Oeuvres et citations de André CHÉNIER

Eléments de biographie : poète

549 citations de l'auteur André CHÉNIER (Page 4 sur 14)

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Citation Œuvre Entrée
Là, Vénus, me dictant de faciles chansons, M'a nommé son poëte entre ses nourrissons Éleg. VIII de
Lorsque Vénus, du haut des célestes lambris, Sans armes, sans carquois vint m'amener son fils Élég. II de
Errer, un livre en main, de bocage en bocage Élég. XI de
Ô jours de mon printemps, jours couronnés de rose, à votre fuite en vain un long regret s'oppose Élég. XVI de
Sois heureux, et surtout aime un ami qui t'aime ; Ris de son coeur débile aux désirs condamné, De l'étude aux amours sans cesse promené Élég. 21 débile
Autres sont mes plaisirs [que ceux de la satire] ; soit, comme je le crois, Que d'une débonnaire et généreuse argile On ait pétri mon âme innocente et facile.... Ép. II débonnaire
Sa colère me plaît et décèle une amante 139 déceler
Mais les douces vertus et les grâces décentes N'inspirent aux coeurs purs que des flammes constantes Élég. 30 décent, ente
Mais les dieux tout-puissants gardaient à mon déclin Les ténèbres, l'exil, l'indigence et la faim 22 déclin
La grâce décorait son front et ses discours la Jeune captive. décorer
Et notre langue même, à tout esprit vulgaire De nos vers dédaigneux fermant le sanctuaire, L'avertit tout d'abord que, s'il y veut monter, Il doit savoir tout craindre et savoir tout tenter l'Invention. dédaigneux, euse
Sa beauté pouvait tout ; mon âme sans défense N'a point contre ses yeux cherché de résistance Élég. 35 défense
Faut-il ainsi poursuivre.... Et l'argent et l'amour, aveugles déités ? 171 déité
Celui qu'un vrai démon [l'inspiration] presse, enflamme, domine, Ignore un tel supplice, il pense, il imagine 12 démon
Je plains ton abandon, ta douleur solitaire ; Pas un coeur qui, du tien zélé dépositaire, Vienne adoucir ta plaie, apaiser ton effroi, Et consoler tes pleurs et pleurer avec toi ! Ép. I dépositaire
Qui moi ? moi de Phébus te dicter les leçons ? Moi dans l'ombre ignoré, moi que ses nourrissons Pour émule aujourd'hui désavoueraient peut-être Élég. 18 désavouer
Qu'il est doux.... De la voir devant vous accourir au passage, Ses cheveux en désordre épars sur son visage ! Élég. XVIII désordre
Pour mieux goûter le calme, il faut avoir passé Des pénibles détroits d'une vie orageuse Dans une vie enfin plus douce et plus heureuse Élég. 27 détroit
Toutes [les nymphes] frappant leur sein, et traînant un long deuil, Répétèrent hélas ! autour de son cercueil Élég. 20 deuil
Heureux qui, se livrant aux sages disciplines, Nourri du lait sacré des antiques doctrines, Ainsi que des talents a jadis hérité D'un bien modique et sûr qui fait la liberté ! Poésies diverses, à M. de Pange. discipline
Une table.... vient offrir à son avide main Et les fumantes chairs sur les disques d'airain, Et.... 51 disque
C'est son bien dissipé [du vieillard], c'est son fils, c'est sa femme, Ou les douleurs du corps si pesantes à l'âme Élég. 33 dissipé, ée
Adieu ; puisse du moins ce peu que je te donne De ta triste mémoire effacer tes malheurs, Et, soigné par tes mains, distraire tes douleurs ! Idylles, la Liberté. distraire
Je me fuis, je m'oublie, et mes esprits distraits Se plaisent à les suivre [les Muses], et retrouvent la paix Élég. 4 distrait, aite
Essaye avec des pleurs, de tendres doléances, De faire à ses desseins de douces violences 233 doléance
[ Cette muse] Qui, le glaive à la main, du diadème ornée, Vient au peuple assemblé, d'une dolente voix, Pleurer les grands malheurs, les empires, les rois Élég. X dolent, ente
Mais si Plutus revient de sa source dorée Conduire dans mes mains quelque veine égarée Fragments, p. 171 doré, ée
[La santé] Bien sans qui tous les biens n'offrent point de douceurs Élég. VI douceur
La vie eut bien pour moi de volages douceurs ; Je les goûtais à peine, et voilà que je meurs ib. VII douceur
La santé que j'appelle et qui fuit mes douleurs Élég. VI douleur
C'est son bien dissipé, c'est son fils, c'est sa femme, Ou les douleurs du corps si pesantes à l'âme ib. XXXIII douleur
Le ciel rit à la terre, et la terre fleurit ; Aréthuse serpente et plus pure et plus belle ; Une douleur plus tendre anime Philomèle Élég. XXVI douleur
" nuit, nuit douloureuse ! et toi tardive aurore, Viens-tu ? vas-tu venir ? es-tu bien loin encore ? Élég. XXIII douloureux, euse
Les enfants qui suivaient ses ébats [du mouton] dans la plaine 268 ébat
Au pied de l'échafaud j'essaie encor ma lyre 271 échafaud
Une jeune beauté, Dont le vent fait voler l'écharpe obéissante 260 écharpe
Dieu propice, ô Bacchus, toi dont les flots divins Versent le doux oubli de ces maux qu'on adore ; Toi devant qui l'amour s'enfuit et s'évapore, Comme de ce cristal aux mobiles éclairs Tes esprits odorants s'exhalent dans les airs Élég. XXII éclair
Qu'est-ce, amis ? nos éclats, nos jeux se ralentissent ? ÉLég. XXII éclat
Mais quels éclats, amis ? c'est la voix de Julie : Entrons ; Ô quelle nuit ! joie, ivresse, folie Élég. XXIV éclat
Lycus, fils d'Événon, que les dieux et le temps N'osent jamais troubler tes destins éclatants ! Idylle, le Mendiant. éclatant, ante
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