Oeuvres et citations de Pierre Augustin Caron de BEAUMARCHAIS

503 citations de l'auteur Pierre Augustin Caron de BEAUMARCHAIS (Page 7 sur 13)

<< <  2 - 3 - 4 - 5 - 6 - 7 - 8 - 9 - 10 - 11 - 12  > >>
Citation Œuvre Entrée
Figaro : De retour à Madrid, je voulus essayer de nouveau mes talents littéraires ; et le théâtre me parut un champ d'honneur. - Le comte : Ah miséricorde ! Barb. de Sév. I, 2 miséricorde
Billet qui, sans doute, est une missive de quelque amant Barb. de Sév. II, 15 missive
Madame sort sans livrée ! nous avons l'air de tout le monde Mère coupable, I, 2 monde [1]
Prie monsieur, de ma part, de passer un moment ici Mère coupable, IV, 10 monsieur
Quand la tête se monte, l'imagination la mieux réglée devient folle comme un rêve Mar. de Figaro, III, 5 monter
Brutal, avare, amoureux et jaloux à l'excès de sa pupille, qui le hait à la mort Barb. de Sév. I, 4 mort [3]
Sortez, m'a-t-il dit, petit.... je n'ose pas prononcer devant une femme le gros mot qu'il a dit Mar. de Figaro, I, 7 mot
J'en vais corriger un second [abus] en vous motivant mon arrêt ; tout juge qui s'y refuse est un grand ennemi des lois Mar. de Fig. III, 15 motiver
Sans doute appelez-les ! fatigués, harrassés, moulus de votre façon, n'at-il pas fallu les faire coucher ? Barb. de Sév. III, 5 moulu, ue
Le drôle est toujours le même, et, à moins qu'on ne l'écorche vif, je prédis qu'il mourra dans la peau du plus fier insolent !... le Mariage de Figaro, I, 3 mourir
On vous sert un pot de bière en bel étain, la mousse aux bords Mar. de Figaro, III, 5 mousse [3]
Est-ce notre faute à nous, si, voulant museler un renard, nous en attrapons deux ? Mar. de Fig. V, 8 museler
. Qu'avez-vous fait [vous, comte] pour tant de biens ? vous vous êtes donné la peine de naître et rien de plus Mar. de Figaro, V, 3 naître
- Figaro : Je le sais ; gaudeant bene nati. - Bazile : Non, gaudeat bene nanti Mariage de Figaro, Vaudeville final nanti, ie
Je suis né natif de Ferrare Tarare. natif, ive
Oh le bon petit naturel de femme ! Barb. de Sév. III, 4 naturel, elle
Voilà je ne sais combien de fois que je prends la plume pour faire l'article Marin, et la remets dans l'encrier ; à quoi bon ces délais ? malgré la nausée, il faut toujours y venir 4e mémoire. nausée
De l'or, mon Dieu ! de l'or ; c'est le nerf de l'intrigue Barb. de Sév. I, 6 nerf
Doutez-vous de ma probité, monsieur ? vos cent écus ! j'aimerais mieux vous les devoir toute ma vie, que de les nier un seul instant Barb. de Sév. III, 5 nier
Souvenez-vous, en parlant à la pupille, de les rendre tous plus noirs que l'enfer Barb. de Sév. IV, 1 noir, oire
Il est de notoriété que vous n'avez quitté l'Espagne que pour dénaturer vos biens, par la vente ou par des échanges Mère coupable, IV, 13 notoriété
Avez-vous vu comme il parlait tout seul ? ce que c'est que de nous ! Barb. de Sév. III, 12 nous
Il devait tout arranger pour que mon mariage se fît secrètement demain, et point de nouvelles ! Barb. de Sév. I, 5 nouvelle
Gazettes étrangères, nouvelles à la main, à la bouche, à la presse, journaux.... tout est à son usage 4e mémoire. nouvelle
Ciel ! vos yeux noyés de larmes et votre visage défait m'annoncent quelque grand malheur Mère coupable, II, 14 noyé, ée
Ainsi ses moyens de plaire sont nuls Barbier, I, 4 nul, nulle
M. le comte de Maurepas lui-même est l'objecteur Mémoire particulier, dans LOMÉNIE, Beaumarchais et son temps objecteur
Après m'avoir obstinément refusé quand je l'en pressais devant sa maîtresse Mar. de Figaro, V, 3 obstinément
Qu'obtiendra donc de vous l'attachement, si vous payez ainsi la perfidie ? Mère coupable, IV, 4 obtenir
L'usage des odeurs produit ces affections spasmodiques Barb. de Sév. II, 15 odeur
En me rendant ses soins qu'il appelle des visites, en me donnant ses conseils qu'il nomme des ordonnances, il [le médecin] remplit dignement et sans faste la plus noble fonction d'une âme éclairée et sensible Barbier de Sév. Préface ordonnance
Tu sais trop bien.... que je n'ose pas oser Mar. de Fig. I, 7 oser
Bartholo : Je soutiens, moi, que c'est la conjonction copulative et, qui lie les membres corrélatifs de la phrase : je paierai la demoiselle, et je l'épouserai. - Figaro : Je soutiens, moi, que c'est la conjonction alternative ou, qui sépare lesdits membres : je paierai la donzelle, ou je l'épouserai Mar. de Fig. III, 15 ou
Ne regarde pas d'où tu viens ; vois où tu vas : cela seul importe à chacun Mar. de Figaro, III, 16
Ouf ! que ce diable d'homme est rude à manier ! Barbier de Séville, III, 3 ouf
Ah ! ouiche, on ne l'aura, vois-tu, qu'avec ma vie Mar. de Fig. I, 7 ouiche
Il [un billet] était cacheté d'une épingle qui l'a outrageusement piqué Mar. de Figaro, IV, 9 outrageusement
Apportez-nous, mon fils, votre discours : moi, je vais prendre quelque ouvrage pour l'écouter avec plus d'attention Mère coupable, II, 11 ouvrage
Le paradis ou l'enfer des familles dépend à tout jamais de l'opinion qu'elles ont donnée d'elles Mère coupable, II, 2 paradis
Peste ! comme l'utilité vous a bientôt rapproché les distances ! parlez-moi des gens passionnés ! Barb. de Sév. I, 4 parler [1]
<< <  2 - 3 - 4 - 5 - 6 - 7 - 8 - 9 - 10 - 11 - 12  > >>
Retour à la liste des auteurs