Oeuvres et citations de Victor HUGO

926 citations de l'auteur Victor HUGO (Page 15 sur 24)

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Citation Œuvre Entrée
Les muets bigarrés armés du noir cordon Orientales, la Douleur du pacha muet, ette
Quand l'ouragan mugit, quand des monts brûlants s'ouvrent Odes, I, 11 mugir
Je fais jeter par jour un esclave aux murènes Odes, IV, 8 murène
Ah ! ne vous hâtez pas de mûrir vos pensées ! Jouissez du matin, jouissez du printemps Odes, V, 17 mûrir
....Je veux aujourd'hui folâtrer avec vous Au sein des vagues murmurantes Odes, IV, 3 murmurant, ante
Oh ! la muse se doit aux peuples sans défense Feuilles d'automne, XL. muse [1]
Oh ! muse, contiens-toi ! muse aux hymnes d'airain, Muse de la loi juste et du droit souverain, Toi dont la bouche abonde en mots trempés de flamme Voix intérieures, XXXII muse [1]
Le doute.... Spectre myope et sourd, qui, fait de jour et d'ombre, Montre et cache à la fois toute chose à demi Crép. 38 myope
Maison mystérieuse et propre aux tragédies ! Ruy Blas, IV, 2 mystérieux, euse
Mon bonheur s'éleva comme un château de fées, Avec des murs de nacre aux mobiles couleurs Odes, V, 10 nacre
Ô géant ! se peut-il que tu dormes ? On vend ton sceptre au poids ; un tas de nains difformes Se taillent des pourpoints dans ton manteau de roi Ruy Blas, III, 2 nain, aine
Que t'importe avec ses outrages, à toi, géant, un peuple nain ? Odes, IV, 6 nain, aine
Ô myrrhe ! ô cinname ! Nard cher aux époux ! F. d'aut. 37 nard
L'impassible nature a déjà tout repris Rayons et ombres, XXXIV nature
Il est, Chateaubriand, de glorieux navires Qui veulent l'ouragan plutôt que les zéphires Odes, III, 2 navire
Voici Babel déserte et sombre, Du néant des mortels prodigieux témoin Orient. I, 6 néant
Il voit devant ses pas, seul pour se soutenir, Aux rayons nébuleux de sa funèbre aurore, Le grand désert de l'avenir Odes, V, 3 nébuleux, euse
Dors, ô fils d'Apollon ; ses lauriers te couronnent ; Dors en paix : les neuf soeurs t'adorent comme un roi ; De leurs choeurs nébuleux les songes t'environnent, La lyre chante auprès de toi Odes, IV, 2 nébuleux, euse
Malheur au vainqueur sans gloire, Qui doit sa lâche victoire À de hideux nécromants ! Odes, IV, 12 nécromant
Quand sur le flot sombre et grossi Je risquai ma nef insensée, Moi je cherchais un monde aussi Feuilles d'automne, IX nef
Il faut qu'avril jaloux brûle de ses gelées Le beau pommier, trop fier de ses fleurs étoilées, Neige odorante du printemps Orient. 33 neige
Il neigeait, il neigeait toujours : la froide bise Sifflait... l'Expiation. neiger
Quand novembre de brume inonde le ciel bleu, Que le bois tourbillonne et qu'il neige des feuilles Orient. 41 neiger
Pour tous les siens ma haine est encor toute neuve Hernani, I, 2 neuf, euve [2]
L'oiseau cache son nid, nous cachons nos amours Contemplations, II, 16 nid
Si, tremblant à ces bruits étranges, Quelque nocturne voyageur En se signant demande aux anges Sur qui sévit ce dieu vengeur Ball. 13 nocturne
Si nul reptile impur, sur vos chastes guirlandes, N'eût traîné ses noeuds flétrissants Odes, II, 1 noeud
Être rattaché ....Le pré vert, le sentier qui se noue aux villages, Et le ravin profond.... Crép. 24 nouer
Rois, peuples, couvrez-vous d'un sac souillé de cendre ; Bientôt sur la nuée un juge doit descendre Odes, III, 1 nuée
Les obélisques gris s'élançaient d'un seul jet Orientales, I obélisque
Parfois il [Napoléon] vient, porté sur l'ouragan numide, Prenant pour piédestal la grande pyramide, Contempler les déserts, sablonneux océans Orient. 40 océan
Ah ! le peuple, océan, onde sans cesse émue Hernani, IV, 2 océan
Je contemple longtemps vos créneaux meurtriers, Et la tour octogone et ses briques rougies Odes, V, 18 octogone
Oh ! laissez, laissez-moi m'enfuir sur le rivage ! Laissez-moi respirer l'odeur du flot sauvage ! Éblouissements odeur
Depuis qu'Albaydé dans la tombe a fermé Ses beaux yeux de gazelle Orient. 36 oeil
Tous, taillant et hurlant, en bandits que nous sommes, Oeil pour oeil, dent pour dent, c'est bien ! hommes contre hommes ! Ruy Blas, I, 2 oeil
L'affront, que l'offenseur oublie en insensé, Vit et toujours remue au coeur de l'offensé Hernani, IV, 4 offensé, ée
Soyez comme l'oiseau posé pour un instant Sur des rameaux trop frêles, Qui sent ployer la branche et qui chante pourtant, Sachant qu'il a des ailes Chants du crépuscule, 33 oiseau [1]
Poëte, j'eus toujours un chant pour les poëtes ; Et jamais le laurier qui pare d'autres têtes Ne jeta d'ombre sur mon front Odes, III, 1 ombre [1]
Son beau flanc plus ombré qu'un flanc de léopard Voix intérieures, la Vache. ombré, ée
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