Oeuvres et citations de Victor HUGO

926 citations de l'auteur Victor HUGO (Page 13 sur 24)

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Citation Œuvre Entrée
Toujours lui ! lui partout ! ou brûlante ou glacée, Son image [de Napoléon] sans cesse ébranle ma pensée Orient. 40 lui [1]
Tu verras, si demain le cercueil me dévore, Un soleil aussi beau luire à ton désespoir Odes, V, 8 luire
Cités [mahométanes] aux dômes d'or où les mois sont des lunes Orient. 41 lune
En classe, un banc de chêne, usé, lustré, splendide, Une table, un pupitre les Rayons et les ombres, XLIV lustré, ée
Vous êtes les enfants des belliqueux lycées ! Là vous applaudissiez nos victoires passées Crép. I lycée
Et j'ajoute à ma lyre une corde d'airain Feuilles d'automne, XL. lyre
Montés au même char, comme un couple homérique, Nous tiendrons, pour lutter dans l'arène lyrique, Toi la lance, moi les coursiers Odes, à Lamartine. lyrique
Son cheval [du soldat] mâche un frein blanc d'écume Orient. 15 mâcher
Dors-tu ? réveille-toi, mère de notre mère ! D'ordinaire en dormant ta bouche remuait ; Mais ce soir on dirait la madone de pierre Ball. 3 madone
Quelque fée ....Des feux de l'aube boréale Fit une palette idéale Pour ton pinceau magicien Odes, V, 22 magicien, enne
Oh ! l'avenir est magnifique, Jeunes Français, jeunes amis Chants du crépusc. I magnifique
Puisque mai tout en fleurs dans les prés nous réclame Chants du crépusc. XXX mai
Nous ferons ce soir une chère Chère ; Vous n'y recevrez, maître queux, Qu'eux [les archers] Ball. 11 maître
Oh ! fuis ! détourne-toi de mon chemin fatal ; Hélas ! sans le vouloir je te ferais du mal ! Hern. III, 4 mal, ale
Pris dans un corps mal fait, où je suis mal à l'aise le Roi s'amuse, II, 2 mal, ale
Oh ! je porte malheur à tout ce qui m'entoure Hernani, III, 4 malheur
Malheur ! tous nos forfaits l'appellent, Tous les signes nous le révèlent, Le jour des arrêts solennels ! Odes, I, 9 malheur
Derrière un mamelon la Garde était massée, La Garde, espoir suprême et suprême pensée Châtiments, V, 13 mamelon
Les hiboux s'effrayaient au fond des vieux manoirs Ball. Les deux archers manoir
Le bleu manteau des rois pouvait gêner vos pas ; La pourpre [la pourpre impériale] vous va mieux ; le sang n'y paraît pas Hernani, IV, 4 manteau
Les manteaux relevés par la longue rapière Hélas ! ne passaient plus dans ce jardin sans voix Voix intérieures, Passé. manteau
Est-ce que vous pouvez, sans tristesse et sans plainte, Voir nos ombres flotter, où marchèrent nos pas ? Rayons et ombres, XXXIV marcher [1]
Le régiment marcheur, polype aux mille pieds Crép. 4 marcheur, euse
Ô flots, que vous savez de lugubres histoires !.... Vous vous les racontez en montant les marées, Et c'est ce qui vous fait ces voix désespérées, Que vous avez le soir quand vous venez vers nous ! Rayons et ombres, Oceano nox. marée
Où sont-ils les marins sombrés dans les nuits noires ? Les rayons et les ombres, XLII marin, ine
Et renvoyer ces rois qu'on aurait pu bénir, Marqués au front d'un vers que lira l'avenir Feuilles d'automne, XL. marqué, ée
Mon poing désarmé martèle les armures Mieux qu'un chêne noueux choisi dans les forêts Ball. 5 marteler
Alors la masure, où la mousse Sur l'humble chaume a débordé, Montre avec une fierté douce Son vieux mur, de roses brodé Voix intérieures, V masure
Quelle plus misérable et plus pauvre masure Qu'un homme usé, flétri, mort pour l'illusion, Riche et sans volupté, jeune et sans passion ? Voix intérieures, à un riche masure
Je m'étais endormi la nuit près de la grève ; Un vent frais m'éveilla, je sortis de mon rêve, J'ouvris les yeux, je vis l'étoile du matin Stella. matin
Comme il était rêveur au matin de son âge ! Odes, III, 6 matin
Alors, oh ! je maudis dans leur cour, dans leur antre, Ces rois dont les chevaux ont du sang jusqu'au ventre ! Feuilles d'automne, XL. maudire
Par ses propres fureurs le maudit se dévoile ; Dans le démon vainqueur on voit l'ange proscrit Od. I, 4 maudit, ite
Car elle avait quinze ans, un sourire ingénu, Et m'aimait sans mélange Orient. 26 mélange
D'autres viendront... Puiser dans cet asile heureux, calme, enchanté, Tout ce que la nature à l'amour qui se cache Mêle de rêverie et de solennité Rayons et ombres, XXXIV mêler
Ô vils marchands d'eux-même ! immonde abaissement Légende des siècles, XII, 2 même
J'avais oublié cette histoire. - Celui dont le flanc saigne, a meilleure mémoire ; L'affront que l'offenseur oublie en insensé, Vit et toujours remue au coeur de l'offensé Hernani, IV, 4 mémoire [1]
Autour du froid tombeau d'une épouse ou d'un frère Qui de nous n'a mené le deuil ? Odes, I, 2 mener
Je n'ai jamais cherché les baisers que nous vend Et l'hymne dont nous berce avec sa voix flatteuse La popularité, cette grande menteuse Voix, 2 menteur, euse
Monsieur, vous qui venez de me parler ainsi, Ne demandez jamais ni grâce ni merci Hernani, II, 3 merci
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