Oeuvres et citations de Jean-Baptiste ROUSSEAU

438 citations de l'auteur Jean-Baptiste ROUSSEAU (Page 2 sur 11)

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Citation Œuvre Entrée
Amour voulant lever un régiment Battait la caisse autour de ses domaines Vers allégoriques au duc de Bourg. caisse
Rendez le calme, Europe, à votre âme étonnée Jup. et Europ. calme [2]
Mais ce calme si doux que le ciel vous renvoie N'est point le calme oisif d'une indolente joie Odes, III, 4 calme [2]
Reviens de ta patrie en proie à la tristesse Calmer les déplaisirs Odes, IV, 5 calmer
Je n'ai point l'heureux don de ces esprits faciles Pour qui les doctes soeurs, caressantes, dociles, Ouvrent tous leurs trésors Odes, III, 1 caressant, ante
Sans songer que mêmes tendresses, Mêmes serments, mêmes caresses Trompèrent un autre avant lui Odes, II, 15 caresse
Crois-moi, suis plutôt l'exemple De tes amis casaniers, Et reviens goûter au Temple L'ombre de tes marronniers Odes, II, 8 casanier, ière
Il est comptable à sa patrie Des dons qu'il tient de leur bonté [des cieux] ; Cette influence souveraine N'est pour lui qu'une illustre chaîne Qui l'attache au bonheur d'autrui Odes, IV, 7 chaîne
Ô vous que la bonne fortune Maintient à l'abri des revers, De la terre charge importune, Peuple inutile à l'univers Odes, IV, 7 charge
Et me rendre peut-être, à moi seul, chérissable La gloire périssable Des stériles travaux qui font tout mon emploi Odes, IV, 2 chérissable
J'ai vu la nymphe Écho porter ses doux concerts Sur les monts chevelus, sur les rochers déserts Églogue. chevelu, ue
Que dites-vous de ces vers chevillés, De ces discours obscurs, entortillés ? dans le Dict. de DOCHEZ. chevillé, ée
Quel chien de train ! quelle chienne de vie ! Épigr. IV, 5 chien, chienne
Je l'ai vu calculer, nombrer, chiffrer, rabattre Rép. à Chaul. chiffrer
Ne craignez rien, calomniez toujours ; Quand l'accusé confondrait vos discours, La place est faite ; et, quoiqu'il en guérisse, On en verra du moins la cicatrice Ép. I, liv. 1, Aux muses cicatrice
Sur un rocher désert l'effroi de la nature, Dont l'aride sommet semble toucher les cieux, Circé, pâle, interdite et la mort dans les yeux, Pleurait sa funeste aventure Cantate, Circé. circé
Mais, sans tes clartés sacrées, Qui peut connaître, Seigneur, Les faiblesses égarées Dans les replis de son coeur ? O de 2, liv. I clarté
De ces grands mots, clinquant de l'oraison, Enflés de vent et vides de raison liv. II, Ép. II, Brumoy. clinquant
Bientôt l'État, privé d'une de ses colonnes, Se plaindrait d'un repos qui trahirait le sien Odes, liv. III, 6 colonne
Mais dans les vers tous s'estiment docteurs, Bourgeois, pédants, écoliers, colporteurs Épît. III, 1 colporteur
L'inexpérience indocile Du compagnon de Paul-Émile Fit tout le succès d'Annibal Ode à la Fortune. compagnon
Les efforts des Titans n'ont rien de comparable Au moindre effet de sa fureur Cantate, l'Hiver. comparable
Chacun sortit en se congratulant liv. I, ép. 18 congratuler
Mille embûches toujours certaines Semblent conjurer vos malheurs Cantate, 14 conjurer
Quels traits me présentent vos fastes, Impitoyables conquérants ? Ode à la Fortune. conquérant [2]
J'y trouve un consolateur Plus affligé que moi-même Odes, II, 2 consolateur, trice
L'onde, en son lit écoulée, à la terre consolée Rend ses premières couleurs liv. I, Épodes. consolé, ée
Phébus, voyant sa mine constipée, Dit : Quelle est donc cette muse écloppée Qui vient ici racler du violon En manteau court ? Rondeau. constipé, ée
Près de ce gouffre horrible, épouvantable, Lieu de douleurs où le triste coupable Parmi des flots de bitume enflammé Brûle à jamais sans être consumé Allégor. I, 1 consumé, ée
Accablé de mépris, consumé de douleurs Odes, I, 12 consumé, ée
Le ciel reçut, en son vaste contour, Les feux brillants de la nuit et du jour Allég. liv. III contour
Toujours troublé de fureurs convulsives, De mon plancher ébranler les solives Épît. I, liv. I, Aux muses. convulsif, ive
Et ressemblez à l'oeuf cuit dans sa coque ; Plus on l'échauffe, et plus se rendurcit Épigr. II, 5 coque
La céleste troupe Dans ce jus vanté Boit à à pleine coupe L'immortalité Cantate 9 coupe [2]
Dans les champs que l'hiver désole, Flore vient rétablir sa cour ; L'alcyon fuit devant Éole, Éole le fuit à son tour Cantate, Circé cour
Tantôt vous tracerez la course de votre onde ; Tantôt d'un fer courbé dirigeant vos ormeaux, Vous ferez remonter leur séve vagabonde Dans de plus utiles rameaux Odes, III, 6 courbé, ée
Ne murmurons donc plus contre les destinées Qui livrent sa jeunesse au ciseau d'Atropos, Et ne mesurons point au nombre des années La course des héros Odes, II, 10 course
Les fleuves étonnés remontent vers leur source, Les astres de la nuit interrompent leur course Cantate, Circé. course
Toujours prodigue et jamais épuisé, Par conséquent d'un chacun courtisé Allég. I, 5 courtisé, ée
La main du temps creusa les voûtes sombres D'un antre noir, séjour des tristes ombres Allég. 5e, liv. II creuser
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