Oeuvres et citations de Vincent VOITURE

834 citations de l'auteur Vincent VOITURE (Page 15 sur 21)

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Citation Œuvre Entrée
Pour ce qui est de vous, vous ne sauriez douter de la passion que j'ai à vous honorer Lett. 48 passion
Cela donna d'extrêmes inquiétudes à la reine, qui souhaitait passionnément sa guérison Hist. Alcidalis, Oeuv. t. II, p. 280 passionnément
[Nos descendants] l'estimeront-ils moins [le cardinal de Richelieu], à cause que, de son temps, les rentes sur l'hôtel de ville se seront payées un peu plus tard ? Lett. 74 payer
Ne vous en moquez pas, monseigneur ; autant vous en pend devant les yeux Lett. 186 pendre
Le reste du temps je l'employai à penser en madame votre mère et vous Lett. 128 penser [1]
J'ai souffert un hiver plus perçant que celui de France, en un lieu où l'on ne voit point de robe de chambre Lett. 23 perçant, ante
Après tout, je suis plus à vous que jamais ; il est vrai, madame, que vous ne sauriez me perdre, quelque négligence que vous ayez pour moi Lett. 17 perdre
Cet autre [chemin] si droit, par lequel on m'assurait que je ne me pourrais perdre quand je le voudrais, je m'y perdis hier trois fois en ne le voulant pas Lett. 149 perdre
Puisque les actions qui se font avec péril sont plus estimées que les autres Lett. 22 péril
Plus ce que vous écrivez est fort et persuadant et ingénieux.... Lett. 176 persuadant, ante
Comme c'est dans les plus petits vases que l'on enferme les essences les plus exquises, il semble que la nature se plaise à mettre dans les plus petits corps les âmes les plus précieuses Lett. 52 petit, ite
Ce bonheur que vous dites que vous avez en toutes les petites choses Lett. 22 petit, ite
Ma petitesse, qui m'a été reprochée tant de fois par Mlle de Rambouillet Lett. 52 petitesse
Ces peuples si braves et si belliqueux, et que vous dites qui sont nés pour commander à tous les autres, fuient devant une armée qu'ils disaient être composée de nos cochers et de nos laquais Lett. 74 peuple [1]
Il [le cocher du cardinal Mazarin] ne crut pas, versant, pouvoir mal faire ; Car quelqu'un dit que, quoi que puissiez faire, En guerre, en paix, en voyage, en affaire, Vous vous trouvez toujours dessus vos pieds Au cardinal de Mazarin [qui avait versé sans se faire de mal] pied
Vous pouvez bien juger que des gens qui se faisaient pincer le poil des bras et des cuisses, qui se frisaient, qui se parfumaient.... Lett. 125 pincer
Et ainsi sautant, dansant, voltigeant, pirouettant, cabriolant, nous arrivâmes au logis, où nous trouvâmes une table qui semblait avoir été servie par les fées Lett. 10 pirouetter
Il n'y eut jamais une tristesse pareille à la mienne ; et, si j'osais écrire des lettres pitoyables, je dirais des choses qui vous feraient fendre le coeur Lett. XI pitoyable
Tout cet appareil des mourants, Un confesseur qui vous exhorte, Un ami qui se déconforte, Des valets tristes et pleurants Oeuv. t. II, p. 197 pleurant, ante
Je me réjouis de ce que vous êtes devenu le plus fort homme du monde, et que le travail, les veilles, les maladies, le plomb ni le fer des Espagnols ne vous peuvent faire de mal Lett. 84 plomb
Vous êtes accouru avec une poignée de gens au secours d'une place qui était assiégée par une grande armée Lett. 89 poignée
Une des pointes de la montagne de Tarare vous empêcha de me voir Lett. IX pointe
Il me déplaît seulement qu'avec toute cette tendresse que vous me témoignez, il y a quelque occasion pour laquelle vous voudriez que je fusse pendu.... je crois que, sans être trop pointilleux, je le pourrais trouver mauvais Lett. 46 pointilleux, euse
La crainte, le regret, le déplaisir et tout ce qu'il y a de poisons froids dans l'amour Oeuv. t. II, p. 10, dans POUGENS poison
Vous faites bien mentir le proverbe qui dit : jeune chair et vieux poisson Lett. 143 poisson [1]
Il [Balzac] a inventé une sorte de potage que j'estime plus que le Panégyrique de Pline et que la plus longue harangue d'Isocrate Lett. 125 potage
Mademoiselle, j'aurais à cette heure de quoi vous écrire un beau poulet, et je pourrais dire, sans mentir, que je passe les jours sans lumière, et les nuits sans fermer l'oeil Lett. 38 poulet
Cette saison n'était guère propre à la navigation pour les grands calmes qu'il y a Lett. 39 pour [1]
M. de Chaudebonne est fort chagrin à cette heure, pour bien battre les sonnettes [dans la danse des matassins] Lett. 54 pour [1]
Vous me montrez que, pour être échappé de la mer et des pirates, je ne suis pas encore en sûreté Lett. 50 pour [1]
Je n'ai garde de trouver rien à redire à votre prudence, puisqu'elle est jointe avec tant de bonté, et qu'elle ne s'emploie pas moins à pourvoir aux biens des autres qu'aux vôtres mêmes Lett. 22 pourvoir
Avez-vous donc espéré de faire l'impossible, que vous n'êtes pas satisfait d'avoir fait tout ce qui s'est pu ? Lett. 89 pouvoir [1]
Lorsqu'ils apprendront que, du temps de son ministère [de Richelieu], les Anglais ont été battus et chassés, Pignerol conquis, Casal secouru, toute la Lorraine jointe à cette couronne, la plus grande partie de l'Alsace mise sous notre pouvoir.... Lett. 74 pouvoir [2]
Son adresse et ses pratiques [de Richelieu] nous firent avoir tout d'un coup une armée de quarante mille hommes dans le coeur de l'Allemagne, avec un chef qui avait toutes les qualités qu'il faut pour faire un changement dans un État Lett. 74 pratique [1]
Nos ennemis sont à quinze lieues de Paris, et les siens [du cardinal de Richelieu] sont dedans ; il a tous les jours avis que l'on y fait des pratiques pour le perdre Lett. 74 pratique [1]
Pour vous estimer autant que vous le méritez, il faut vous avoir pratiqué autant que j'ai fait Lett. 121 pratiquer
Votre pasteur, ses moutons et Hercule m'ont bien plu, et l'âne même est joli comme vous le faites parler ; l'application de l'apologue me semble dangereuse, et allez-vous-en un peu prêcher cela à Ruel [où demeurait le cardinal de Richelieu] Lett. 91 prêcher
Les courtes et précipitées prospérités de Gaston de Foix, la mort du duc de Veimar au milieu de ses triomphes Lett. 173 précipité, ée
Cet objet.... Me fit prendre un baiser sur votre belle bouche ; Mais las ! ce fut plutôt le baiser qui me prit Poés. Oeuv. t. II, p. 90 prendre
Et vous, à qui la mort même, de tant près que vous l'ayez vue, n'a jamais pu faire peur Lett. 35 près
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