Oeuvres et citations de Jacques DELILLE

Eléments de biographie : poète (Voyez JANSÉNISTE)

1100 citations de l'auteur Jacques DELILLE (Page 6 sur 28)

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Citation Œuvre Entrée
Salut, pompeux Jura, terrible Montanvers, De neige, de glaçons entassements énormes Homme des champs, III entassement
D'abord enthousiaste et bientôt imposteur, Un rêve prépara sa future grandeur [de Mahomet] Imag. VIII enthousiaste
Désormais entonnant la trompette éclatante Énéide, I entonner [2]
Et toujours entraîné, croyait toujours choisir Trois règnes, V entraîné, ée [1]
Son entretien est un échange Conversation, III entretien
La terre ainsi devint une image des cieux, Et le séjour de l'homme eût fait envie aux dieux Parad. VII envie
L'oeil n'ose envisager ces antres écumants Énéide, VI, 753 envisager
À peine enfin les derniers mots, De leur impulsion tardive Frappant son âme inattentive, Du discours envolé lui portent les échos Convers. II envolé, ée
Satan, sans répliquer, s'envole à ses conquêtes Paradis perdu, X envoler (s')
Tantôt un bois profond, sauvage, ténébreux Épanche une ombre immense, et tantôt, moins nombreux, Un plant d'arbres choisis forme un riant bocage Jardins, II épancher
L'onde rafraîchit l'air ; l'air s'épanche en rosée Hom. des champs, I épancher
Du printemps près de vous épier les prémices Paradis perdu, II épier [2]
Son épine [du cheval] se double et frémit sur son dos Géorg. III épine [1]
J'aime à rêver, mais ne veux pas Qu'à coups d'épingle on me réveille Convers. II épingle
Et qu'enfin tout ce bois, éprouvé par les feux, Se durcisse à loisir sur ton foyer fumeux Géorg. I éprouvé, ée
Par lui tout s'embellit, et s'épure et s'anime Paradis perdu, XI épurer
En peines, en plaisirs l'illusion féconde Rétablit en secret l'équilibre du monde Imagin. VI équilibre
Il laisse errer sans art sa plume et son esprit, Sait peu ce qu'il va dire, et peint tout ce qu'il dit Imagin. VI errer
Contez-moi d'Ilion les terribles assauts, Et vos longues erreurs sur la terre et sur l'onde Én. I erreur
Où manque un bien réel, la douce erreur abonde Imagin, II erreur
Des célestes palais escalier magnifique Paradis perdu, III escalier
Du penchant escarpé de ces antiques monts Le rocher tombe, roule, et s'élance par bonds Énéide, XI escarpé, ée
Sa vie est un combat, son commerce une escrime Convers. II escrime
Où s'arrête l'espace à nos yeux étendu ? Parad. perdu, VII espace
Combien, soigneuse encor de leur postérité, Par des moyens divers la nature puissante Conserve chaque espèce à jamais renaissante Trois règ. VII espèce
[L'oiseau-mouche] Vif, prompt, gai, de la vie aimable et frêle esquisse, Et des dieux, s'ils en ont, le plus charmant caprice Trois règnes, VII esquisse
Un essaim dont les pieds en mille et mille anneaux, L'un par l'autre attachés à la branche pliante, Montrèrent tout à coup une grappe pendante Énéide, VII essaim
Le regret les répand [les larmes], et l'espoir les essuie Par. perdu, XI essuyer
Laissez-le s'estimer pour qu'il soit estimable Hom. des champs, I estimable
Qui ne s'estime pas perd ses droits à l'estime Parad. perdu, VIII estimer
Étalant toutes deux l'or, la pourpre et l'hermine Géorg. IV étaler [1]
L'étalon généreux a le port plein d'audace ; Sur ses jarrets pliants se balance avec grâce ; Aucun bruit ne l'émeut ; le premier du troupeau, Il fend l'onde écumante, affronte un pont nouveau Géorg. III étalon [1]
Des plus fraîches beautés une foule choisie Vient étancher leur sang, leur verser l'ambroisie Imag. VIII étancher
L'été même, à l'instant qu'on liait en faisceaux Les épis jaunissants qui tombent sous la faux, J'ai vu les vents grondants sur ces moissons superbes Déraciner les blés, se disputer les gerbes Géorg. I été [1]
L'air morne, l'oeil éteint, pourtant dans leur tristesse Se laissait entrevoir un rayon d'allégresse Paradis perdu, I éteint, einte
Sur la face des eaux s'étend la nuit profonde Énéide, I étendre
....En vain sous de beaux cieux S'étendaient à tes pieds des champs délicieux Trois règnes, III étendre
Qu'une haine éternelle éternise la guerre ! Én. IV éterniser
De vengeance affamé, constant dans son courroux, Voudrait-il, prolongeant son effroyable joie, Ainsi que sa colère éterniser sa proie ? Parad. perdu, X éterniser
J'ai réservé pour moi L'éternité qui te précède, L'éternité qui s'avance est à toi Dithyr. éternité
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