Oeuvres et citations de Jean-Baptiste ROUSSEAU

438 citations de l'auteur Jean-Baptiste ROUSSEAU (Page 4 sur 11)

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Dans le sein de la mort ses noirs enchantements Vont troubler le repos des ombres Cantate, Circé. enchantement
Tu peux faire trembler la terre sous tes pas, Des enfers déchaînés allumer la colère Cantate, Circé. enfer
Habiller la fable en histoire, Et, causant toujours de mémoire, Propos sur propos enfiler, Vous croirez que ce caractère Est facilité de parler ; C'est impuissance de se taire Lettres, t. I, p. 207, dans RICHELET enfiler
S'offre d'abord un portique enfumé, De la discorde asile renommé Allég. II, 2 enfumé, ée
Dans le néant dont vous êtes sortis, Tous ont été comme vous engloutis Allég. II, 1 englouti, ie
Léger d'étude et d'orgueil engorgé, Maître Houdart se croit un petit aigle Ép. II, 5 engorgé, ée
Mais mon génie a toujours, je l'avoue, Fui ce faux air dont le bourgeois s'engoue A M. de Breteuil, liv. I, Ép. engouer
Tout le phébus qu'on reproche à Brébeuf, Enguenillé des rimes du Pont-Neuf Ép. II, 2 enguenillé, ée
Un ennemi, dit un célèbre auteur, Est un soigneux et docte précepteur, Fâcheux parfois, mais toujours salutaire Et qui nous sert sans gage ni salaire Épît. II, 4 ennemi, ie
Étrange vertu qui se forme Souvent de l'assemblage énorme Des vices les plus détestés Odes, II, 6 énorme
À chaque instant redoublent les injures, Les aigres sons, les enroués murmures Ép. I, 5 enroué, ée
Malheur aux mortels sanguinaires Qui par de tragiques forfaits Ensanglantent ses doux mystères Cantate de Bacchus. ensanglanter
Le châtiment tomba sur ses oreilles, Qui, tout à coup s'allongeant à merveilles, Par leur longueur et leur mobilité Servent d'enseigne à sa fatuité Allég. I, 5 enseigne
Les cieux instruisent la terre à révérer leur auteur ; Tout ce que leur globe enserre Célèbre un Dieu créateur Odes, I, 2 enserrer [1]
Certain curé, grand enterreur de morts, Au choeur assis, récitait le service ; Certain frater, grand disséqueur de corps, Tout vis-à-vis chantait aussi l'office Épigr. I, 18 enterreur
Deux gens de bien, tels que Vire en produit, S'entre-plaidaient sur la fausse cédule Ép. III, 19 entre-plaider (s')
Et le trio de louves surannées Qui, tour à tour à me mordre acharnées, Dans leur fureur semblent s'entre-prêter L'unique dent qui leur a pu rester Épît. I, 3 entre-prêter (s')
L'Alcyon fuit devant Éole, Éole le fuit à son tour ; Mais, sitôt que l'amour s'envole, Il ne connaît plus de retour Cantate, Circé. envoler (s')
Dans les champs que l'hiver désole Flore vient rétablir sa cour ; L'alcyon fuit devant Éole, Éole le fuit à son tour Cantate, Circé. éole
Où Polycrène épand ses libérales eaux Ép. VI épandre
....apprendre à ne leur plus répondre Que par des moeurs dignes de les confondre.... à fuir enfin toute escrime inégale Qui d'eux à nous remplirait l'intervalle Ép. II, 4 escrime
Son plus beau feu [de l'esprit] se convertit en glace Dès qu'une fois il luit hors de sa place, Et rien enfin n'est plus froid qu'un écrit Où l'esprit brille aux dépens de l'esprit Ép. II, 3 esprit
Qu'est-ce qu'esprit ? raison assaisonnée ib. I, 3 esprit
Ou tel que d'Apollon le ministre terrible, Impatient du Dieu dont le souffle invincible Agite tous ses sens, Les yeux étincelants, la tête échevelée.... Ode au comte de Luc. étincelant, ante
C'est à l'amour de rapprocher Ce que sépare la fortune Cantate XIX. être [1]
Les fouets hâtifs sont déployés, Qui de cent diverses manières Donnent à l'air les étrivières Lett. à Lafosse étrivière
Et dans cette nuit funeste Je cherchais en vain le reste De mes jours évanouis Odes, I, 10 évanoui, ie
Mais au moindre revers funeste, Le masque tombe, l'homme reste, Et le héros s'évanouit Ode à la fortune. évanouir (s')
Dites, n'est-il pas vrai que votre promptitude M'a presque soupçonné de peu d'exactitude ? le Flatt. III, 7 exactitude
Ils savent qu'un héros par son rang exalté Ne doit qu'à la vertu ce que doit le vulgaire à la nécessité Odes, IV, 5 exalté, ée
C'était en ces discours que s'exhalait ma plainte Odes, I, 12 exhaler
Je n'entends point l'extatique grimace D'un faux béat qui, le front vers les cieux, Aux chérubins fait partout les doux yeux Ép. I, 6 extatique
Je n'ai point l'heureux don de ces esprits faciles Pour qui les doctes soeurs, caressantes, dociles, Ouvrent tous leurs trésors Ode au comte du Luc. facile
La vertu du vieux Caton, Chez les Romains tant prônée, Était souvent, nous dit-on, De falerne enluminée Odes, II, 2 falerne
Et j'aime mieux endurer une injure Que d'illustrer un faquin ignoré Épigr. I, 7 faquin
Filles du ciel, chastes et doctes fées dans le Dict. de BESCHERELLE. fée
Plus fort que le fils d'Alcmène, Il [l'hiver] met les fleuves aux fers ; Le seul vent de son haleine Fait trembler tout l'univers Cantate 13 fer [1]
Grands réviseurs, courage, escrimez-vous, Apprêtez-moi bien du fil à retordre Épigr. II, 22 fil
Dans les champs que l'hiver désole, Flore vient rétablir sa cour Cantate, Circe. flore [1]
Il verra les deux mers flotter sous son empire Églogue. flotter
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