Figaro : De retour à Madrid, je voulus essayer de nouveau mes talents littéraires ; et le théâtre me parut un champ d'honneur. - Le comte : Ah miséricorde ! |
Barb. de Sév. I, 2 |
miséricorde |
Billet qui, sans doute, est une missive de quelque amant |
Barb. de Sév. II, 15 |
missive |
Madame sort sans livrée ! nous avons l'air de tout le monde |
Mère coupable, I, 2 |
monde [1] |
Prie monsieur, de ma part, de passer un moment ici |
Mère coupable, IV, 10 |
monsieur |
Quand la tête se monte, l'imagination la mieux réglée devient folle comme un rêve |
Mar. de Figaro, III, 5 |
monter |
Brutal, avare, amoureux et jaloux à l'excès de sa pupille, qui le hait à la mort |
Barb. de Sév. I, 4 |
mort [3] |
Sortez, m'a-t-il dit, petit.... je n'ose pas prononcer devant une femme le gros mot qu'il a dit |
Mar. de Figaro, I, 7 |
mot |
J'en vais corriger un second [abus] en vous motivant mon arrêt ; tout juge qui s'y refuse est un grand ennemi des lois |
Mar. de Fig. III, 15 |
motiver |
Sans doute appelez-les ! fatigués, harrassés, moulus de votre façon, n'at-il pas fallu les faire coucher ? |
Barb. de Sév. III, 5 |
moulu, ue |
Le drôle est toujours le même, et, à moins qu'on ne l'écorche vif, je prédis qu'il mourra dans la peau du plus fier insolent !... |
le Mariage de Figaro, I, 3 |
mourir |
On vous sert un pot de bière en bel étain, la mousse aux bords |
Mar. de Figaro, III, 5 |
mousse [3] |
Est-ce notre faute à nous, si, voulant museler un renard, nous en attrapons deux ? |
Mar. de Fig. V, 8 |
museler |
. Qu'avez-vous fait [vous, comte] pour tant de biens ? vous vous êtes donné la peine de naître et rien de plus |
Mar. de Figaro, V, 3 |
naître |
- Figaro : Je le sais ; gaudeant bene nati. - Bazile : Non, gaudeat bene nanti |
Mariage de Figaro, Vaudeville final |
nanti, ie |
Je suis né natif de Ferrare |
Tarare. |
natif, ive |
Oh le bon petit naturel de femme ! |
Barb. de Sév. III, 4 |
naturel, elle |
Voilà je ne sais combien de fois que je prends la plume pour faire l'article Marin, et la remets dans l'encrier ; à quoi bon ces délais ? malgré la nausée, il faut toujours y venir |
4e mémoire. |
nausée |
De l'or, mon Dieu ! de l'or ; c'est le nerf de l'intrigue |
Barb. de Sév. I, 6 |
nerf |
Doutez-vous de ma probité, monsieur ? vos cent écus ! j'aimerais mieux vous les devoir toute ma vie, que de les nier un seul instant |
Barb. de Sév. III, 5 |
nier |
Souvenez-vous, en parlant à la pupille, de les rendre tous plus noirs que l'enfer |
Barb. de Sév. IV, 1 |
noir, oire |
Il est de notoriété que vous n'avez quitté l'Espagne que pour dénaturer vos biens, par la vente ou par des échanges |
Mère coupable, IV, 13 |
notoriété |
Avez-vous vu comme il parlait tout seul ? ce que c'est que de nous ! |
Barb. de Sév. III, 12 |
nous |
Il devait tout arranger pour que mon mariage se fît secrètement demain, et point de nouvelles ! |
Barb. de Sév. I, 5 |
nouvelle |
Gazettes étrangères, nouvelles à la main, à la bouche, à la presse, journaux.... tout est à son usage |
4e mémoire. |
nouvelle |
Ciel ! vos yeux noyés de larmes et votre visage défait m'annoncent quelque grand malheur |
Mère coupable, II, 14 |
noyé, ée |
Ainsi ses moyens de plaire sont nuls |
Barbier, I, 4 |
nul, nulle |
M. le comte de Maurepas lui-même est l'objecteur |
Mémoire particulier, dans LOMÉNIE, Beaumarchais et son temps |
objecteur |
Après m'avoir obstinément refusé quand je l'en pressais devant sa maîtresse |
Mar. de Figaro, V, 3 |
obstinément |
Qu'obtiendra donc de vous l'attachement, si vous payez ainsi la perfidie ? |
Mère coupable, IV, 4 |
obtenir |
L'usage des odeurs produit ces affections spasmodiques |
Barb. de Sév. II, 15 |
odeur |
En me rendant ses soins qu'il appelle des visites, en me donnant ses conseils qu'il nomme des ordonnances, il [le médecin] remplit dignement et sans faste la plus noble fonction d'une âme éclairée et sensible |
Barbier de Sév. Préface |
ordonnance |
Tu sais trop bien.... que je n'ose pas oser |
Mar. de Fig. I, 7 |
oser |
Bartholo : Je soutiens, moi, que c'est la conjonction copulative et, qui lie les membres corrélatifs de la phrase : je paierai la demoiselle, et je l'épouserai. - Figaro : Je soutiens, moi, que c'est la conjonction alternative ou, qui sépare lesdits membres : je paierai la donzelle, ou je l'épouserai |
Mar. de Fig. III, 15 |
ou |
Ne regarde pas d'où tu viens ; vois où tu vas : cela seul importe à chacun |
Mar. de Figaro, III, 16 |
où |
Ouf ! que ce diable d'homme est rude à manier ! |
Barbier de Séville, III, 3 |
ouf |
Ah ! ouiche, on ne l'aura, vois-tu, qu'avec ma vie |
Mar. de Fig. I, 7 |
ouiche |
Il [un billet] était cacheté d'une épingle qui l'a outrageusement piqué |
Mar. de Figaro, IV, 9 |
outrageusement |
Apportez-nous, mon fils, votre discours : moi, je vais prendre quelque ouvrage pour l'écouter avec plus d'attention |
Mère coupable, II, 11 |
ouvrage |
Le paradis ou l'enfer des familles dépend à tout jamais de l'opinion qu'elles ont donnée d'elles |
Mère coupable, II, 2 |
paradis |
Peste ! comme l'utilité vous a bientôt rapproché les distances ! parlez-moi des gens passionnés ! |
Barb. de Sév. I, 4 |
parler [1] |