Oeuvres et citations de Nicolas GILBERT

280 citations de l'auteur Nicolas GILBERT (Page 5 sur 7)

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Citation Œuvre Entrée
La plupart, indigents au milieu des richesses, Achètent l'abondance à force de bassesses 18e siècle. indigent, ente
Et tandis qu'à l'écorce il confiait ses chants, L'amour, au doux sourire, aux yeux vifs et touchants, La tête sur son corps indolemment penchée, Lui soufflait tous les feux dont il brûle les coeurs à Dorat. indolemment
Nos sciences, nos arts étrangers à ses soins Ne l'ont point dépouillé de ses moeurs ingénues le Poëte malheureux. ingénu, ue
Je vous entends, mes fils ; en ces combats insignes, Vous jurez de briller entre tous mes guerriers la Mort de Louis X insigne [1]
Est-il [Dieu] aveugle et sourd ? est-il d'intelligence Avec l'impie et l'oppresseur ? Jugem. dern. intelligence
C'est toi seul que je plains, intraitable rimeur Apol. intraitable
Montrer en lui l'athlète vaillant au combat de la vie qui lutte et grandit jusqu'au bout de ses forces, et quitte l'arène, blessé à mort, mais invaincu Éloge de Vauven. invaincu, ue
Qu'ils meurent pleins de jours, que leur mort soit pleurée, Qu'un ami ferme leurs yeux Imit. des psaumes. jour
Si j'évoque jamais du fond de son journal De tous nos sots du temps l'adulateur banal Mon apologie. journal
Eux seuls peuvent prétendre au rare privilége D'aller au Louvre en corps commenter l'alphabet, Grammairiens jurés, immortels par brevet Le 18e S. juré, ée [2]
Elle [la vérité] regarde ces larves [les philosophes du XVIIIe siècle], et tous sont retombés dans leur fauteuil, tremblants comme le feuillage que les vents agitent le Carnaval des auteurs. larve [1]
Je prétends soulever les lecteurs détrompés Contre un auteur bouffi de succès usurpés Mon apologie. lecteur, trice
Tant qu'une légion de pédants novateurs Imprimera l'ennui pour le vendre aux lecteurs Mon apologie. légion
Assise dans ce cirque, où viennent tous les rangs Souvent bâiller en loge à des prix différents le Dix-huitième siècle. loge
Voltaire en soit loué ! chacun sait au Parnasse Que Malherbe est un sot et Quinault un Horace Le 18e s. loué, ée [2]
Son front luit, étoilé de mille diamants le XVIIIe siècle. luire
Ce soleil qui nous luit, le monde entier l'appelle Roi des astres nombreux dont l'olympe étincelle, Le chef-d'oeuvre du Tout-Puissant Au prince de Salm-Salm. luire
Tels dans leurs fictions les maîtres de la lyre Représentent les dieux, enfants de leur délire Dans l'oubli du nectar laissant les cieux déserts Ode à Monsieur. lyre
Parlerai-je d'Iris ? chacun la prône et l'aime, C'est un coeur, mais un coeur.... c'est l'humanité même Le XVIIIe s. mais
La somme de coups dont je vous ai vue charger mon voisin m'apprend trop combien il est dangereux de se faire connaître ; hélas ! vous avez déchiré toute la masse de ses chairs Le carnaval des auteurs. masse
Sans doute il médite un libelle Mon apologie. méditer
.... Ce loyal mépris Que tout mauvais auteur inspire aux bons esprits Mon apologie. mépris
Vous ne lisez donc pas le Mercure de France ? Il cite au moins par mois un trait de bienfaisance le Dix-huitième siècle. mercure
Mais de l'humanité maudits missionnaires, Pour leurs tristes lecteurs ces prêcheurs n'en ont guères le 18e siècle. missionnaire
Souvent, à pleines mains, d'Orval sème l'argent ; Parfois, faute de fonds, monseigneur est marchand 18e siècle. monseigneur
Dira-t-on qu'en des vers à mordre disposés Ma muse prête aux grands des vices supposés ? XVIIIe siècle. mordre
Chacun, vous dénonçant à la haine publique, Se dit : fuyez cet homme, il mord, c'est un critique Mon apologie. mordre
De l'Encyclopédie ange conservateur, Dans l'histoire chargé d'inhumer ses confrères, Grand homme, car il fait leurs extraits mortuaires Apologie. mortuaire
Et de son plein savoir, si je réplique un mot, Pour prouver que j'ai tort, il me déclare un sot le XVIIIe siècle. mot
Je meurs, et sur la tombe où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs Ode imitée de plusieurs psaumes mourir
Vaisseaux heurtant vaisseaux, soldats contre soldats, Épuisant leurs haines natales Ode sur la guerre. natal, ale
Rois, vous foulez aux pieds les droits de la nature ! Au prince de Salm. nature
Mais quels chants ! loin de moi, fuis, pensée odieuse ; Sur de plus beaux objets promenons mes regards ; Vois-je pas de buveurs une troupe joyeuse ? le Printemps. ne
La nature nous a tous mis au niveau par un lien moral, et c'est être tyrans que de rompre cette chaîne par la force le Carnaval des auteurs. niveau
Un nuage enfermait le souverain du monde, Il s'ouvre et laisse voir son front éblouissant ; Un archange est nommé.... l'archange obéissant.... Se prosterne attentif aux ordres du Seigneur Mort d'Abel, VIII nommer
Vous nommez les auteurs, et c'est là votre crime Mon apologie. nommer
Entends ce jeune abbé, sophiste bel esprit : Monsieur fait le procès au Dieu qui le nourrit Le 18e s. nourrir
Dangereux novateur, par son cruel système, Il veut du ciel désert chasser l'Être suprême Le 18e s. novateur, trice
Quelle bourgeoise enfin, quelle actrice discrète, Plaignant la nudité de votre humble retraite, De ses dons clandestins meubla votre Apollon ? Apologie. nudité
Ainsi le grand Pathos, ce poëte penseur, De la philosophie obligeant défenseur, Conseille par pitié mon aveugle ignorance Le 18e s. obligeant, ante,
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