Oeuvres et citations de Victor HUGO

926 citations de l'auteur Victor HUGO (Page 21 sur 24)

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Citation Œuvre Entrée
Et les roses, nos soeurs, se disputent entre elles Mon souffle de parfums et mon corps de rayons [d'un sylphe] Ball. 2 souffle
Un marouffle, Mis à neuf, Joue et souffle, Comme un boeuf, Une marche De Luzarche Ball. 12 souffler
Et moi, je ne crois pas Qu'il soit digne du peuple en qui Dieu se reflète De joindre au bras qui tue une main qui soufflette Voix, II souffleter
Nous entendrons.... Ces millions de morts, moisson du Fils de l'homme, Sourdre confusément dans leurs sépulcres, comme Le grain dans le sillon F. d'aut. 6 sourdre
Oui, souris, orphelin, aux larmes de ta mère Odes, I, 8 sourire [1]
Souris même à l'envie amère et discordante Odes, III, 4 sourire [1]
Les archers sournois qui t'attendent [toi cerf] Tendent Leurs arcs dans l'épaisseur du bois Ball. 11 sournois, oise
Celui qui.... Sur de soyeux divans se couche avec mollesse Orient, X soyeux, euse
J'aimais l'essaim d'oiseaux funèbres qui.... Tournoie en mobiles spirales Autour des pavillons légers Odes, II, 3 spirale
L'incendie, attaquant la frégate amirale, Déroule autour des mâts son ardente spirale Orient. v. spirale
Seigneur, je vous bénis ! de ma lampe mourante Votre souffle vivant rallume la splendeur Odes, v, 14 splendeur
Enfin, après trois jours d'une course insensée, Après avoir franchi fleuves à l'eau glacée, Steppes, forêts, déserts.... Orient. XXXIV, Mazeppa. steppe
Et ce qui plonge l'âme en des stupeurs profondes, C'est la perfection de ces gredins immondes Châtiments, VI, 5 stupeur
Mon esprit.... S'en revint.... Ébloui, haletant, stupide, épouvanté, Car il avait au fond trouvé l'éternité Feuilles d'aut. la Pente de la rêverie stupide
Donc vous me succédez ? [auprès de Marion Delorme]. - Un peu, sur ma parole, Comme le roi Louis succède à Pharamond Marion Delorme, III, 7 succéder
Oh ! n'insultez jamais une femme qui tombe ! Qui sait sous que fardeau la pauvre âme succombe ? Crépusc. XI succomber
Mais lorsque, grandissant sous le ciel attristé, L'aveugle suicide étend son aile sombre Crépusc. 13 suicide
Ce reflet émané du corps de Lucifer, C'était le pâle jour qu'il traîne en nos ténèbres, Le rayon sulfureux qu'en des songes funèbres Il nous apporte de l'enfer ! Ball. VIII sulfureux, euse
Il faut au sultan des sultanes, Il faut des perles au poignard Orient. 12 sultane [1]
Oh oui ! la terre est belle et le ciel est superbe Crépusc. 28 superbe [1]
Cependant on l'a construit quelquefois avec si : Flots d'azur..., D'un charme si suprême Que l'incrédule même S'agenouille à leurs bords ! Feuill. d'aut. 37 suprême
C'était une humble église au cintre surbaissé, L'église où nous entrâmes Crépuscule, 33 surbaissé, ée
Mystérieux abîme où l'esprit se confond ! à quelques pieds sous terre un silence profond, Et tant de bruit à la surface ! Feuilles d'aut. IV surface
Sur mon passé rien ne surnage Des vains rêves de mon jeune âge Odes, V, 21 surnager
Rois qu'on montre aux enfants dans tous les syllabaires Châtim. VI, 5 syllabaire
L'Alhambra !... Forteresse aux crénaux festonnés et croulants, Où l'on entend la nuit de magiques syllabes Orient. 31 syllabe
Je suis l'enfant de l'air, un sylphe, moins qu'un rêve, Fils du printemps qui naît, du matin qui se lève Ball. 2 sylphe, ide
Je lui dis : vous étiez du beau siècle amoureux ; Sylvain, qu'avez-vous vu, quand vous étiez heureux ? Ray. et ombr. la Statue. sylvain
Enfants, voici les boeufs qui passent ; Cachez vos rouges tabliers Ball. 13 tablier [2]
Il y a deux cents trente ans que l'astronome Jean Fabricius a trouvé des taches dans le soleil ; il y a deux mille deux cents ans que le grammairien Zoïle en avait trouvé dans Homère Disc. de réception tache
Comme une peau de tigre, au couchant s'allongeait Le Nil jaune, tacheté d'îles Orient. 1 tacheté, ée
Les rois fuyaient ; les rois n'étaient pas de sa taille [de Napoléon] Crépusc. 2 taille
César t'eût confié sa cendre, Et c'est toi qu'eût pris Alexandre Pour lui tailler le mont Athos Feuilles d'automne, à David, statuaire tailler
Ô géant [Charles-Quint] !.... On vend ton sceptre au poids ! un tas de nains difformes Se taillent des pourpoints dans ton manteau de roi Ruy-Blas, III, 2 tailler
Honte au guerrier sans vaillance Qui combat la noble lance Avec d'impurs talismans ! Odes, IV, 12 talisman
Il n'est bon qu'à presser des talons une mule Orient. 5 talon
Les hauts tambours majors aux panaches énormes Châtiments l'Expiation. tambour
Bien souvent fatigués du soleil, nous aimons Boire au petit ruisseau tamisé par les monts Crép. 19 tamisé, ée
Et, comme l'oiseau des tempêtes, Tremper tes ailes dans les flots Feuilles d'automne, 10 tempête
Oh ! disaient les peuples du monde, Les derniers temps sont-ils venus ? Nos pas, dans une nuit profonde, Suivent des chemins inconnus Odes, I, 9 temps
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