Oeuvres et citations de Anne Staël-Holstein, dite Mme DE STAËL

676 citations de l'auteur Anne Staël-Holstein, dite Mme DE STAËL (Page 7 sur 17)

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Citation Œuvre Entrée
C'est avec des morceaux de lave pétrifiée que sont bâties la plupart de ces maisons [d'Herculanum] qui ont été ensevelies par d'autres laves ib. lave
Peu de jours s'étaient écoulés et Lucile commençait à peine à lever ses timides regards sur son époux Corinne, XIX, 1 lever [1]
Les Florentins, qui ont possédé ou la liberté ou des princes d'un caractère libéral, sont éclairés et doux Corinne, VI, 3 libéral, ale
L'étude et l'examen peuvent seuls donner cette libéralité de jugement, sans laquelle il est impossible d'acquérir des lumières nouvelles Allemagne, Considér. génér. libéralité
On trouve en Italie cette sorte de libéralité qui ne porte pas à changer les institutions, mais fait pardonner dans les esprits supérieurs une opposition tranquille aux préjugés existants Corinne, II, 2 libéralité
Il n'aperçut pas qu'un sentiment de délicatesse empêchait Corinne de profiter de l'émotion d'Oswald pour le lier par un serment Corinne, VIII, 4 lier
Les esprits d'une haute lignée errent sans cesse autour de l'abîme des pensées sans fin Allem. III, 1 lignée
Un pont sur de telles rivières n'est guère possible, parce qu'elles changent de lit sans cesse et s'élèvent bien au-dessus du niveau de la plaine Corinne, XIX, 6 lit
Il ne pouvait plus faire renaître ces petites circonstances locales qui l'attendrissaient profondément Delphine, 5e p. local, ale
Voyez dans le lointain Capoue ; elle a vaincu le guerrier dont l'âme inflexible résista plus longtemps à Rome que l'univers Corinne, XIII, 4 lointain, aine
Je l'entendis seulement qui me disait quelques mots pour m'engager à retarder mon départ, à écrire à mon père que j'étais malade, enfin à louvoyer avec sa volonté Corinne, XII, 1 louvoyer
Un homme, parfait modèle du caractère français dans son antique loyauté, et de l'esprit français dans sa culture nouvelle Corinne, XII, 1 loyauté
La lueur douce et pure de la lune embellissait son visage Corinne, XIII, 4 lueur
La douleur me tuerait ; il y a trop de lutte en moi contre elle Corinne, XIV, 3 lutte
On croit voir [dans des ruines] le champ de bataille où le temps a lutté contre le génie ; et les membres mutilés attestent sa victoire et nos pertes Corinne, VIII, 2 lutter
L'espèce d'impartialité, luxe de la justice, qui caractérise les Allemands, les rend beaucoup plus susceptibles de s'enflammer pour les pensées abstraites que pour les intérêts de la vie Allem. I, 2 luxe
Tous les madrigaux disent un grand mot philosophique, en répétant que c'est pour je ne sais quoi qu'on aime ; car ce je ne sais quoi, c'est l'ensemble et l'harmonie que nous reconnaissons par l'amour Allem. III, 2 madrigal
Style madrigalique dans le Dict. de BESCHERELLE. madrigalesque
Alors [au XVIIIe siècle] les lumières se sont changées en incendie, et la philosophie, magicienne irritée, a consumé le palais où elle avait étalé ses prodiges Allem. III, 3 magicien, enne
Depuis près de deux ans une main de fer serre mon coeur Corinne, IV, 1 main
Je ne regardais jamais la nature sans m'élever jusqu'aux pensées religieuses qui nous lient à ses majestueuses beautés Delph. 2e frag. 5e part. majestueux, euse
Philoctète est peut-être le seul sujet tragique dans lequel les maux physiques puissent être admis Corinne, VIII, 3 mal, ale
Je me sentais saisie par la maladie du pays, la plus inquiète douleur qui puisse s'emparer de l'âme Corinne, XIV, 3 maladie
N'y a-t-il pas entre nous quelque malentendu qui vient peut-être de ce qu'il ne sait pas assez bien le français ? Corinne, I, 3 malentendu
Le malheur est rapide, et le coeur, tout faible qu'il est, ne doit pas se méprendre aux signes funestes d'une destinée irrévocable Corinne, XIV, 4 malheur
Les femmes vieillissaient en faisant toujours la même chose, en restant toujours à la même place : le temps était bien sûr de ne pas les manquer, il savait où les prendre Cor. XV, 1 manquer
Elle se revêtit d'une robe noire à la vénitienne, couvrit son visage et sa taille avec la mante qu'on porte dans ce pays Corinne, XVII, 6 mante [1]
Marius s'est réfugié dans ces marais de Minturnes, près de la demeure de Scipion Corinne, XIII, 4 marais
S'il est vrai qu'il soit très dangereux de s'endormir en traversant les marais Pontins, l'invincible sommeil qu'ils inspirent dans la chaleur est encore une des impressions perfides que ce lieu fait éprouver ib. marais
Je le voyais courbé maintenant sous ce manteau de plomb que Dante décrit dans l'Enfer, et que la médiocrité jette sur les épaules de ceux qui passent sous son joug Corinne, XIV, 1 médiocrité
La légèreté spirituelle impose à l'esprit méditatif Corinne, I, 3 méditatif, ive
Ils étaient ravis de voir ainsi les sentiments mélancoliques exprimés avec l'imagination italienne Corinne, XIII, 5 mélancolique
La poésie la plus mélancolique doit être inspirée par une sorte de verve qui suppose et de la force et des jouissances intellectuelles ib. XVIII, 4 mélancolique
Elle alla se mêler dans la foule, pour entendre louer celui qu'elle aimait Corinne, XV, 5 mêler
Un ouvrage de broderie dont elle s'occupa, sans jamais lever les yeux ni se mêler de la conversation Corinne, XVI, 5 mêler
Ce qu'on dit de la grâce divine, qui tout à coup transforme les coeurs, peut, humainement parlant, s'appliquer à la puissance de la mélodie Corinne, IX, 2 mélodie
Il y a des ménagements que l'esprit même et l'usage du monde n'apprennent pas Corinne, III, 1 ménagement
La douleur est déjà dans mon coeur, ménagez-moi Corinne, IV, 6 ménager [1]
Ce mépris du malheur, si grand s'il avait coûté plus d'efforts, si héroïque s'il ne venait pas de la même source qui rend incapable des affections profondes Corinne, I, 3 mépris
Je puis vous paraître à présent indigne de votre affection ; mais votre promesse, pourquoi la méprisez-vous ? Corinne, XV, I mépriser
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