Oeuvres et citations de Jacques DELILLE

Eléments de biographie : poète (Voyez JANSÉNISTE)

1100 citations de l'auteur Jacques DELILLE (Page 2 sur 28)

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Citation Œuvre Entrée
Ces contours d'un beau sein, ces bras voluptueux Homme des champs, IV contour
Les contradictions ne sont pas des contrastes Jardins, I contraste
Dans l'asile honteux des amours mercenaires Il cherche une Vénus qu'il copie au hasard, L'opprobre de son sexe et la honte de l'art Imagin. V copier
Au milieu d'eux le coq, d'un air de majesté, Marche, sûr de sa force et fier de sa beauté Par. perdu, VII coq [1]
Voyez au fond des eaux ces brillants coquillages ; La terre a moins de fruits, les bois moins de feuillages Trois règnes, VII coquillage
....De ses frêles coquilles En foule on voit sortir le peuple des oiseaux, Sous le sein maternel couvés dans leurs berceaux Par. perdu, VII coquille
Éponges, polypiers, madrépores, coraux, Des insectes des mers miraculeux travaux Homme des champs, III corail
Qu'un ver emprisonné formerait le corail ; Mais ce noble arbrisseau, ces pierres, cet émail Ne sont que l'ornement et le luxe du monde Trois règnes, V corail
Et des affreux corbeaux les noires légions Fendent l'air qui frémit sous leurs longs bataillons Géorg. I corbeau
Flore sur leur tapis a versé sa corbeille Jardins, IV corbeille
L'if en arc est ployé, le cormier fait des dards Géorg. II cormier
Qui croirait avilir l'honneur de ses châteaux, Si de cinquante cerfs les cornes menaçantes N'ornaient pompeusement ses portes triomphantes ? Homme des champs, I corne
L'autre [porte des enfers] est faite de corne, et du sein des lieux sombres Elle donne passage aux véritables ombres Énéide, VI corne
Seule errante à pas lents sur l'aride rivage, La corneille enrouée appelle aussi l'orage Géorg. I corneille [1]
L'autre [insecte] roule en cornet une feuille docile Et dans ce simple abri choisit son domicile Trois règnes, VII cornet
. Et sur le cornouiller la prune se colore Géorg. II cornouiller
Cependant le cerf vole ; et les chiens sur la voie Suivent ces corps légers que le vent leur envoie Homme des champs, I corps
Le costume imposant régnait dans les comices ; Le costume entourait le lieu des sacrifices Imagin. VII costume
Toujours en grand costume elle suivait ses pas, Et plaçait les sujets à leur juste distance ib. costume
.... Les arbres parlent peu, Dit le bon la Fontaine ; et ce qu'un bois m'inspire, Je veux à mes côtés trouver à qui le dire Homme des ch. I côté
Près du grand L'Hôpital montrer le grand Caton, D'un côté Condillac et de l'autre Platon Imagin. VII côté
Près du feu, deux amants, pleins d'un tendre délire, D'un regard de côté se parlent sans rien dire Trois règnes, I côté
Vu que par l'homme en place un mot dit de côté D'un faux air de crédit flatte leur vanité Homme des ch. I côté
.... Ô coteaux du Taygète, Par les vierges de Sparte en cadence foulés, Oh ! qui me portera dans vos bois reculés ! Géorg. II coteau
Et, comblant les vallons et rasant les coteaux. D'un sol heureux formait d'insipides plateaux Jardins, I coteau
Et le coteau renvoie Bien avant dans la nuit les éclats de leur joie Imagin. VII coteau
Là, chaque coterie a ses arrangements ; Chacun y fait emplette et d'amis et d'amants Trois règnes, III coterie
À peine adolescent, de son léger coton La jeunesse en sa fleur ombrage son menton Énéide, IX coton
Tapisse de duvet la pêche cotonneuse Trois règnes, VI cotonneux, euse
Nous côtoyons d'abord ces sommets escarpés Que les traits de la foudre ont si souvent frappés Énéide, III côtoyer
Leur cotte à maille d'or et la gaîne éclatante Où repose l'épée à leur côté pendante Énéide, VII cotte [1]
.... Et perce, avec son sein, Sa riche cotte d'or, ouvrage de sa mère ib. X cotte [1]
Elle offre, en détournant sa tête éblouissante, D'un cou semé de lis la beauté ravissante Géorg. I cou
L'aurore matinale Vient frapper de ses feux la couche nuptiale Trois règnes, VI couche
Sur sa couche de mort il vit pour sa famille, Sent tomber sur son coeur les larmes de sa fille ib. VIII couche
À ces mots, sur sa couche imprimant son visage Énéide, IV couche
Les coudriers noueux, les palmiers toujours verts Géorg. II coudrier
L'acier, l'or et l'argent coulent en longs ruisseaux Énéide, VIII couler
Dans sa coupe légère, avec solidité, Il réunit la force à la rapidité Imagin. V coupe [1]
La coupe aux larges bords est vide en un moment Énéide, I coupe [2]
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