Oeuvres et citations de Marie-Joseph CHÉNIER

349 citations de l'auteur Marie-Joseph CHÉNIER (Page 6 sur 9)

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Là, quand de thermidor la septième journée Sous les feux du Lion ramènera l'année la Calomnie. lion, onne
Sans cesse il faut armer contre leur souvenir Un inflexible vers que lira l'avenir Ép. à Volt. lire
À la honte aguerris, ces forbans littéraires Ont mis leur conscience aux gages des libraires la Calomnie. littéraire
Qu'ont fait ces nains lettrés qui, sans littérature, Au-dessous du néant soutiennent le Mercure ? Ép. à Voltaire. littérature
Il vous en adviendra quelque mésaventure, Ô grand Perrin-Dandin de la littérature [La Harpe] les Nouveaux saints. littérature
Un jour livide et sombre Tibère, I, 3 livide
Marchand de vers, jadis poëte, Abbé, valet, vieille coquette, Vous arrivez ; Paris accourt ; Eh ! vite : une triple toilette ; Il faut unir à la cornette La livrée et le manteau court Petite épître à J. Delille. livrée [1]
Je voyais mon clergé, mes cours de parlements, Mon trône rétabli sur ses vieux fondements, Et de la liberté la France délivrée.... Mais les républicains ont battu ma livrée Pie VI et Louis XVIII livrée [1]
Ce meurtre est annoncé par de longs cris de joie Charles IX, V, 2 long, ongue
Votre lot est marqué : des larmes et des fers Gracques, II, 3 lot
Toutes les convenances, même celles du goût, interdisent la louange littéraire, partout où la critique est interdite Tableau de la littérature. louange
Pancrace, mon cher maître, ô vous à qui je doi Ce ton lourd et guindé que vous vantez en moi le Docteur Pancrace. lourd, ourde
Ma vie est sans couleur, et mes pâles journées M'offrent de longs ennuis l'enchaînement certain, Lugubres comme un soir qui n'eût pas de matin la Promenade. lugubre
Dans mon lyrique essor je marche à pas comptés les Nouveaux saints. lyrique
Ne laissez point sans cesse, au gré des courtisans, Errer de main en main l'autorité suprême Ch. IX, II, 3 main
Sire, un mal violent veut un remède extrême Ch. IX, III, 2 mal, ale
Et c'est nous trop souvent qui faisons nos malheurs Fénel. III, 2 malheur
Le malheur qui n'est plus n'a jamais existé ib. V, 2 malheur
Auprès d'André Chénier avant que de descendre, J'élèverai sa tombe où manquera sa cendre, Mais où vivront du moins et son doux souvenir, Et sa muse et ses vers dictés pour l'avenir la Calomnie. manquer
Marchand de vers, jadis poète Ép. à J. Delille. marchand, ande
Les délateurs, vendant leurs voix et leurs écrits, Viennent dans son palais marchander les proscrits Tibère, I, 1 marchander
Que dis-je ! il m'a laissé son projet à remplir, Ce généreux projet dont il fut le martyr Gracques, I, 5 martyr, yre
En vain dans ses discours de pompe revêtus, De ses vices masqués il se fait des vertus Tibère, IV, 3 masqué, ée
Ma vie est sans couleur, et mes pâles journées M'offrent de longs ennuis l'enchaînement certain, Lugubres comme un soir qui n'eut pas de matin la Promenade. matin
Mais tout dissimuler serait une imprudence ; On peut se méfier d'un excès de clémence Charles IX, II, 2 méfier (se)
Et la mélancolie errante au bord des eaux la Promenade. mélancolie
Que je repose en paix sous le gazon rustique, Sur les bords du ruisseau pur et mélancolique ! la Promenade. mélancolique
Des bontés du tyran vainement menacé, Du nom de citoyen je ne suis point lassé Tibère, IV, 4 menacé, ée
Et, meublant de Maret la boutique infernale, Ils dînent du mensonge et soupent du scandale Disc. sur la calomnie. mensonge
Je ne mentirai point au Dieu de vérité Fénelon, I, 2 mentir [1]
Gorgé de honte et d'or, un impudent Maurice, Du pouvoir, quel qu'il soit, adorant le caprice, De tout parti vaincu mercenaire apostat, Peut vendre ses amis comme il vendit l'État Essai sur la satire. mercenaire
Qu'ont fait ces nains lettrés qui, sans littérature, Au-dessous du néant soutiennent le Mercure ? Ép. à Voltaire. mercure
Il vous en adviendra quelque mésaventure, Ô grand Perrin Dandin de la littérature les Nouveaux saints. mésaventure
Que ne puis-je à la fois engloutir sous le Tibre Ces métaux corrupteurs d'un peuple jadis libre ? Gracques, II, 3 métal
Envieux par nature et brigands par métier, Ils vendent l'infamie à qui veut la payer la Calomnie. métier
Ah ! la misère entraîne aux plus affreux malheurs ! Elle ôte le courage et dégrade le coeur Gracques, III, 10 misère
Vos édits inconstants Ont annoncé chez vous un coeur faible et mobile Charles IX, II, 3 mobile
L'or, unique mobile, unique récompense Gracq. II, 3 mobile
Je ne me place point parmi ces grands modèles Charles IX, III, 1 modèle
Et ce modique champ le lie à son pays Gracques, II, 3 modique
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