Salut, père étranger, et que puissent tes voeux Trouver le ciel propice à tout ce que tu veux ! |
le Mendiant. |
que [2] |
Allons ; et pour Camille elle n'a qu'à dormir |
Élég. XVII |
que [2] |
Berger, quel es-tu donc ? qui t'agite ? |
Idylles, la Liberté. |
quel, quelle |
Ai-je connu jamais ces noms brillants de gloire Sur qui tu viens sans cesse arrêter ma mémoire ? |
Élég. VIII |
qui |
Il me faut qui m'estime ; il me faut des amis.... |
Élég. XI |
qui |
Moins belle la comète aux longs crins radieux Enflamme les nuits les plus sombres |
le Jeu de paume, strophe 8 |
radieux, euse |
Sans appui qu'un bâton, sans foyer, sans asile, Revêtu de ramée ou de quelques lambeaux |
Idylles, le Mendiant. |
ramée |
Beaux-arts, dieux bienfaisants.... Sur le front des époux de l'aveugle Fortune Je n'ai point fait ramper vos lauriers trop jaloux |
Élég. XVI |
ramper |
Elle a rassasié ma flamme et mes regards |
Élég. II, 9 |
rassasier |
Le malheureux.... ne connaît pas.... Une âme où, dans ses maux, comme en un saint asile, Il puisse fuir la sienne et se rasseoir tranquille |
Élégies, 23 |
rasseoir |
Et les rauques tambours, les sonores cymbales |
Fragments, Bacchus. |
rauque |
Comme un dernier rayon, comme un dernier zéphyre Anime la fin d'un beau jour |
Iambes. |
rayon [1] |
Le messager de mort [celui qui appelle les condamnés à mort], noir recruteur des ombres.... Remplira de mon nom ces longs corridors sombres |
Iambe IV |
recruteur |
Quand, sorti vers le soir des grottes reculées, Il s'égare à pas lents au penchant des vallées |
Élégies, IV |
reculé, ée |
Il fixe le passé pour lui toujours présent, Et sait, de se connaître ayant la sage envie, Refeuilleter sans cesse et son âme et sa vie |
Élég. XX |
refeuilleter |
Ah ! si de telles mains, justement souveraines, Toujours de cet empire avaient tenu les rênes |
Hymne à la France. |
rêne |
Échappé aux réseaux de l'oiseleur cruel, Plus vive, plus heureuse, aux campagne du ciel, Philomèle chante et s'élance |
Odes, XI |
réseau |
La Provence odorante et de Zéphyre aimée Respire sur les mers une haleine embaumée |
Hymne à la France. |
respirer |
Des lèvres demi-closes Respirent près de nous leur haleine de roses |
Élég. II, 1 |
respirer |
Délires insensés ! fantômes monstrueux ! Et d'un cerveau malsain rêves tumultueux ! |
l'Invent. |
rêve [1] |
Adieu, fragile enfant, échappé de nos bras ; Adieu, dans la maison d'où l'on ne revient pas |
Sur la mort d'un enfant. |
revenir |
quel amoureux ennui Me rend cher ce bocage où je rêve de lui ? |
Mnazile et Chloé. |
rêver |
Et si, dans le chemin, rhapsode ingénieux, Tu veux nous accorder tes chants dignes des cieux.... |
Idylles, l'Aveugle. |
rhapsode |
Je retourne à mes riens que tu nommes frivoles |
Élégie VIII |
rien |
Ma bienvenue au jour me rit dans tous les yeux |
la Jeune captive |
rire |
Tous ces rocs, calcinés sous un soleil rongeur |
Idylles, la Liberté. |
rongeur, euse |
Je meurs : Avant le soir j'ai fini ma journée ; à peine ouverte au jour ma rose [vie] s'est fanée |
Élég. VII |
rose [1] |
C'est là qu'un plus beau ciel peut-être dans mes flancs Éteindra les douleurs et les sables brulants |
Élég. I, 10 |
sable [1] |
Mais l'équité dans leurs sanhédrins même Trouve des amis |
le Jeu de paume, IX |
sanhédrin |
La Provence.... Forme la grasse olive aux liqueurs savonneuses |
Hymne à la France. |
savonneux, euse |
[Le consul Brutus] Savourant de son coeur le glorieux tourment |
le Jeu de paume. |
savourer |
Le poëte.... cherche.... S'il pourra de sa tête apaiser les orages, Et secouer le dieu qui fatigue son sein |
l'Invention, V. 345 |
secouer |
Je vois sourire Mes pénates secrets couronnés de rameaux |
Versailles. |
secret, ète [1] |
Que jamais la douleur, même l'inquiétude, N'approchent du sein de Fanny |
Odes, V |
sein |
Corvée, impôts rongeurs, tributs, taxes pesantes. Le sel, fils de la terre, ou même l'eau des mers, Source d'oppression et de fléaux divers |
Hymne à la France |
sel |
Salut ! vois, l'on t'apporte et la table et le pain : Sieds-toi |
Idylles, le Mendiant. |
seoir [1] |
Ni les vastes serpents ne traînent sur tes plantes En longs cercles hideux leurs écailles sonnantes |
Hymne à la France. |
serpent |
Pour qu'il puisse, enrichi de ces affronts utiles, Enrichir à son tour quelques têtes serviles |
Élég. I, 21 |
servile |
Si tu fusses tombée en ces gouffres liquides |
Élég. Amymone. |
si [1] |
Ainsi du Sirius, ô jeune bien aimée, Un moment l'haleine enflammée De ta beauté vermeille a fatigué la fleur |
à Fanny malade. |
sirius |