Je trouverai partout l'aliment de ma haine |
VOLTAIRE
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Triumv. II, 1 |
aliment |
L'aliment de votre âme le plus salutaire, c'est le sacrement de Jésus-Christ |
BOURDALOUE
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ib. p. 319 |
aliment |
La liberté est un aliment de bon suc, mais de forte digestion |
ROUSSEAU
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Gouvern. de Pol. 6 |
suc |
Divin et salutaire aliment [l'eucharistie], où nous participons par la communion |
BOURDALOUE
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Pensées, t. I, p. 313 |
aliment |
La lanière flexible et l'arc rebroussé du bec de l'avocette la réduisent à vivre d'un aliment mou |
BUFFON
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Avocette. |
avocette |
La chair de Jésus-Christ dans l'eucharistie est l'aliment de nos âmes |
BOURDALOUE
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ib. p. 520 |
eucharistie |
Nous attendions d'avance L'aliment qu'on accorde à la simple existence |
DUCIS
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Roméo, IV, 5 |
existence |
Le son lui forme [au cheval] un aliment très rafraîchissant et d'une facile digestion |
GENLIS
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Mais. rust. t. I, p. 199, dans POUGENS |
son [2] |
En superfluités s'épandant d'ordinaire, Et poussant trop abondamment, Il [le blé] ôte à son fruit l'aliment |
LA FONTAINE
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Fabl. IX, 11 |
épandre |
Il [un aliment] reste aussi indigestible dans l'estomac de ceux qui ne ruminent pas |
BERNARDIN DE SAINT-PIERRE
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Harm. I, Tabl. gén. |
indigestible |
Le sacrement auquel nous participons dans la communion, est le pain de l'âme et son aliment |
BOURDALOUE
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Serm. 23e dim. après la Pentecôte, Dominic. t. IV, p. 412 |
pain |
Si l'on considère combien est lente et insensible l'insinuation de l'aliment dans les parties qui le reçoivent.... |
BOSSUET
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Conn. III, 6 |
aliment |
Ce bonheur douloureux, cette tendre langueur, L'aliment, le plaisir et le charme du coeur |
DUCIS
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Abuf. IV, 8 |
douloureux, euse |
Si on considère combien est lente et insensible l'insinuation de l'aliment dans les parties qui le reçoivent.... |
BOSSUET
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Connaiss. III, 6 |
insinuation |
L'aliment commence à s'amollir dans la bouche par le moyen de certaines eaux épreintes des glandes qui y aboutissent |
BOSSUET
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Connaiss. II, 10 |
épreint, einte |
La haine confond tout, et, quoiqu'on lui propose, En son propre aliment convertit toute chose |
ROTROU
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Bélis. IV, 1 |
haine |
L'aliment est distribué dans toutes les parties du corps, au préjudice du cours qu'ont naturellement les choses pesantes |
BOSSUET
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Connaiss. II, 1 |
préjudice |
Ce n'est rien de jeûner des viandes grossières qui nourrissent le corps, si on ne jeûne aussi de tout ce qui sert d'aliment à l'amour-propre |
FÉNELON
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t. XVIII, p. 126 |
jeûner |
Le premier aliment que l'on donne aux oisons nouveau-nés est une pâte de retrait de mouture ou de son gras, pétrie avec des chicorées ou des laitues |
BUFFON
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Ois. t. XVII, p. 55 |
retrait [2] |
Le goût de la solitude et de la contemplation naquit dans mon coeur avec les sentiments expansifs et tendres, faits pour être son aliment |
ROUSSEAU
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Rêver. d'un prom. sol. Prom. 9 |
contemplation |
Et l'homme aux champs de Mars couché sur la poussière, Sanglant, percé de coups, sur un tas de mourants Sert d'aliment affreux aux oiseaux dévorants |
VOLTAIRE
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Désast. Lisb. |
mourant, ante |
Que mainte assiette et mainte écuelle, Faute de meilleur aliment, Seront par lui gloutonnement Et par ses soldats dévorées |
SCARRON
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Virg. III |
