Oeuvres et citations de Jacques DELILLE

Eléments de biographie : poète (Voyez JANSÉNISTE)

1100 citations de l'auteur Jacques DELILLE (Page 4 sur 28)

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Le fer croise le fer, les coups suivent les coups Énéide, X croiser
Au dixième croissant de la lune nouvelle, On peut du fier taureau dompter le front rebelle Géorg. I croissant [2]
Et les maux de l'exil et de l'oppression Croissent au souvenir de sa chère Sion Pitié, IV croître
Faut-il payer si cher cette paix d'un moment Qui croîtrait à la fois ma honte et mon tourment ? Par. perdu, IV croître
Et, d'une infâme croix souffrant l'ignominie, Doit la mort aux ingrats qui lui devront la vie Par. perdu, XI croix
....Ailleurs de vieux guerriers, Échangeant pour du pain, en les baignant de larmes, Ces croix prix de leur sang et l'honneur de leurs armes Homme des champs, IV, Var et add. croix
Quoi ! ni leurs murs croulants n'ont pu les écraser, Ni leurs remparts en feu n'ont pu les embraser ! Énéide, VII croulant, ante
Tes greniers crouleront sous tes grains entassés Géorg. I. crouler
Sur la croupe du mont ses mains allaient chercher L'eau qui tombait des cieux dans le creux du rocher Trois règnes, V croupe
Le terrain qui s'étend sous son front escarpé, D'une croûte brillante au loin enveloppé, Trahissait le trésor des mines souterraines Paradis perdu, I croûte
Des vins d'un cru céleste épanchent leurs trésors Parad. perdu, V cru [1]
Contemplez ces armets, ces casques, ces cuissards Des Nemours, des Clissons, des Coucis, des Bayards ; J'aime à les revêtir de ces armes antiques Imag. IV cuissard
Eh ! qui pourrait compter tous les cultes divers Qui font de l'intérêt le dieu de l'univers ? Imag. VIII culte
Le fer cultivateur et le bronze qui tonne Trois règnes, V cultivateur, trice
Et ceux qui, de nos arts utiles inventeurs, Ont défriché la vie et cultivé les moeurs Énéide, VI, 893 cultiver
À leur tête s'avance et nage avec fierté Le cygne au cou superbe, au plumage argenté Jardins, III cygne
À leurs chants on croirait entendre dans les cieux De cygnes argentés un choeur mélodieux Énéide, VII cygne
....Et toi, triste cyprès, Fidèle ami des morts, protecteur de leur cendre, Ta tige, chère au coeur mélancolique et tendre, Laisse la joie au myrte et la gloire au laurier Jardins, IV cyprès
Le cyprès joint son deuil au deuil de ces mystères Énéide, III cyprès
Tel des Alpes nous vient le cytise riant Homme des champs, II cytise
Notez encore et n'imitez pas : Ces sages Qui dans un noble exil sur des lointains rivages.... Jardins, IV de
Déïphobe soudain frappa ses yeux surpris, De la race des rois misérable débris Énéide, VI débris
Au moment où sa bouche, Comme un gouffre profond, revomit sur sa couche Parmi des flots de sang la chair des malheureux, Effroyable débris de son festin affreux Énéide, III débris
Ce potentat jadis si grand, si vénérable, N'est plus qu'un tronc sanglant, qu'un débris déplorable Énéide, II débris
Telle autrefois dans son brillant déclin J'ai vu la célèbre Geoffrin Convers. III déclin
C'est là [dans les mines], c'est encor là que, cachant sa puissance, L'éternel ouvrier, dans un profond silence, Compose lentement et décompose tout Trois règnes, v. décomposer
De ces riches atours une autre [plante] dédaigneuse Laisse à ses soeurs l'azur, la pourpre, le saphir, Et se livre sans voile aux baisers du zéphyr Trois règnes, VI dédaigneux, euse
Et ceux qui, de nos arts utiles inventeurs, Ont défriché la vie et cultivé les moeurs Énéide, VI défricher
Les grains les plus heureux.... Dégénèrent enfin, si l'homme avec prudence Tous les ans ne choisit la plus belle semence Georg. I dégénérer
Voyez cet homme déhonté Qui va portant dans tout son voisinage Et son impudent verbiage Et son caractère effronté Convers. II déhonté, ée
On parle de banquet ? il vous cite sa table ; De vin ? le sien est délectable Conversation, II délectable
Le riant Épicurien Y déridait l'âpre Stoïcien Convers. Prologue. dérider
Atinas même fuit, et de ses vétérans Un tumulte confus désordonne les rangs Énéide, XI, 1161 désordonner
Mais à son Dieu déjà tous ses sens s'abandonnent ; Ses cheveux, son regard, ses traits se désordonnent ib. VI désordonner
Là brillaient sans orgueil mais non sans dignité Les Périclès, et les Alcibiades Convers. Prol. dignité
L'aimable discoureur jamais ne nous occupe De ses talents, de son emploi Convers. III discoureur, euse
La mer a disparu sous leurs nombreux vaisseaux Énéide, IV disparaître
L'échange des pensers veut une âme plus vive, Des sens moins paresseux, un esprit plus dispos Convers. II dispos
Mais je n'ai point encor tracé le disputeur, Dans le choc des avis intrépide lutteur Convers. II disputeur, euse
Du coeur humain sombres dominatrices, C'est vous surtout, fougueuses passions.... Convers. II dominateur, trice
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