Oeuvres et citations de Victor HUGO

926 citations de l'auteur Victor HUGO (Page 12 sur 24)

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Citation Œuvre Entrée
Venez tous ! soit qu'au sein des jeux et des alarmes, Votre écu de Milan porte le vert dragon, Le manteau noir d'Agra semé de blanches larmes.... Odes, IV, 12 larme
....J'ai, faible et plein d'alarmes, Vu trois fois un drap noir semé de blanches larmes Tendre ce corridor F. d'aut. 6 larme
Or il faut que je sorte une heure, et moi qu'on nomme Ruy Gomez de Sylva, je ne puis l'essayer, Sans qu'un larron d'honneur se glisse à mon foyer Hernani, I, 3 larron, onnesse
Voilà que de partout, des eaux, des monts, des bois, Les larves, les dragons, les vampires, les gnomes... Ball. XI larve [1]
Partout où la nature est gracieuse et belle, Où le chevreau lascif mord le cytise en fleurs F. d'aut. 38 lascif, ive
Ce sont les lavandières Qui passent en chantant là-bas dans les bruyères Ruy-Blas, II, 1 lavandière
Pour attirer la foule aux lazzi qu'il répète, Le blanc Pulcinella sonnait de la trompette Contemplations, XXII lazzi
Cet enfant que la vie effaçait de son livre, Et qui n'avait pas même un lendemain à vivre Feuilles d'automne, I lendemain
La vengeance est boiteuse, elle vient à pas lents, Mais elle vient Hernani, II, 3 lent, ente
Il faut que le lichen, cette rouille du marbre, De sa lèpre dorée au loin couvre le mur Voix intér. à l'Arc de triomphe lèpre
[Flotte du sultan] Toi qui, dans ta démence, Battais les mers, immense Comme Léviathan ! Orient. 5 léviathan
....Il est, je crois, Plus aisé qu'un chameau passe au trou d'une aiguille, Ou le Léviathan au gosier de l'anguille, Qu'un riche et qu'un puissant par la porte des cieux Cromwell, II, 10 léviathan
Puisque j'ai mis ma lèvre à ta coupe encor pleine Chants du crépuscule, XX lèvre
Qu'à peine un mouvement de ta lèvre indignée Révèle ton courroux au fond du coeur grondant Voix intér. XXXII lèvre
La frissonnante libellule Mire les globes de ses yeux Dans l'étang splendide, où pullule Tout un monde mystérieux les Rayons et les Ombres, XVII libellule
Je suis fils de ce siècle ; une erreur chaque année S'en va de mon esprit, d'elle-même étonnée ; Et, détrompé de tout, mon culte n'est resté, Qu'à vous, sainte patrie et sainte Liberté Feuilles d'automne, XL. liberté
Déjà la lice est ouverte ; Les clercs en ont fait le tour ; La bannière blanche et verte Flotte au front de chaque tour Odes, le Chant du tournoi. lice [1]
Il [Fouquier Tinville] parle : ses licteurs vers l'enceinte fatale Traînent les malheureux que sa fureur signale Odes, I, 3 licteur
Quel serment ? - J'ai juré. - Non, non, rien ne te lie Hernani, V, 6 lier
Que.... La tour hospitalière, Où je pendrai mon nid, Ait, vieille chevalière, Un panache de lierre Sur son front de granit Odes, Rêves. lierre
On a le lierre au front, et la coupe à la main L'égout de Rome. lierre
Nous qui sommes, De par Dieu, Gentilshommes De haut lieu Ball. XI lieu [1]
Et l'on ne songe plus ... Que tout près, par les bois et les ravins caché, Derrière le ruban de ces collines bleues, à quatre de ces pas que nous nommons des lieues, Le géant Paris est couché F. d'aut. 34 lieue
Le pesant chariot porte une énorme pierre ; Le limonier, suant du mors à la croupière, Tire, et le roulier fouette Contemplations, Melancholia. limonier [1]
Les noirs linceuls des nuits sur l'horizon se posent la Bataille perdue. linceul
Je courus à la grève et ne vis qu'un linceul De brouillards et de nuit, et l'horreur, et moi seul les Châtiments, VII, 8 linceul
Ayant ceci présent qu'il était votre aïeul Celui qui vient de cheoir de la pourpre au linceul Hernani linceul
Encor si ce banni n'eût rien aimé sur terre ! Mais les coeurs de lion sont les vrais coeurs de père Chants du crépuscule, V lion, onne
Vous êtes mon lion superbe et généreux Hernani, III, 4 lion, onne
Leur troupeau lourd et rapide, Volant dans l'espace vide, Semble un nuage livide Qui porte un éclair au flanc Orientales, les Djinns. livide
Amis, un dernier mot, et je ferme à jamais Ce livre, à ma pensée étranger désormais Feuilles d'automne, XL. livre [1]
Amis, loin de la ville, Loin des palais de roi, Loin de la cour servile, Loin de la foule vile, trouvez-moi, trouvez-moi.... Quelque asile sauvage Odes, Rêves. loin
Oh ! dans ces jours lointains où l'on n'ose descendre, Quand trois mille ans auront passé sur notre cendre, à nous, qui maintenant vivons, pensons, allons Voix intér. IV lointain, aine
C'est la même [l'architecture romane] qui s'appelle aussi, selon les lieux, les climats et les espèces, lombarde, saxonne et byzantine ; ce sont quatre architectures soeurs et parallèles, ayant chacune leur caractère particulier, mais dérivant du même principe, le plein cintre Notre-Dame de Paris, III, 1 lombard, arde [1]
Ce Corneille Agrippa pourtant en sait bien long ! Hernani, IV, 1 long, ongue
Los aux dames ! Au roi los ! Vois les flammes Du champ clos Ball. 12 los
Roi, pendant que tu sors joyeux de ma demeure, Ma vieille loyauté sort de mon coeur... Hernani, III, 6 loyauté
Ce reflet émané du corps de Lucifer, C'était le pâle jour qu'il traîne en nos ténèbres, Le rayon sulfureux qu'en des songes funèbres Il nous apporte de l'enfer Ball. VIII lucifer
Soudain à leurs regards une lueur rampante En bleuâtres sillons sur la hauteur serpente Ball. VIII lueur
Où sont-ils les marins sombrés dans les nuits noires ? Ô flots ! que vous savez de lugubres histoires ! Rayons et ombres, Oceano nox. lugubre
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