse une rassiette en terres |
à Mme de Grignan, dans SÉV. t. X, p. 414, éd. Régnier |
rassiette |
Adieu, mon adorable petite soeur que j'aime avec toute la tendresse dont je suis capable.... je ne sais pourquoi vous me quittez du réciproque ; il me semble que vous devriez être contente de ce que je sens pour vous |
à Mme de Grignan, dans SÉV. 11 nov. 1676 |
réciproque |
S'il y a des réfactions ou réparations auxquelles la Jarie est obligé par son bail, il y en a aussi qui doivent être faites par ma mère |
t. VII, p. 527, dans SÉV. éd. RÉGNIER |
réfaction |
Si ma mère s'était abandonnée au régime de ce bonhomme.... elle ne serait point tombée dans cette maladie, qui ne vient que d'une réplétion épouvantable d'humeurs |
dans SÉV. 3 févr. 1676 |
réplétion |
Ma mère se porte parfaitement bien, ayez-en l'esprit en repos |
dans SÉV. 557 |
repos |
Nous [Sévigné et Morveaux] sommes une vive représentation de ce que Lucain dit de César et de Pompée.... il est vrai que dans cette représentation je suis Pompée ; mais j'espère que M. de Morveaux ne me battra pas, et qu'on ne lui présentera pas ma tête |
dans SÉV. t. X, p. 299, édit. RÉGNIER |
représentation |
Il suffirait de rompre deux ou trois chaussées près de la ville [Bourgneuf] pour en rendre toutes les avenues impraticables |
dans SÉV. t. XI, p. XXXVI, édit. RÉGNIER |
rompre |
Mme de Chaulnes fut saisie du refus de ma mère ; elle se tut, elle rougit, elle s'appuya |
dans SÉV. 25 juill. 1689 |
saisir |
Ce qui a causé la sécheresse où j'ai été.... c'est que j'ai donné beaucoup d'argent pour les rachats des terres de Basse-Bretagne |
dans SÉV. t. X, p. 408, édit. RÉGNIER |
sécheresse |
Les semences de piété et de religion que vous et moi avons reçues de notre éducation |
à Mme de Grignan, dans SÉV. t. X, p. 418, éd. RÉGNIER |
semence |
Ma fortune.... s'est-elle tournée de manière à bien encourager à me faire des biens de surérogation ? |
dans SÉV. t. x, p. 409, édit. RÉGNIER |
surérogation |
Croyez que vos bonnes grâces à tous me sont très précieuses, si tant est que je les aie |
dans SÉV, t. IX, p. 468, éd. RÉGNIER |
tant |
Il y a un mois qu'elle [Mlle du Plessis] joue la fièvre quarte, pour faire justement tomber qu'elle la quitte le jour que ma mère va dîner au Plessis |
dans SÉV. 5 janv. 1676 |
tomber |
Je tournais tout autour de cette pensée, et ce que je disais ne me contentait point |
dans SÉV. 15 janv. 1690 |
tourner |
Si Dieu rompait [par la mort] l'union qu'il a mise entre ma femme et moi |
dans SÉV. t. x, p. 413, éd. RÉGNIER |
union |
Elle [une petite fille] nous vient d'assurer que le lendemain de la veille de Pâques était un mardi, puis elle s'est reprise et a dit : c'est un lundi |
dans SÉV. 15 déc. 1675 |
veille |
Cela m'oblige à vous exhorter.... à le pousser [un fermier débiteur] aussi vertement qu'il l'a mérité |
dans SÉV |
vertement |