Oeuvres et citations de Nicolas GILBERT

280 citations de l'auteur Nicolas GILBERT (Page 2 sur 7)

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Citation Œuvre Entrée
Mais la corruption à son comble portée, Dans le cercle des grands ne s'est point arrêtée le XVIIIe siècle. cercle
On connaît ces vieillards sur le Pinde honorés, Politiques adroits, charlatans illustrés Mon apol. charlatan
Ses vers.... bouffis de grands mots qui se choquent entre eux le XVIIIe siècle. choquer
Pensez ; à votre Dieu laissez venger sa cause ; Si vous saviez penser, vous feriez quelque chose Le 18e siècle. chose
[Laharpe] Tout meurtri des faux pas de sa muse tragique Tomba de chute en chute au trône académique Apologie. chute
On aurait beau montrer ses vers tournés sans art, Seuls et jetés par ligne exactement pareille, De leur chute uniforme importunant l'oreille XVIIIe siècle. chute
Plus subtil le serpent saute et vole à sa suite : Il va, revient en vain, le trompe en circulant, Le monstre s'en irrite.... Mort d'Abel, ch. VIII circuler
Oh ! si ces vers, vengeurs de la cause publique.... Obtiennent de mon roi quelques regards amis, S'il prête à ma faiblesse un bras qui la soutienne, On verra de nouveau ma muse citoyenne Flétrir ces novateurs.... Le XVIIIe siècle citoyen, enne
Savoure ce nectar plus clair que le rubis Nouvel Épicure. clair, claire
Doté sur vos journaux d'une rente d'injures, Ou clandestinement diffamé par brochures Apologie clandestinement
Coupables, approchez : De la chaîne des ans les jours de la clémence Sont enfin retranchés Jug. dernier. clémence
Jamais sans défiance avez-vous pu d'un frère Presser le sein sur votre coeur ? Ode à Salm. coeur
Et la religion, mère autrefois sensible, S'arme d'un coeur d'airain contre ses fils ingrats Jugem. dernier coeur
Parlerai-je d'Iris ? chacun la prône et l'aime : C'est un coeur, mais un coeur.... c'est l'humanité même XVIIIe siècle. coeur
Imitant noblement ces grâces mercenaires, Qui, par couples nombreux, sur le déclin du jour, Vont aux lieux fréquentés colporter leur amour Le 18e s. colporter
Arrête.... malheureux ! que je suis combattu ! Il est donc vrai que l'homme en proie à la misère Malgré lui vers le crime est souvent entraîné Plaintes du malheureux. combattu, ue
Ses plaisirs sont au comble, et n'ont rien de mortel Le jugement dern. comble [1]
Ô rives de la Saône, où ma faible paupière à la clarté des cieux commença de s'ouvrir, Lieux où l'on sait au moins respecter l'innocence, Vous ne me verrez plus ! .... Le poëte malheureux. commencer
Au banquet de la vie infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs ; Je meurs, et sur la tombe où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs Ode imitée des psaumes. convive
Coupables, approchez ; De la chaîne des ans les jours de la clémence Sont enfin retranchés le Jug. dernier. coupable
Nous avons vu des rois, vainqueurs de la mollesse, Pour chercher la sagesse, Voyageurs couronnés, parcourir nos climats Ode à Monsieur. couronné, ée
Qui sont-ils ? Des savants renommés par leurs grâces, Des poëtes loués dans toutes les préfaces, Des hommages du Nord dans Paris assiégés, Craints peut-être à la cour et pourtant protégés Mon apolog. craint, crainte
Je ne m'aveugle point ; d'un sot orgueil épris, Mon crédule Apollon sur son faible génie N'a point fondé l'espoir de leur ignominie [de Voltaire et des autres écrivains ses amis et sectateurs] Mon apologie. crédule
Chacun, vous dénonçant à la haine publique, Se dit : fuyez cet homme, il mord, c'est un critique Mon apologie. critique [2]
Un critique, jaloux de plaire aux bons esprits, Toujours du bien public occupe ses écrits ib. critique [2]
Hypocrite, jaloux, cuirassé d'impudence, Vous ne l'ignorez pas, votre méchanceté Donna seule à vos vers quelque célébrité Apologie. cuirassé, ée
Nos modestes aïeux Parlaient moins de vertus et les cultivaient mieux XVIIIe siècle. cultiver
Qu'à son gré l'opulence, injuste et vile amante, Berce sur le damas ce parvenu grossier, Et laisse le poëte à l'ombre d'un laurier Charmer par ses concerts le sort qui le tourmente le Poëte malheureux. damas
Que nos auteurs damerets, que nos tyrans philosophes connaissent e fin leur petitesse le Carnaval des auteurs. dameret [1]
Les Français sont ma proie : ils n'affranchiront pas Les humbles pavillons que mon mépris leur laisse, Déjà vaincus de leur mollesse Et du seul souvenir de nos derniers combats Ode sur la guerre. de
La débauche au teint pâle, aux regards effrontés, Enflamme tous les coeurs vers le crime emportés 18e siècle débauche
Oui, son oeil le décèle ; C'est lui-même ; sans doute il médite un libelle Apolog. déceler
C'est trop gémir et soupirer. Ah ! calmez ces regrets profanes ; Vos maux viendraient me déchirer Jusqu'au fond du séjour des mânes Ode à la reine. déchirer
Quelle est cette vierge sacrée Qui sort sur un char lumineux ? Des éclairs de son front l'univers se décore, Et la nuit se revêt des couleurs de l'aurore Ode à la reine. décorer
Eh bien, mon frère ; eh bien ! m'en a-t-on fait le guide ? Et frappé de terreur, confus, défiguré... Mort d'Abel, ch. VIII défiguré, ée
La loi du ToutPuissant fleurit dans nos cités.... Elle vit même dans nos âmes, Dont l'orgueil déicide étouffait ses clartés le Jubilé. déicide [1]
Pour moi qui, démasquant nos sages dangereux, Peignis de leurs erreurs les effets désastreux Le 18e siècle. démasquer
Les grands sont les auteurs du bonheur du vulgaire ; Le vulgaire, à son tour, est le dépositaire De la célébrité des grands le Prince de Salm. dépositaire
Moimême ami des grands, parfois je les déprime Mon apol. déprimer
De là sur l'Hélicon deux partis opposés Règnent, et l'un par l'autre à l'envi déprisés le XVIIIe siècle. déprisé, ée
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