Oeuvres et citations de Victor HUGO

926 citations de l'auteur Victor HUGO (Page 14 sur 24)

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Ô l'amour d'une mère, amour que nul n'oublie ! Pain merveilleux qu'un Dieu partage et multiplie, Table toujours servie au paternel foyer ! Chacun en a sa part, et tous l'ont tout entier ! Feuilles d'automne, I mère [1]
Quand, par les rois chrétiens aux bourreaux turcs livrée, La Grèce, notre mère, agonise éventrée Feuilles d'automne, XL. mère [1]
Parmi les fleurs J'entends les gais pinsons et les merles siffleurs Floréal (Châtiments, VII, 14). merle
J'ai dit à notre abbé : messire, Priez bien pour tous nos soldats Ballades, la Fiancée du timbalier messire
Vieillard, va-t'en donner mesure au fossoyeur Hernani, I, 2 mesure
Ces faux Dieux que leur siècle encense, Dont l'avenir hait la puissance, Vous trompent dans votre sommeil, Tels que ces nocturnes aurores, Où passent de grands météores, Mais que ne suit pas le soleil Odes, I, 11 météore
Midi sèche l'eau des citernes Chans. des rues et des bois, la Méridienne du lion midi
Hier j'avais des châteaux ; j'avais de belles villes, Des Grecques par milliers à vendre aux Juifs serviles Orientales, XVI millier
Pour lui.... Un million joyeux sortit de Waterloo Contemplations, Melancholia. million
Or, de vous deux, c'est toi qu'on hait, lui qu'on vénère ; Vieillard, tu n'es qu'un gueux, et ce millionnaire, C'est l'honnête homme Contemplations, Melancholia. millionnaire
Là de blancs minarets, dont l'aiguille s'élance Tels que des mâts d'ivoire Orientales, 3 minaret [1]
L'esprit de minuit passe, et, répandant l'effroi, Douze fois se balance au battant du beffroi Ball. 14 minuit
Vous aimez madame et ses yeux noirs, Vous y venez mirer les vôtres tous les soirs Hernani, I, 2 mirer
Ah ! le peuple ! océan ! onde sans cesse émue !... Miroir où rarement un roi se voit en beau ! Hernani, IV, 2 miroir
Ce siècle est grand et fort, un noble instinct le mène ; Partout on voit marcher l'idée en mission Voix, 1 mission
En vain boulets, obus, la balle et les mitrailles, De la vieille cité déchiraient les entrailles Crép. 1 mitraille
Néron, maître du monde et dieu de l'harmonie, Qui sur le mode d'Ionie Chante en s'accompagnant de la lyre à dix voix Odes, Un chant de fête de Néron mode [1]
Lutteurs.... Venez vaincre dans nos fêtes, Afin d'obtenir des poëtes Un chant sur le mode thébain Odes, IV, 10 mode [1]
....Seigneur bandit, de vous à moi Pas de reproche ! Hernani, II, 3 moi
Qu'il [l'étranger] éveille en passant cette cité momie, Pompéi, corps gisant d'une ville endormie Orient. 40 momie
Crains des bleus horizons le cercle monotone Ball. 14 monotone
Les boas monstrueux, les crocodiles verts, Moindres que des lézards sur les murs entr'ouverts, Glissaient parmi les blocs superbes Orientales, I monstrueux, euse
Parvenu à une certaine hauteur, Son astre haut monté soulève moins de brume Feuilles d'automne, 36 monté, ée
Ô flots, que vous savez de lugubres histoires !... Vous vous les racontez en montant les marées Rayons et ombres, XLII monter
La dernière campagne A fait monter bien haut le roi François premier Hernani, I, 3 monter
Qui leur eût dit que.... Les chevaux de Crimée un jour mordraient l'écorce Des vieux arbres du grand Louis ? Voix, 2 mordre
L'onde incendiaire [l'océan de flamme qui dévore Sodome] Mord l'îlot de pierre Qui fume et décroît Orient. 1 mordre
Les moresques balcons en trèfles découpés Orientales, III moresque
Que ce soit Urgèle ou Morgane, J'aime, en un rêve sans effroi, Qu'une fée au corps diaphane, Ainsi qu'une fleur qui se fane, Vienne pencher son front sur moi Ball. I morgane
Anacréon, chargé du poids des ans moroses, Pour songer à la mort se comparait aux roses Qui mouraient sur ses cheveux blancs Odes, III, 1 morose
Tout gonflé de poison il attend les morsures Voix intérieures, 13 morsure
Les morts durent bien peu ; laissons-les sous la pierre ; Hélas ! dans le cercueil ils tombent en poussière Moins vite qu'en nos coeurs F. d'automne, 6 mort, morte [2]
Les barons en robe de soie, Avec leurs mortiers de velours Ballades, VI mortier
Longtemps après sa chute [de la bombe], on voit fumer encore La bouche du mortier, large, noire et sonore Odes, III, 6 mortier
Prophète à son jour mortuaire [le poëte], La prison est son sanctuaire, Et l'échafaud est son trépied Odes, I, 1 mortuaire
Là [sur la falaise], tout est comme un rêve, Chaque voix a des mots, Tout parle.... Odes, V, 25 mot
Garder dans son coeur de jeune homme Un nom mystérieux que jamais on ne nomme, Glisser un mot furtif dans une tendre main F. d'aut. 18 mot
Dans les forêts prochaines La mousse épaisse et verte Abonde au pied des chênes les Voix intérieures, VIII mousse [3]
Que me font ces châteaux, ruines féodales, Si leur donjon moussu n'entend point sur ses dalles Un pas léger courir à côté de mes pas ? Odes, V, 19 moussu, ue
Pour eux [les poëtes] rien n'est muet, rien n'est froid, rien n'est mort Voix intérieures, 19 muet, ette
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