Oeuvres et citations de Denis DIDEROT

2140 citations de l'auteur Denis DIDEROT (Page 34 sur 54)

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Citation Œuvre Entrée
C'est une espèce d'Héraclite chrétien, toujours prêt à pleurer sur la folie de ses semblables Mém. t. I, p. 91, dans POUGENS pleurer
La pleureuse de Greuze l'arrêta et le surprit Salon de 1765, Oeuv. t. XIII, p. 196, dans POUGENS pleureur, euse
Je serai le plus insigne pleurnicheur vieillard que vous ayez jamais connu Mém. t. III, p. 124, dans POUGENS pleurnicheur, euse
Il [Diogène] faisait pleuvoir le sel et l'ironie sur les vicieux Opinion des anc. philos. (cyniques). pleuvoir
Elles plient à leur gré la volonté de leur amant Claude et Nér. I, 47 plier
On voit tous les jours plier sous les maux des hommes que le ciel n'épargne pas Claud. et Nér. II, 56 plier
Malheur à celui que quelqu'une de ces pensées, que je jette au hasard à mesure que la lecture du philosophe me les offre, ne plongera pas dans la méditation ! Claude et Nér. II, 1 plonger
La plupart des autres ouvrages du philosophe sont des impromptus faits au courant de la plume Claude et Nér. II, 10 plume
Des fautes légères échappées à une plume rapide Claude et Nér. II, 109 plume
Méfiez-vous de ces gens qui ont leurs poches pleines d'esprit, et qui le sèment à tout propos Salon de 1765, Oeuv. t. XIII, p. 34, dans POUGENS poche
Je l'ai vu ; cela n'est absolument que poché ; mais charmant, expressif et plein de vie Salon de 1767, Oeuv. t. XV, p. 57, dans POUGENS poché, ée
Tous ces rares et divins insensés font de la poésie dans la vie, de là leur malheur Salon de 1767, Oeuv. t. XIV, p. 220, dans POUGENS poésie
Vien dessine bien, peint bien ; mais il ne pense ni ne sent ; Doyen serait son écolier dans l'art, mais il serait son maître en poésie ib. t. IX, p. 55, édit. 1821 poésie
Qu'est-ce qu'un poëte négligé ? c'est celui qui sème de temps en temps de la prose lâche et molle à travers de beaux vers Pensées sur la peint. Oeuvr. t. XV, p. 231, dans POUGENS poëte
Tous ces groupes insignifiants prouvent évidemment que la poétique des ruines est encore à faire Salon de 1767, Oeuv. t. XIV, p. 414, dans POUGENS poétique
Y entrant à mesure que la lumière y poignait, et s'en éloignant à mesure que les ténèbres s'y reformaient Opin. des anc. philos. (Platonisme). poindre
La mère est en grande colère : elle a les deux poings sur les côtés Salon de 1765, Oeuv. t. XIII, p. 177, dans POUGENS poing
Il règne ici une secte de faiseurs de pointes dont M. le chevalier de Chastellux est un des premiers apôtres ; elles sont si mauvaises, que c'est presque un des caractères d'un bon esprit que de ne pas les entendre Salon de 1767, Oeuv. t. XIV, p. 42, dans POUGENS pointe
Il ne faut poursuivre le phénomène à la pointe de l'esprit, que quand il échappe à la portée du sens Opin. des anc. philos. (secte éléatique). pointe
Si l'on forme, avec une pointe aiguë, des traits ou des hachures, sans recourir à l'eau-forte, ni au burin, cela s'appelle graver à la pointe sèche Salon de 1765, Oeuv. t. XIII, p. 358, dans POUGENS pointe
On n'est ni ignorant, ni sot, moins encore méchant pour ne voir jamais que la pointe de son clocher Sur les caract. pointe
On quitte Tartuffe et le Misanthrope pour courir à Jérôme Pointu ; le bon goût est perdu Est-il bon, est-il méchant ? III, 12 pointu, ue
Allez d'un pôle à l'autre, interrogez les peuples, et vous y verrez partout l'idolâtrie et la superstition s'établir par les mêmes moyens Opin. des anc. phil. (Japonais). pôle
Le poli des corps n'a guère moins de nuances pour lui [l'aveugle] que le son de la voix Lett. sur les aveugles. poli, ie
Il se peut que les Arabes aient poli leur langue Opin. des anc. phil. (Arabes) polir
On voit, lettre LVII [de Sénèque], que la langue latine s'était appauvrie, comme la nôtre, en se polissant Claude et Nér. II, 20 polir
Celui qui ne veut satisfaire qu'aux besoins de la nature, ne se morfond point à la porte des grands, n'essuie ni leurs regards dédaigneux, ni leur politesse insultante Claude et Nér. II, 1 politesse
Admettre plusieurs intelligences supérieures toutes essentiellement bonnes, c'est être polythéiste Ess. s. la vertu. polythéiste
Les taches dont on a voulu moucheter son poitrail imitent très bien le pommelé du ciel Salon de 1765, Oeuv. t. XIII, p. 58 pommelé, ée
Il est dangereux en philosophie de s'écarter du sens usuel et populaire des mots Claude et Néron, II, 69 populaire
Un porte-dais et quelques autres ecclésiastiques assistants avec des cierges, des flambeaux et la croix Salon de 1767, Oeuv. t. XV, p. 48, dans POUGENS porte-dais
On sait à quel âge un enfant doit apprendre à lire.... ce n'est qu'en matière de religion qu'on ne consulte point sa portée Pens. phil. 25 portée
Démocrite prit pour disciple Protagoras, un de ses concitoyens ; il le tira de la condition de portefaix, pour l'élever à celle de philosophe Opin. des anc. philos. Éléatiques portefaix
Ce vieillard, c'est Jupiter, je le reconnais à l'oiseau porte-foudre qu'il a sous ses pieds Salon de 1767, Oeuv. t. XV, p. 19, dans POUGENS porte-foudre
J'ai de la peine tout ce que j'en peux porter Père de fam. v, 9 porter [1]
Au fond du coeur reconnaissant le bienfait porte intérêt Claude et Nér. II, 29 porter [1]
Il [Anaximandre] passe pour avoir porté les mathématiques fort au delà du point où Thalès les avait laissées Opin. des anc. phil. (ioniques). porter [1]
Robert Sorbon s'est immortalisé par la maison qu'il a fondée, et qui porte son nom Opin. des anc. philos. (scholastiques). porter [1]
C'est un tissu d'idées qui ne portent sur rien Mém. t. IV, p. 312, dans POUGENS porter [1]
Il [Zénon] s'établit sous le Portique : cet endroit était particulièrement décoré des tableaux de Polygnote et des plus grands maîtres Opin. des anc. philos. Stoïcisme. portique
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