Oeuvres et citations de Nicolas GILBERT

Oeuvres de Nicolas GILBERT

  • Le XVIIIe siècle (????)
  • Mon apologie (1775)

280 citations de l'auteur Nicolas GILBERT (Page 1 sur 7)

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Citation Œuvre Entrée
Elle est donc plongée au tombeau ! à la Reine à
Ces paisibles vertus au peuple abandonnées, A mon héros aussi le ciel les a données Au Pr. de Salm. abandonné, ée
C'est toi seul que je plains, intraitable rimeur ; Ta mère te conçut dans un accès d'humeur Apol. accès
Quoi ! votre muse en monstre érige la sagesse ! Vous blâmez ses enfants, et leur crédit vous blesse ! Vous, jeune homme ! au bon sens avez-vous dit adieu ? Le XVIIIe siècle adieu [1]
Maudit soit à jamais le pointilleux sophiste Qui le premier nous dit en prose d'algébriste : Vains rimeurs, écoutez mes ordres absolus XVIIIe siècle. algébriste
Ainsi parle en secret l'ange altéré de crime ; Et tandis qu'il se couche auprès de sa victime, D'un sourd et long fracas retentissent les monts Mort d'Abel, ch. VII altéré, ée
[Elle] Enivre les humains de sa douce ambroisie Au prince de Salm. ambroisie
À ce discours amphigourique, je vis la vérité sourire avec indignation le Carnaval des auteurs. amphigourique
Mon coeur saignait encor des maux qu'il m'avait faits ; D'un rayon d'espérance amuser ses souhaits, Malheureuse ! c'était compromettre ma gloire la Marq. de Gange. amuser
Orgon à prix d'argent veut anoblir sa race Le XVIIIe siècle. anoblir
Qu'on m'ose prôner des sophistes pesants, Apostats effrontés du goût et du bon sens ; Alors, certes, alors ma colère s'allume le Dix-huitième siècle. apostat
Les habitants nombreux des célestes vallons Font mollement jouer sous leurs doigts vagabonds Ou la flûte argentine ou la harpe éclatante Mort d'Abel, VIII argentin, ine [1]
Au sein de Paris même, encor plein de sa honte, Épouser les aïeux d'un marquis ou d'un comte, Armorier son char de glaives, de drapeaux Et se masquer d'un nom porté par des héros Apologie. armorier
Que fais-je ? où m'égaré-je ? Ô funeste ascendant ! J'offre encor le bonheur à mon perfide amant Didon à Énée. ascendant [2]
Si la vertu sur vous a le moindre ascendant la Marquise de Gange. ascendant [2]
Et tu fuis ! et tu crois voguer en assurance, Toi qui cent fois des flots éprouvas l'inconstance Didon à Énée. assurance
Abel tombe, et blessé d'un coup trop assuré, Se roule, se débat, sanglant, défiguré Mort d'Abel, ch. VII assuré, ée
Sans qu'une fois au moins votre muse en extase Du mot de tolérance attendrisse une phrase Apologie. attendrir
Où mon Abel est-il ? parle, est-ce d'aujourd'hui Que nous craignons Caïn ? que tu connais sa haine ? Mort d'Abel, ch. VIII aujourd'hui
Eux-même avec candeur, se disant immortels, De leurs mains tour à tour se dressent des autels Dix-huitième siècle. autel
Il faut voir ce marchand, philosophe en boutique, Qui, déclarant trois fois sa ruine authentique, Trois fois s'est enrichi d'un heureux déshonneur Le dix-huitième siècle. authentique [1]
À nos vaisseaux conduits par tes mains tutélaires, Soumets les vents auxiliaires ; Descends, Dieu des Bourbons, et combats avec nous Ode sur la guerre. auxiliaire
Ici près de l'ingrat Se cachent l'imposteur, l'avare, l'homicide Jug. dernier. avare
Demi-dieux avortés, qui par droit de naissance Dans les camps, à la cour, règnent en espérance Le dix-huitième siècle. avorté, ée
Hélas ! si tu ne veux qu'éprouver ma vertu, C'est trop me tourmenter ; je la sens qui chancelle : Le besoin la balance et va triompher d'elle le Malheureux. balancer
Des sophistes du temps l'adulateur banal Mon apol. banal, ale
Au banquet de la vie infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs Imit. des psaumes. banquet
Quoiqu'on blâme le vice, on peut avoir des moeurs, Et l'on n'est point méchant pour berner des auteurs Apologie. berner
Que sont ces biens peu sûrs, près des plaisirs du coeur ? Tout l'univers vaut-il un instant de bonheur ? Didon à Énée. bonheur
Je prétends soulever les lecteurs détrompés Contre un auteur bouffi de succès usurpés Mon apol. bouffi, ie
On aurait beau montrer ses vers tournés sans art.... Ou bouffis de grands mots qui se choquent entre eux L'un sur l'autre appuyés, se traînant deux à deux Le dix-huitième siècle. bouffi, ie
L'ange fuit, et son vol a bouleversé l'air ; L'éclair dans un ciel noir poursuit, croise l'éclair Mort d'Abel, ch. VIII bouleverser
Monsieur, pour ses amis, entretient une actrice ; Madame, des beaux-arts bourgeoise protectrice.... XVIIIe siècle. bourgeois, oise [2]
Mais qu'est-il ce renom ? c'est le bruit du tonnerre Qui, volant tout à coup aux deux bouts de la terre, Dure à peine quelques instants.... Le prince de Salm. bout [1]
Des brigues, des partis l'un à l'autre odieux, Le Parnasse idolâtre adorant de faux dieux Le XVIIIe siècle. brigue
Jadis la poésie en ses pompeux accords.... Pour cadencer un vers qui dans l'âme s'imprime, Sans appauvrir l'idée enrichissait la rime Le 18e s. cadencer
Disciple jeune encor de ces maîtres fameux, Sans gloire et cependant calomnié comme eux Mon apol. calomnié, ée
Vois-tu, parmi ces grands, leurs compagnes hardies.... Opposer aux mépris un front toujours serein, Et du vice endurci témoignant l'impudence, Sous leur casque de plume étouffer la décence le XVIIIe siècle. casque
Quand même des catins la colère unanime Sans pitié m'ôterait l'honneur de leur estime Apologie. catin [1]
Les morts du sein de l'ombre avec terreur s'élancent Pâles, et secouant la cendre des tombeaux Jug. dernier. cendre
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