Oeuvres et citations de Nicolas GILBERT

280 citations de l'auteur Nicolas GILBERT (Page 6 sur 7)

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Citation Œuvre Entrée
Dois-je, au lieu de Laharpe, obscurément écrire : C'est ce petit rimeur, de tant de prix enflé Mon apologie. obscurément
Soyez béni, mon Dieu, vous qui daignez me rendre L'innocence et son noble orgueil Derniers vers. orgueil
Avant que, dégagé des ombres de l'enfance, Je pusse voir l'abîme où j'étais descendu, Père, mère, fortune, oui, j'avais tout perdu le Poëte malheureux. oui
Églé.... C'est un coeur, mais un coeur.... Un papillon souffrant lui fait verser des larmes XVIIIe siècle. papillon
Chacun veut de la vie embellir le passage Le 18e siècle. passage
Un petit homme à ces mots s'approche avec un air patelin, et d'une voix de fausset.... le Carnaval des auteurs patelin [1]
J'ai révélé mon coeur au Dieu de l'innocence ; Il a vu mes pleurs pénitents Ode imitée de plusieurs psaumes pénitent, ente
Que j'aime ces bois solitaires ! Aux bois se plaisent les amants, Les nymphes y sont moins sévères, Et les bergers plus éloquents Charme des bois. plaire
Je meurs, et sur la tombe où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs Ode imitée de plus. psaumes. pleur
Nos petits vers lâchés par gros in-octavo, Ou ces drames pleureurs qu'on joue incognito Le 18e siècle. pleureur, euse
En des lieux où, voyant des princes populaires.... Ode à Monsieur populaire
Cloris, on le prétend, se montre populaire ; Oui, déposant l'orgueil de ses douze quartiers, Madame en ses amours déroge volontiers Le 18e siècle. populaire
Ah ! s'il voyait le jour, si, portrait de son père, Il [un enfant] folâtrait déjà sous les yeux de sa mère, La vie aurait encor pour moi quelques douceurs Didon à Énée. portrait [2]
Il voulut me punir, venger son faux outrage, Et, sans daigner me voir, sans daigner m'écouter, Dans le fond d'un cachot me fit précipiter la Marquise de Gange. précipiter
Qu'importe que les flots s'abîment sous mes pieds, Que la mort en grondant s'étende sur ma tête, Sa présence [de Dieu] m'entoure.... le Poëte malh. présence
L'État volé paya ses amours printanières [de jeunesse] ; l'État jusqu'à sa mort paîra ses adultères Mon apol. printanier, ière
J'aurais pu te montrer nos duchesses fameuses Tantôt d'un histrion amantes scandaleuses, Fières de ses soupirs obtenus à grand prix Le 18e s. prix
Où des beautés du jour la nation galante.... Promenant ses appas par la vogue enchéris, Vient en corps afficher des crimes à tout prix Mon apologie. prix
Qu'il est beau de le voir de dînés en dînés, Officieux lecteur de ses vers nouveau-nés, Promener chez les grands sa muse bien nourrie ! Le XVIIIe s. promener
D'abord comme un prodige on le prône partout Le XVIIIe siècle. prôner
Mais qu'on m'ose prôner des sophistes pesants, Apostats effrontés du goût et du bon sens ib. prôner
Vous n'aurez point d'amis. - Les ennemis honorent. - Point de prôneurs. - J'aurai mes écrits pour prôneurs Mon apol. prôneur
Et n'ayant pour prôneurs que ses muets ouvrages, Il veut par ses talents enlever les suffrages Le XVIIIe siècle. prôneur
Ah ! du moins, par pitié, s'ils cessaient d'imprimer, Dans le secret contents de proser, de rimer Le dix-huitième siècle. proser
La faim mit au tombeau Malfilâtre ignoré ; S'il n'eût été qu'un sot, il aurait prospéré Le dix-huitième siècle. prospérer
Quel mal ont-ils [mes écrits] produit ? d'une affreuse morale Leur plume a-t-elle fait prospérer le scandale ? Apologie. prospérer
Tous mes écrits, enfants d'une chaste candeur, N'ont jamais fait rougir le front de la pudeur Mon apologie. pudeur
Malheureux qui se voue aux nymphes du Permesse, S'il ne possède pour richesse Qu'un grand coeur et son Apollon ! Ode au roi. qui
Alzire au désespoir, mais pleine de raison, En invoquant la mort commente le Phédon le Dix-huitième siècle. raison
D'abord, de l'univers réformateur discret, Il semait ses écrits à l'ombre du secret Le XVIIIe siècle. réformateur, trice
A-t-on vu votre muse à la cour présentée Pour décrier les rois du roi même rentée ? Apologie renté, ée
Mais que vois-je ? où vont-ils ces fils de la victoire, Ces guerriers mutilés, chargés d'ans et de gloire, Restes d'hommes, jadis l'effroi de nos rivaux ? le Jubilé. reste
Il [Abel frappé] veut du moins tomber aux pieds de sa famille ; Mais ses genoux rétifs trompent sa volonté Mort d'Abel, VIII rétif, ive
Et tous ces demi-dieux que l'Europe en délire A depuis cent hivers l'indulgence de lire Vont dans un juste oubli retomber désormais Le XVIIIe s. retomber
J'ai révélé mon coeur au Dieu de l'innocence ; Il a vu mes pleurs pénitents Imit. des psaumes. révéler
Sion ! quitte ce deuil ; vois tes enfants rebelles Dans ces temps de pardon revoler dans tes bras Jubilé. revoler
Là des Turcs amoureux, soupirant des maximes, Débitent galamment Sénèque mis en rimes le XVIIIe siècle. rime
[Zélis] Protége l'univers, et, rompue aux affaires, Fournit vingt financiers d'importants secrétaires Le XVIIIe s. rompu, ue
Abel !... il n'est donc plus ? une sueur mortelle De son front pâlissant sur ses membres ruisselle M. d'Ab. VIII ruisseler
À ce spectacle s'élance, du milieu du régiment de Sans-Quartier, un poëte plus brillant, plus léger qu'une salamandre le Carnav. des auteurs. salamandre
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