gloutonnement |
La chaleur la plus violente, dès qu'elle n'est pas nourrie, produit moins d'effet que la plus petite chaleur qui trouve de l'aliment |
BUFFON
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Hist. min. Introd. Oeuv. t. VII, p. 120 |
nourri, ie |
La paille et surtout celle du froment est un fort bon aliment [fourrage], lorsqu'elle est blanche, menue, fourrageuse, c'est-à-dire associée à de certaines plantes |
GENLIS
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Maison rust. t. I, p. 198, dans POUGENS |
paille |
Le meilleur moyen de les administrer [les touraillons, germes d'escourgeon malté] consiste à les mêler avec la pulpe, la drèche, le coupage, le son ou tout autre aliment analogue |
REYNAL
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Mém. d'agric. etc. 187071, p. 127 |
coupage |
Les figues sont l'aliment le plus commun en Grèce, en Morée et dans les îles de l'Archipel, comme les châtaignes dans quelques provinces de France et d'Italie |
BUFFON
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Suppl. à l'Hist. nat. Oeuv. t. XI, p. 129, dans POUGENS. |
figue |
Mais la dame voulait paître encore ses yeux Du trésor qu'enfermait la bière, Froide dépouille et pourtant chère ; C'était là le seul aliment Qu'elle prit en ce monument |
LA FONTAINE
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Matrone. |
monument |
Déjà l'activité de son génie, accoutumé aux soins de l'Europe entière, n'a plus pour aliment que l'administration de cent mille hommes ; encore l'organisation de son armée est-elle si parfaite qu'à peine est-ce une occupation |
SÉGUR
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Hist. de Nap. VIII, 9 |
occupation |
Notre premier aliment est le lait ; nous ne nous accoutumons que par degrés aux saveurs fortes ; d'abord elles nous répugnent |
ROUSSEAU
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Ém. II |
répugner |
C'est ainsi qu'un pigeon mourrait de faim près d'un bassin rempli des meilleures viandes, et un chat sur des tas de fruits ou de grain, quoique l'un et l'autre pût très bien se nourrir de l'aliment qu'il dédaigne, s'il s'était avisé d'en essayer |
ROUSSEAU
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Inégalité, 1re partie. |
essayer |
Il dit : comme un vautour qui plonge sur sa proie, Le malheur, à ces mots, pousse en signe de joie Un long gémissement, Et, pressant l'univers dans sa serre cruelle, Embrasse pour jamais de sa rage éternelle L'éternel aliment |
LAMARTINE
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Méd. I, 7 |
malheur |
Les sardines sont ailleurs l'aliment du peuple ; celles que nous prenons aux environs de Phalère, mériteraient d'être servies à la table des dieux, surtout quand on ne les laisse qu'un instant dans l'huile bouillante |
BARTHÉLEMY
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Anach. ch. 25 |
sardine |
Quand les passions sont maîtresses, elles sont vices ; et alors elles donnent à l'âme de leur aliment, et l'âme s'en nourrit et s'en empoisonne |
PASCAL
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dans COUSIN |
empoisonner |
Pour reconnaître ce que cette chaleur morte, c'est-à-dire cette chaleur dénuée de tout aliment, pouvait produire.... |
BUFFON
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Hist. min. Introd. part. exp. Oeuv. t. VII, p. 120 |
mort, orte [1] |
Avides du précieux aliment que votre Dieu vous a destiné et de cette pâture spirituelle dont nous sommes les économes, nous aurions peine à vous rassasier |
BOURDALOUE
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Dim. de la Sexagés. Dominic. t. I, p. 405 |
pâture |
Ceci peut s'appliquer à la grandeur royale ; Elle reçoit et donne, et la chose est égale ; Tout travaille pour elle, et réciproquement Tout tire d'elle l'aliment |
LA FONTAINE
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Fabl. III, 2 |
égal, ale |
Les fourmis alimentent leurs petits à la manière des guêpes, en leur dégorgeant la nourriture qu'elles ont elles-mêmes digérée et qui se montre au dehors sous l'aspect d'une liqueur visqueuse ; mais, lorsqu'elles demeurent privées d'aliment, leur affection pour les petits se change en cruauté, et elles les dévorent |
BONNET
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ib. |
fourmi |