Oeuvres et citations de Anne Staël-Holstein, dite Mme DE STAËL

676 citations de l'auteur Anne Staël-Holstein, dite Mme DE STAËL (Page 6 sur 17)

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Tout ce qu'en nos climats La nature indulgente a semé sous nos pas Scythes, I, 1 indulgent, ente
Un avenir qui semble impossible, lors même qu'on le sait inévitable Corinne, VIII, 2 inévitable
La confiance comme la crainte sont inexplicables dans les affections vives Corinne, XII, 2 inexplicable
Pauvre nature humaine ! nous ne connaissons l'infini que par la douleur Corinne, XIII, 6 infini, ie
La gaieté vraiment inoffensive est celle qui appartient seulement à l'imagination Corinne, VII, 2 inoffensif, ive
Ses lettres devinrent moins tendres ; car, au lieu d'exprimer ses propres inquiétudes, il s'occupait à dissiper celles de son amie Corinne, XVII, 1 inquiétude
Il commença la conversation, en se rassurant lui-même, par des paroles insignifiantes Corinne, VI, 4 insignifiant, ante
L'art de s'insinuer dans le coeur par l'amour-propre est peu connu Corinne, XII, 1 insinuer
Une inspiration céleste animant dans cet instant la physionomie de Corinne Corinne, X, 5 inspiration
Quel enchantement que cette première lueur d'intelligence avec ce qu'on aime ! Corinne, III, 3 intelligence
Quelle sympathie, quelle émotion, quel enthousiasme pourrait jamais résulter de l'intérêt personnel ? Corinne, IV, 5 intérêt
Sa tristesse la plongeait elle-même dans une rêverie continuelle, et leur intérieur était très silencieux Corinne, XIX, 2 intérieur, eure
Pénétrer dans le passé, interroger le coeur humain à travers les siècles Corinne, XI, 4 interroger
Dans leur longue solitude ils interrogent le silence ib. XIII, 4 interroger
On ne peut voir nulle part une image aussi frappante de l'interruption subite de la vie Corinne, XI, 4 interruption
Lord Nelvil avait une dignité dans les manières qui intimidait Corinne Corinne, III, 3 intimider
Deux êtres qui s'aiment assez pour sentir qu'ils n'existeraient pas l'un sans l'autre, ne peuvent-ils pas arriver à cette noble et touchante intimité qui met tout en commun, même la mort ? Corinne, XV, 3 intimité
Il aimait l'intrigue comme un jeu, même quand le but ne l'intéressait pas Corinne, XII, 2 intrigue
Si j'ose encore en appeler à l'ascendant que j'avais sur toi, ne prononce pas un mot sur une résolution invariable Delph. part. 5, conclusion. invariable
Il y a très peu de traces de l'invasion des barbares en Italie Corinne, XI, 1 invasion
Je sais qu'à cet égard il y a quelque chose d'invincible dans mon sort Corinne, XV, 5 invincible
Hélas ! est-il une invocation à la pitié céleste qui ne convienne pas également à tous les hommes ? Corinne, X, 2 invocation
Cette amère ironie du malheur Corinne, XVII, 4 ironie
Quand on a surmonté ces sensations irréfléchies, le pays et les habitants offrent à l'observation quelque chose d'intéressant Allem. I, 1 irréfléchi, ie
Des actions irréfléchies qui avaient déchiré le coeur de son père Corinne, VIII, 1 irréfléchi, ie
Ce visage si jeune que les traits de l'enfance s'y faisaient remarquer encore Corinne, XVII, 9 jeune
Une certaine jeunesse de coeur qui ne se lasse pas du passé ni de l'attendrissement qu'il cause Corinne, XV, 8 jeunesse
Il se peut que le meilleur temps pour la poésie ait été celui d'ignorance, et que la jeunesse du genre humain soit passée pour toujours ; cependant on croit voir dans les écrits des Allemands une jeunesse nouvelle, celle qui naît du noble choix qu'on peut faire après avoir tout connu Allem. III, 9 jeunesse
Il jouait avec les mots, avec les phrases d'une façon très ingénieuse Corinne, I, 3 jouer
L'illusion si favorable au Panthéon vient, à ce qu'on assure, de ce qu'il y a plus d'espace entre les colonnes, et que l'air joue librement autour Corinne, IV, 2 jouer
Cette impression d'un jour que j'ai produite sur vous Corinne, IV, 1 jour
Jugez-vous dans mon coeur, prenez-le pour votre conscience Corinne, XII, 2 juger
Ils se dirent encore quelques mots d'une manière assez laconique, quoique bienveillante Corinne, VI, 4 laconique
Croiriez-vous que je la trouve imposante malgré son naturel et le laisser aller de sa conversation Corinne, III, 3 laisser
Presque aussi barbares que ceux qui l'attaquaient, il [Bélisaire] lança contre ses ennemis les belles statues qui décoraient l'intérieur de l'édifice Corinne, IV, 3 lancer
C'est Charles-Quint qui a dit qu'un homme qui sait quatre langues vaut quatre hommes Corinne, VII, 1 langue
La langue des vers est si magnifique en Italie, que l'on y aurait plus tort que partout ailleurs en renonçant à ses beautés Corinne, VII, 2 langue
Les fleurs croissaient languissamment à long intervalle l'une de l'autre Corinne, XIV, 3 languissamment
Il était lassé de tout, et regrettait cependant le bonheur, comme si les illusions lui étaient restées Corinne, I, 1 lassé, ée
La lave, si ardente de nuit, paraît sombre à la clarté du soleil Corinne, XI, 4 lave
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